Chère SNCB, Que d’aventures ai-je vécues avec toi ! Mais oui, souviens-toi par exemple quand la porte du wagon était restée ouverte entre Mouscron et Courtrai. Sans oublier toutes les fois où tu as fait suer à grosses gouttes tes voyageurs car la ligne n’avait pas de trains climatisés. Cependant, aujourd’hui, je dois te l’avouer, j’aime te détester. Plus fort encore, j’adore râler sur les quais quand tu m’annonces un retard car même si tu as beaucoup de défauts, je sais que je peux quand même compter sur toi pour m’emmener à l’endroit où je passerai un bon moment. Bien à toi. Térence