Pour la 1è il fallait s’inscrire pour avoir des places je n’ai pas trop compris pourquoi, car même si tu n’avais pas d’entrées il suffisait de passer sur le côté des arches et tu passais au dessus des barrières. Bön parlons organisation, heureusement que je suis arrivé vers 18h donc j’entre direct pas de file ouf, mais par contre je vois déjà une file pour les jetons et là je vois des potes qui sont justement occupés à prendre donc ni une ni 2 je donne du flouz, sinon j’allais attendre 20min. Donc pour le stand des jetons faut en rajouter un 2ème car à la fiin il fallait faire plus de 45min de file pas du tout pro. Y avait des food truck, plusieurs bars, et un dj booth. Ce vendredi l’apéros urbain c’est Place Jean Rey Donc en gros revoir l’organisation niveau jetons
Aurore V.
Rating des Ortes: 3 Bruxelles, Belgique
«Les Apéros, c’est comme Disneyland, 45 minutes de files pour 3 min de descente» Et à l’ouverture 2015, c’était vraiment malheureusement ce qu’on en a retenu: les files!!! On savait que Bruxelles était la 2ème ville du monde où il y avait le plus de files(apparemment, pas checké mes sources), on était naïfs de croire que ça se limitait aux routes. Grande fan des Apéros, j’ai longtemps hésité entre 3 et 4 étoiles. Je mets 3 étoiles mais uniquement pour l’ouverture, pas pour le concept qui lui mérite 4 ou 4,5 d’après moi. J’ai donc dû faire une liste pour/contre. Viens, assieds-toi, je t’explique. 1) La file à l’entrée: contre. Je comprends que les organisateurs ont dû trouver un moyen pour gérer au niveau sécurité les 22000 attending sur facebook. Cependant, j’imagine qu’ils sont bien contents de choper nos adresses mail via eventbrite… Et là, je reconnais moins le concept sympa que j’affectionne l’été. 2) La file aux jetons: neutre. Il faut bien centraliser les sousous dans la popoche. J’imagine que les caisses doivent être vidées super régulièrement et l’argent centralisé par exemple dans un coffre près du stand à jetons. Ce qui peut expliquer qu’il n’y ait qu’un seul stand, et qu’on fasse la file. 3) Les jetons: contre. Blanc et wood? Sérieux?!? Ca induit le con(sommateur) en erreur, il s’y perd, il né sait plus combien il paye sa bière. Malin les gars mais pas cool. En revanche, l’achat pour 10EUR, je peux comprendre. 4) La traditionnelle éco-zone: pour /contre. Pour le concept of course! Néanmoins, quand on m’a dit que pour récupérer mon jeton wood, je devais ramener 4 vidanges, et qu’en plus celle du strongbow n’était pas consignée, j’ai écarquillé les yeux devant le pauvre étudiant qui né faisait que répéter les instructions données plus haut. Comme au point 3, je suis induite en erreur, je n’aime pas cela. Un peu de transparence s’il vous please! Je né suis pas en train de lire les conditions générales de mon abo Mobistar non plus! 5) La musique: pour: que du bon son, j’adore. :) 6) Le lieu: pour: le cinquantenaire sous un peu de soleil, c’est magique. Bilan: POUR, mais comme l’alcool, avec modération. Privilégie donc tes vendredis soirs sans plans particuliers pour retrouver tes potes, dès que le soleil se pointe, aux apéros.
Maria P.
Rating des Ortes: 3 Bruxelles, Belgique
Bön l’ouverture fut un franc succès de par le monde mais PAS pour l’organisation…(ça ira mieux à la 2è) UN stand pour acheter ses jetons. Minimum à sortir € 10, — pour recevoir 10 jetons. Pour ceux qui se poseraient la question, y a des jetons blancs ET en bois mais vous pouvez acheter que des blancs(2 bois = 1 blanc) Y avait 5 food truck mais seront-ils là aussi aux prochains events ? 2 bars + 1 beer bar(please retirez la Volga, beurk) + 1 cocktail bar, ça allait plutôt vite mais leur choper un petit sourire né serait pas de refus next time… Eco zone pour vos bouteilles vides ! Il faut en ramener 4 pour gagner 1 jeton. Donc 8 = 2 jetons, 12 = 3, etc. La musique comme d’hab, du bon son. Bref, peut-être y aller tous les vendredi(faut tester un peu tous les open apéros ^^)
Nicolas L.
Rating des Ortes: 2 St-Agatha-Berchem, Belgique
«C’est pluuuuuuus comme avaaaant Aaaavaaant c’etait mieux» (Traditionnel chant du vieux con) De fait: c’est devenu«les bobos urbains». Je comprends: victimes de leur succès, du volume, les Apéros se ferment. Ca demeure quand même un concept super sympa à la base et une bonne idée de point de rassemblement avant de partir ailleurs: arriver tôt et partir tôt, avant que votre cocktail urbain né commence à ressembler à une sorte de mélange Jeux d’Hiver sur Gazon/plaine de Werchter bondée.
Vinciane P.
