Le Rendez-Vous des Artistes

Visiting Brussels and stopped by this café walking. Place is well kept and clean. The owner /​manager was in site and was very hospitable. I got the burger which was excellent! I sat outside.

Un bar-​resto convivial avec sa terrasse qui donne sur la rue piétonne. Pour boire et manger, c’est l’idéal pendant l’été ! La carte présente des plats variés (italien, belge). On est servi assez rapidement et le personnel est flexible bien qu’il né connaît pas la composition des plats sur le bout des doigts. Le piano dans la salle ajoute une note musicale originale.

Le service est efficace à toute heure, le piano live (pas à tout heure mais bon…) ajoute une touché classy au cadre un peu poussiéreux mais néanmoins agréable et la cuisine est, tout bien considéré, tout à fait passable et tarifée à un niveau raisonnable. L’escalope pizzaïola est très joliment servie, de même que le cordon bleu.
Tant que les adresses pour noctambules (lire: les restos dont les cuisines né ferment pas à 21 heures…) seront trop rares à Bruxelles, je maintiendrai (comme dirait Beatrix des Pays-​Bas) la note de ⁴⁄₅. En revanche, si l’offre s’étoffait et gagnait en qualité, et que je né jugeais plus ce Rendez-​Vous des Artistes qu’à l’aune de la cuisine qui y est servie, je ramènerais vraisemblablement cette cote à un ³⁄₅ sous perspective négative © Moody’s et consorts.

En journée, ça semble perdre un peu de son intérêt.
Perso, je juge la cuisine brasserie sur le tartare minute: vous en conviendrez, il existe une différence sémantique, gustative et visuelle entre un filet américain et un tartare minute. Né faisons pas compliqué et né faisons pas intervenir le toast cannibale dans l’équation.
Et ici, voilà mon américain (et oui…) rosi par la mayonnaise. Accompagné de frites de congélateur, de mayonnaise en pot, et de la salade avec carotte râpée.
La carotte râpée est la marque du démon Sodex dans votre assiette, le septième étage de l’enfer de la standardisation gustative, le cauchemar de Jean-​Pierre Coffe. Ce crime, le chef le signe à la pointe du couteau, d’un C qui veut dire Carotte râpée.
Bref, bourré à 3h du mat’, all right, on n’a pas toujours envie d’un dürum ketfta piquante sauce mammouth chou-​maïs-​olives (pas de carotte râpée). Mais en dehors d’un état second à des heures pas possibles, bof.

We both had the warm goat cheese salad and while the lettuces were very good (they could have been fresher) the goat cheese was so wonderful and took the whole thing up a couple of notches. Crème brûlée was definitely home made, very good and while the custard was cold they did carmelite the top upon serving make it warm on top and cool on the bottom. I would definitely go back here again. The waiters were kind thoughtful and attentive. A great place near our hotel to end a long day of walking and sight-​seeing.

Mon expérience montre qu’aux environs de 3−4h du matin, quelqu’un qui boit depuis 20h ressentira les effets de la faim. Et toujours selon mon expérience, si on se trouve dans le quartier de Louise mais qu’on aime pas le Quick, on peut vite se retrouver fort dépourvu quand la bise … Vous connaissez la chanson. Heureusement, il y a un VRAI restaurant qui ouvre ses portes jusque tard, très tard.
On l’appelle le rendez-​vous des artistes. Dans une grande salle hyper classe, on s’est fait servir un steak et un plat de scampis à une heure où seule la vodka coule encore à flots. Le service m’a surpris, les serveurs doivent voir défiler tout un tas d’énergumènes dans notre genre et pourtant, on a été traités comme des clients de restaurant venus manger à des heures plus décentes. Un des seuls endroits où j’ai mangé à cette heure là sans pour autant me sentir sâle d’être prêt à manger n’importe quoi et sur le point de le faire. Pour couronner le tout, les prix sont tout à fait honnêtes, un budget «dîner dans une brasserie», je dirais.
Vous l’avez compris, c’est une adresse qu’il faut connaître quand on sort à Bruxelles, même si j’imagine que leur terrasse doit être assez sympa durant la journée. A l’occasion.

Pareil, j’ai aussi découvert cet endroit après avoir fermé mon bar, de l’autre côté de la ville, vers 3h du matin au moins.
Nous allions déposer mon ami et complice Fabrice chez lui rue Jourdan, en passant vite fait par la baraque à frites de la barrière. A la dernière minute Fabrice nous signale qu’il y a un resto ouvert à ces heures mirobolantes.
Moi j’avoue, j’étais complètement dans le gaz, je suivant juste le mouvement comme je pouvais. Et cette brasserie est juste magique, une grande salle, un piano, une guitare, un personnel super sympa, et super efficace.
A les voir courir dans tous les sens, on aurait pu croire qu’il était 19h30 et que le service doit être excellent.
Et non, c’était bien le milieu de la nuit, et ce n’est un prétexte de rien du tout pour eux. On a été accueillis et servis comme des rois, la cuisine était parfaite et les serveurs passaient régulièrement s’assurer que tout allait bien.
Satisfaction: maximale, prix: dérisoire à cette heure là, mission accomplie.

Assez innatendue, cette terasse qui occupe toute la chaussée! Un serveur pas toujours très réveillé mais fort sympathique !
Je n’ai eu l’occasion que d’y boire quelques verres en terrasse, j’ai bien aimé l’ambiance «coupée du monde «à deux pas de l’avenue Louise, et y retournerai bien pour goûter un des plats belges à prix plutôt abordable (tout comme le champagne!)