Galerie Ravenstein

Majestueux passage commerçant situé sur le côté du Mont des Arts, la galerie Ravenstein est un véritable joyeux d’architecture et d’art décoratif.
Avec sa magnifique fresque au plafond de l’entrée avec pour thème l’astrologie et son somptueux dôme de béton et de verre, la galerie Ravenstein en devient un passage fort agréable pour relier la gare centrale au Bozar.
Les quelques commerces et restaurants qui s’y trouvent, offrent la possibilité de flâner quelque peu en attendant son train par exemple. La galerie bénéficie notamment d’un restaurant Exki, d’un magasin de vêtements Esprit, d’un bureau d’information touristique, d’une librairie et d’un salon de thé spécialisé dans les Bubble Tea.
L’endroit est également utilisé notamment pour le Brussels Records Fair qui attire les amateurs de vinyles du monde entier.
Les deux seuls points négatifs que j’attribuerais à cette galerie seraient la présence de deux cafés extrêmement bruyants et… comment dire «suspect». Disons-​le comme cela, ce n’est pas le genre d’endroit que je fréquente.
Le second point rouge à noter est à voir dans l’accessibilité aux personnes à mobilité réduite. Si une légère pente est disponible pour la première volée d’escaliers, il n’en est rien pour les deux autres et, à ma connaissance aucun ascenseur n’est proposé comme alternative.
Une très belle galerie donc, qui perd néanmoins un peu de son charme quand on se penche sur certains commerces qu’elle abrite.

2 étoiles, pas pour la galerie en soi, mais surtout pour l’utilisation que la ville en fait ! Dommage de né pas plus profiter de cet espace grandiose pour organiser des événements, pour motiver de chouettes commerces à s’y installer… pour l’instant, c’est nomansland, ah si, y a un exki. Wow.
J’ai dû y aller 2 fois cette année, une fois pour prendre un café avec mon assistante qui travaille en face, au Bozar (du coup elle connaît un peu le coin), et une autre fois la semaine passée, lors de la foire aux vinyles… très chouette initiative en soi, mais qu’est ce qu’il faisait froid ! N’est-ce pas là un des avantages qu’une telle galerie commerçante doit offrir? La possibilité de déambuler tranquillement et au chaud…
Hâte de voir ce coin de Bruxelles-​centre se réveiller, il serait temps.

Zoom sur un endroit un peu laissé à l’abandon ces dernières années (sur Unilocal aussi on dirait…): la Galerie Ravenstein.
Comme toutes les autres célèbres galeries de la capitale, elle représente un petit bijou du patrimoine bruxellois! C’est surtout son imposante architecture avec ses voutes et sa coupole lumineuses qui plait aux visiteurs, touristes, navetteurs, travailleurs,… qui l’empruntent quotidiennement.
Située à un endroit stratégique dans le centre (à côté de la Gare Centrale), c’est elle qui relie le haut de la ville avec la ville basse. Malheureusement, je trouve que cette galerie s’est fortement réduite à cette fonction de simple «passage» (du moins c’est ce que j’ai pu tristement constaté lors de mon dernier tour dans la galerie, un samedi).
Au niveau des commerces au rez-​de-​chaussée, c’est un peu vide voire même «mort» le weekend… A l’étage ce né sont plus que des bureaux. C’est dommage que ce lieu soit si «vide» le weekend car en cas de pluie par exemple, j’adorerais m’y réfugier pour faire quelques boutiques ou pour tester de nouveaux restaurants, bars, cafés,… Avis aux entrepreneurs!

La Galerie Ravenstein relie la Gare Centrale à la rue Ravenstein au niveau de l’entrée des Bozar, en contrebas du Parc Royal. Le matin et à la sortie des bureaux, cette galerie est un lieu de passage pour de nombreux navetteurs qui se rendent ou reviennent de leur boulot. Construite dans les années 50, elle abrite aujourd’hui de nombreux magasins, bars et snacks. A l’extrémité de la galerie côté Bozar se dresse une immense rotonde qui agit comme un puits de lumière. Dans cette rotonde s’est notamment installé un snack ‘Exqi’ qui est un refuge idéal lorsqu’il fait maussade à l’extérieur.

A une époque, cet endroit était le haut lieu du break dance à Bruxelles, et on pouvait y voir de jeunes talents se mettre à l’épreuve, s’échanger des techniques, s’encourager, ce qui donnait lieu à de très beau spectacles parfois.
Je me demande d’ailleurs si c’est toujours le cas de nos jours, car cela fait très longtemps que je n’ai pas été y jeter un petit coup d’œil.
J’espère que les autorités né les auront pas chassé de là et découragés, ce serait vraiment dommage.
Je vous invite donc, si vous passez par là, et surtout un dimanche, fin d’après midi, début de soirée, à aller vérifier s’ils sont encore là, et faites moi un rapport complet sur mon bureau dès lundi matin !

Pfff, ce qu’elle fait vide. Il y a quoi, deux magasins de vêtements (un grand Esprit), un magasin de chaussures, une libraire, quelques café, un Exquis, et voilà… J’en oublie certainement mais c’est les seules choses que j’ai réussi à retenir.
Avant, chaque fois que je passais dans cette galerie, je me demandais ce qu’il y avait dans ces cafés. On peut difficilement voir à l’intérieur. Après avoir mené ma petite enquête, j’ai appris que ce sont, en réalité, des bars de lap danse. Maintenant, je vois la galerie autrement !

Quand je vois tous ces employés en costume/​cravate passer en courant dans cette galerie, j’ai envie de leur dire: «Levez les yeux!».
Cette galerie qui semble si vide au premier regard reste néanmoins une merveille architecturale. Sa verrière, ses fresques au plafond,… Il faut prendre le temps d’admirer la beauté du lieu.
Cette galerie relie la rue Ravenstein au Cantersteen. Elle fut construite de 1954 à 1958 par les architectes Alexis et Philippe Dumont sur les ruines du Palais Granvelle. Outré sa décoration soignée, elle se distingue par deux majestueux escaliers permettant de rejoindre la sortie Ravenstein (dénivellation de 10 mètres).
Si tu viens ici pour faire ton shopping, tu sera bien sûr très vite déçu. Évite aussi de te rendre dans cette galerie les soirs du week-​end, c’est un véritable coupe gorge…

Cette galerie m’a toujours déroutée… elle ressemble à une piscine avec ces petits carrelage, son plafond de verre et son acoustique en écho.
Je trouve aussi toujours que c’est à moitié désert, excepté dans certains des bars improbables qui y prennent place…
Cela dit, c’est le passage obligé vers les Bozar et j’aime bien cette traversée, un peu hors du temps.
Mais vivement qu’il s’y passé quelque chose… cet espace devrait être mieux valorisé.