Rating des Ortes: 3 Région de Bruxelles-Capitale, Belgique
Je crois qu’on est l’un des seuls pays en Europe a organiser ce genre de manifestation. Il me semble que chez nos amis français les rassemblements de ce type sont interdits. Ce qui me fait reculer c’est plutôt le temps pourri des nos étés belges que les prix ou la population qui, à mes yeux, a toujours été un peu bourgeoise-bohème. Rien de nouveau sous le soleil. Ce qui est sympa avec une telle initiative c’est de retrouver des gens qu’on n’a pas toujours l’occasion de voir, de boire un verre au bon air et sous le soleil(quand il est au rendez-vous), je né vais pas voir plus loin. L’important n’est pas tant où mais avec qui je passé une soirée. Le principe de donner un bracelet qui vous donne droit à la soirée qui se déroule après(les Apéros Club) est une bonne idée, si on aime pas l’endroit ou la musique ou les deux, on peut s’en aller vite fait. Avec le bracelet, l’entrée né nous coûte rien.
Sébastien H.
Rating des Ortes: 2 Région de Bruxelles-Capitale, Belgique
Je né vais faire que confirmer les avis des autres Unilocaleurs… Plus le temps passé, plus les Apéros Urbains se dégradent et accueillent une clientèle très «bobo» qui n’a plus rien à voir avec ses débuts. A la base, le concept est universel et très original. Malheureusement, les organisateurs sont tombés dans le piège, ils ont fait le choix de transformer ce chouette évènement en un évènement commercial. Les boissons sont de plus en plus chères, la musique se dégrade, les lieux choisis sont de plus en plus exigus,… Bref, je m’y amuse de moins en moins…
D. D.
Rating des Ortes: 1 Région de Bruxelles-Capitale, Belgique
Je vois que mes amis Scouts né retiennent pas les coups, et ils ont bien raison. Toutes les bonnes idées qui me donnent envie d’aller boire des verres à l’extérieur ont terminé comme les Apéros Urbains et du coup, je n’y met plus les pieds. On pourrait argumenter que finalement, les Apéros Urbains, comme les soirées Gazon d’ailleurs, auraient simplement décidé de s’adresser à un autre public, en adaptant la musique(snif), les prix et l’organisation. Mais la vraie motivation pour ce changement d’après moi, c’est que cet autre public, la «hype» bruxelloise et les gens qui veulent lui ressembler dépensent sans doute plus d’argent que ceux qui étaient venus à la base juste pour se payer un bon éclat de rire entre copains. Du coup les Apéros, c’est devenu un endroit pour se montrer et non pour s’amuser,. Comprenez s’habiller comme pour une soirée au Louise Gallery ou un club de vacances, aller se mêler à une foule trop nombreuse entassée derrière des barrières nadar et acheter des bières plus chères qu’un night shop le soir du nouvel an, totalement dénué d’intérêt en ce qui me concerne. Si vous voulez une soirée de qualité, passez votre chemin, mais si vous avez fait les soldes récemment et avez envie de tester l’effet de votre nouvelle tenue sur une foule, c’est le bon endroit. né retiennent pas les coups.
Flavie L.
Rating des Ortes: 2 Région de Bruxelles-Capitale, Belgique
On dit que le vin bonifie avec le temps, ce n’est certainement pas le cas des Apéros Urbains qui empirent d’année en année… Le concept originel était plutôt sympa. Lancer des apéros un peu«sauvages» dans la ville, chaque vendredi dans un lieu public différent. Un peu de tout et de tout le monde, une ambiance bon enfant, et de la musique encore correcte si on est pas trop exigeant. Puis une année est passé, et une autre. Les grillages et bannières commerciales ont commencés à encercler les Apéros, de grands videurs baraques ont remplacé l’espace de liberté que définissaient les non frontières d’antan, les prix des consommations ont encore augmenté, enfin bref que du bon… A quoi bon aller s’enfermer dehors, dans un capharnaüm de trenders et escarpins, pour boire un verre de vin à 4 euros? Je vous le demande! Autant s’offrir une bonne bouteille est aller la déguster avec des amis dans un parc, qui lui aussi se rappelle de la belle époque où les apéros n’avaient pas encore vendu leurs âmes…
Mounir B.
Rating des Ortes: 1 Région de Bruxelles-Capitale, Belgique
Tout à fait de l’avis de Flavie. C’est triste je trouve qu’à peu près tous les événements originalement sauvages terminent de la sorte. A l’instar des soirées gazon, les apéros urbains étaient bien partis, juste un prétexte pour rassembler des gens en début de week end, pas trop d’encadrement, et ça allait très bien comme ça. S’il y avait eu des incidents, ou autre malheureux événement, à la limite je peux comprendre que l’étau se resserre petit à petit, mais là, non, juste un concept de plus qui tombe entre les mains de marketeurs de nouvelles marques hip. Hip, c’est d’ailleurs devenu le mot d’ordre de la grande majorité de la fréquentation de ces apéros pas très urbains. Notre société a-t-elle définitivement tourné le dos à toute liberté, à toute spontanéité ? Moi ça me rend triste.