Maison de Chateaubriand et Parc de la Vallée aux Loups

Nous avons été ma femme et moi particulièrement séduits par la Maison de Chateaubriand et le Domaine de la Vallée aux Loups.
Nous cherchions un lieu proposant un monument à visiter et un jardin remarquable où nous promener en ce vendredi 6 mai 2016 avec un climat magnifique.
Nous né voulions pas un site trop éloigné de Paris.
Et la Maison de Chateaubriand réunit tous ces critères!
Un quart d’heure de marche à pieds depuis la gare terminus du RER B Robinson et nous sommes arrivés dans un environnement idyllique.
L’accueil et le personnel est très aimable.
La Maison est très bien entretenue (beaucoup de «petits musées» de région parisienne sentent le vieux et présentent beaucoup de poussière… ici tout est soigné).
Sur deux niveaux, la Maison expose très bien la vie, l’oeuvre, et l’époque de Chateaubriand.
Un audioguide est disponible même si nous né l’avons pas utilisé.
Des visites guidées sont proposées.
Une petite boutique librairie est située au rez de chaussée.
Œuvres peintes, gravures, porcelaines, mobiliers… La recomposition de l’univers du début du XIXe siècle est intéressante ici.
Il faut absolument prolonger la visite par celle du parc (gratuit), très bien entretenu, avec un parcours jalonné de bancs et de boîtes contenant des livres «à emporter» (gratuitement, à condition de les déposer après lecture «n’importe où dans le monde»; en effet, le domaine participe au «bookcrossing» pour les amateurs, et c’est une belle et généreuse idée!).
On y croise des ruches, des moutons, une glacière, des variétés végétales très surprenantes, dont le fameux catalpa au milieu du parc.
Enfin, l’arboretum mérite lui aussi un petit détour, notamment pour son fameux cèdre bleu «pleureur» de l’Atlas.
Une sortie magnifique à moins d’une heure de Paris!

Dans ma quête de jardins en région parisienne, je me devais de découvrir rapidement cet endroit conseillé par une collègue.
Il y a un parking public gratuit Tout est gratuit sauf la maison de Châteaubriand. Le billet est à 3 €.
Le Parc de la Vallée aux Loups est une vaste demeure pleine de verdure et des arbres bien plus que centenaires. Cela a été la propriété de plusieurs écrivains ou poètes. Il est tout simplement magique de s’y promener.
Il y a plusieurs parcs: arboretum, Île Verte, Parc boisé.
Je n’ai pas eu le temps de visiter l’arboretum mais ce né sera que l’occasion d’y revenir.
Petit point négatif: beaucoup de bestioles et moustiques en tout genre nous ont piqué. J’ai été piqué à la cheville par une grosse bestiole que j’ai tué à temps mais ça me gratte sans arrêt depuis ! :P
Bref, si vous chercher un coin pour vous évader à côté de Paris, venez ici recharger vos batterie et vous imaginer vivre dans la bourgeoisie du 19ème siècle.

Maison de Chateaubriand et Parc de la Vallée aux Loups !
Maison de Chateaubriand et Parc de la Vallée aux Loups est un endroit touristique des plus splendides situé au coeur de Chatenay-​Malabry dans lesquels on fait une agréable visite.

Sympa
J’aime beaucoup Châteaubriand et je voulais voir comment il vivait. Je me souviens qu’il y avait un grand canapé imprimé des fleurs qui avait l’air si moderne!!! La maison me plaisait bien. Le parc est aussi très connu car Châteaubriand y faisait planter toutes sorte d’arbres. Un détail pratique, c’est un peu loin de la station de RER B. Mettez des chaussures confortables ou prennez une voiture.

Un pèlerinage pour les âmes romantiques
Ce parc est situé à Châtenay-​Malabry et constitue un des poumons de la ville avec le bois de Verrières. Si j’ai parlé de romantisme, c’est que ce parc abrite la Maison de Chateaubriand. En fait, en 1807, suite à un article dans le «Mercure de France», hostile à Napoléon, l’écrivain fut contraint de quitter Paris. Il fait alors l’acquisition du domaine de la Vallée aux Loups qui n’est alors qu’une simple chaumière au milieu d’une clairière en friche. Il vivra sur place pendant près de dix ans, et consacrera son temps à l’enrichissement du lieu et à son travail d’écrivain (c’est là qu’il commença ses Mémoires d’Outré-Tombe). Il transformera le domaine en un parc «littéraire» évoquant ses voyages (cèdre du Liban, cyprès de Virginie, magnolias, roseaux du Nil, …). De même, il fit œuvre d’architecte en faisant élever un péristyle à l’antique sur la façade de briques. Le parc permet d’agréables flâneries sur les nombreux sentiers traversant les bois où alternent taillis, futaies ou clairières. Sous les chênes et les châtaigniers, au moment du printemps, vous trouverez d’abondantes jacinthes des bois et anémones sylvies. Enfin, le silence du parc vous permettra d’entendre, et peut-​être de voir mésanges, rouges-​gorges ou troglodytes mignons. Ce parc est très particulier car il est très vallonné, ce qui a pour effet d’atténuer tous les bruits de la civilisation; malheureusement impossible d’en profiter avec son vélo: c’est interdit. Cela dit, il est très agréable d’y déambuler à pied. Vous trouverez régulièrement des bancs pour vous reposer et certaines clairières sont aménagées pour le piqué-​nique. Mais rien né vaut une belle pelouse pour ça !! Du point le plus haut du parc (au sud du parc, dans la seconde partie), vous aurez une très belle vue sur le parc de Sceaux et sa perspective devant le château. Cette seconde partie est d’ailleurs en cours d’extension pour proposer aux promeneurs de nouveaux sentiers. Tout près de la maison de Chateaubriand, en bordure du parc, n’hésitez pas à visiter l’Arboretum qui offre une diversité exceptionnelle d’arbres, de par leur rareté botanique, et leurs dimensions impressionnantes. Côté pratique, le parc est doté de petits parkings à chacune de ses entrées, ce qui permet de se garer juste à l’entrée. De plus, la rue Jean-​Jaurés, qui sépare le parc en deux, est fermée aux automobiles le dimanche: on peut donc passer sans aucun danger d’une partie à l’autre. Attention, le parc ferme le soir (17h en hiver — 22h en été). Bonne ballade !