Le Pizzaïolo

Dans la catégorie «Pizza Française», le Pizzaïolo se défend plutôt bien. Certes, le drapeau italien et les noms de pizza à consonance né sont que marketing, j’ai lâché quelques paroles en italien et notre ami cuisinier n’y a rien compris.
Nous né sommes pas à la hauteur d’autres enseignes Toulousaines (une seule en fait), plébiscitées par la communauté italienne, mais il faut le dire: nous avons aimé et bien mangé.
On gardera donc l’adresse qui, en plus d’offrir des produits sympas, a cette bonne idée d’être ouvert le dimanche soir !
Mon seul reproche: la mozzarella en morceaux secs… Quand on a le palais fin et qu’on aime la saveur des produits frais, ça craint.

Dans ma quête de la pizza parfaite (faut bien s’occuper dans la vie) et surtout lorsque j’étais encore balmanaise j’ai eu à de nombreuses reprises l’occasion de m’arrêter chez le pizzaiolo de Balma.
Point de tables et de chauses, ici on prend uniquement à emporter, mais il y a toujours du monde devant qui reste à discuter les dernières nouvelles rugby ou politique locale.
Côté carte, on retrouve les classiques d’une très bonne qualité, et également les «pizzas du moment» composées selon le marché de saison et aux envies du patron. Et la on a généralement de très bonnes surprises, par exemple figue/​roquefort/​mozza (miam) bref le choix est la.
La qualité des pizzas n’est plus à prouver non plus. Ce que j’apprécie c’est leur côté très italien: peu de gruyère, de la mozza, une pâte fine et croustillante, des garnitures à base de légumes frais…
En bref c’était mon endroit de prédilection pour prendre une pizza les soirs de flemme culinaire.