Belgian Chocolate Village

Did not go for the museum but went straight to the café upstairs. Pastries not available today (at the time we went) but the chocolate ice cream dome was rather tasty, so is the hot chocolate (dark). Great service from the lady who attempted to translate the French menu to us. Price is really reasonable if you get the set with drinks, enough as a dessert to share between 2.

bon bien expérience décevante .
* c’est pas super grand.
tout ca pour voir quelques objets lié au chocolat, quelques pubs
* un atelier qui propose une mini démo, mais je suis arrivé à la fin de la démo,
et pas très clair quand il y aurais la prochaine démo
(‘quand il y a aura un peu plus de monde’, ca donne envie)
* en sous-​sol, un peu d’infos, un serre avec 3 – 4 arbres, une video
* et en haut, dégustation (payante et prix trop élevé ?) et petit salon

On résiste difficilement à l’invitation qui nous est faite. Reçu avec un joli programme, on parcours l’histoire et la géographie du chocolat. Une manière plus moderne, ludique et accessible d’aborder la star belge, ancrée dans la géographie du quartier, qui se démarque de la poussiéreuse et traditionnelle présentation de la Grand Place. Il rappelle que Koekelberg a été la capitale des chocolatiers. L’ensemble est moderne et propre. De jolies affiches ornent les salles et nous amèné à réfléchir sur nos représentations.
Mais pas trop longtemps. Car justement, le chocolat n’est pas questionné: pas de place ici pour le bio, quasiment rien sur l’équitable, ni sur les pseudos chocolats sans beurre de cacao. Une colonne de produits dérivés écœurants assomme le visiteur. Le chocolat est présenté comme unanimement bon pour la santé (Ouf!). Rien sur le sucre, les effets addictifs ou excitants.
Bref, si l’ensemble s’adresse à un public scolaire, il prêche une population déjà convaincue. Le musée défend honorablement Koekelberg et certains artisans qui viennent présenter et faire déguster leur délicieuse production, mais il aurait mérité les conseils avisés d’historiens plutôt que de se faire l’écho des industriels du chocolat. A consommer avec modération.