De la bouche à l’oreille

Petit restaurant très agreable où il vaut mieux réserver.
On y revient souvent et toujours par plaisir. Les assiettes sont copieuses et goûteuses. Le foie de veau est mémorable ainsi que les pieds de cochons et la tête de veau sauce ravigote.
Que ce soit entre amis ou en famille c’est un endroit agréable oû le patron vient s enquérir de l avis de ses clients. N hésitez pas à lui faire remonter vos suggestions.
Mes ados ont adoré les burgers «français» servis copieusement sur grande assiette qui ont détrôné leur habituel (et degueu selon moi) American Burger. …
Comme quoi ça arrive de les faire changer d’avis devant des aliments de qualité !
Adresse à conserver!

Que du bonheur ! une adresse sure!
Ici, dès l’entrée, joli accueil par une serveuse souriante et un décor qui varie suivant l’inspiration du patron (de jolies oeuvres d’art de peintres sont accrochées au mur d artistes qui viennent se faire connaitre: nombreux vernissages sympathiques). La carte variée, aux prix accessibles, met en appétit. Les quantités sont honorables (nous sommes de bons mangeurs) et la cuisine excellente. Pas étonnant que ce restaurant soit presque toujours complet. Le propriétaire des lieux est sympathique, présent en salle, souhaitant satisfaire sa clientèle au mieux. Et, pour le vin, il est l’homme de la situation ! Il vous conseillera à merveille; L’addition, très raisonnable, sera ponctuée d’un coup de tampon sur la carte de fidélité de la maison… En vue de prochaines réductions. Rien à redire, politesse, sourires, convivialité et qualité. Bravo M. Besson. On y retourne par plaisir et gourmandise. Un resto ideal pour un diner en amoureux reussi ou pour une sortie entre copines.

Bön resto
Bön resto avec de bons plats; le décor est sympa dommage que la télé en milieu de salle dénote un peu avec les tableaux exposés ! Pas d’attente pour le service et pas d’oubli, manqué juste le sourire de la patronne ! Pour les prix ils sont vites chers comme il n’y a beaucoup de menus (tarifs à la carte qui montent vite) mais la cuisine suit derrière.

Une cuisine toute en rondeurs … comme le patron !
On né pas dire que ce restaurant non visible de la rue, bénéficie d’un emplacement extraordinaire. Heureusement pour son propriétaire, le bouche à oreille semble pallier avantageusement cet inconvénient puisque toutes les tables sont prises. Signalons toutefois que le nom du restaurant désigne plutôt le palais (la bouche) et l’ambiance musicale très jazzy (l’oreille). Une carte de produits de cuisine française traditionnelle avec une ardoise de suggestions du jour. Nous avons opté en entrée pour une salade (géante) originale avec brick d’escargots et pour une terrine maison, goûteuse et bien «troussée», servie avec son chutney d’oignons confits. Nous avons ensuite choisi la suggestion du jour — ris de veau aux morilles — à 22 €. Rien à dire si ce n’est que les amateurs de «no fat, low fat» et les disciples du Docteur Dukan seront déçus. En effet, difficile d’éviter la crème, lorsque l’on sert un tel plat. Pour conclure, le baba au rhum, a été apprécié par les amatrices de desserts. Pas mal de vins disponibles au verre, ce qui est un «plus», sachant que ce sont plutôt des vins anonymes sélectionnés par le propriétaire des lieux (il faut lui faire confiance, mais vous né trouverez pas beaucoup de «têtes d’affiche». La fadeur du décor est compensée par des expos de peinture temporaires. Le bar à l’air sympa pour ceux qui veulent y manger rapidement, assis sur des tabourets du même nom. Le service est courtois. Le bilan est plutôt globalement positif, bien que l’addition puisse fluctuer vers le haut, selon le type de plat choisi.

Aujourd’hui le chef cuisto de renom vous propose… pour ce menu à 2
Aujourd’hui le chef cuisto de renom vous propose… pour ce menu à 2. Ris de veau aux morilles, sa sauce à la crème et son accompagnement surprenant et raffiné: écrasé involontaire de haricots verts en boîte & leurs champignons non identifiés car pas encore réhydratés, rostie surgelé de pomme de terre passé à la friteuse et sa noisette de purée d’un légume pas net (panais ?) ou du moins pas nettement identifiable sous la dose quasi toxique de muscade. Le tout servi dans une assiette décorée de bon goût par une envolée de paprika… Onglet de veau Rossini trop salé et son accompagnement standardisé déjà vu dans l’assiette du voisin… les haricots en boîte, le rostie surgelé et la purée pas nette et la paprika. Mais cette fois si le secret du chef tient dans la cuisson de son foie gras… la carbonisation double face qui donne ce goût subtil entre l’amer et l’âcre, une harmonie subtile pour accompagner un onglet de veau mal débité avec une bande de tendon large de 3 cm en plein coeur… merveilleuse viande de premier choix achetée par un chef exigeant auprès d’un boucher compétent. Alors évidement, nous attendions le débarassage des assiettes avec impatience, mais quelle né fut pas notre déception quand nous entendîmes un «vous avez fini ?» au lieu du traditionnel «ça a été ?» auquel nous aurions eu tant de louanges à clamer. Il est vrai que mon foie gras dans l’assiette encore bien au chaud avec la garniture intégrale et mon steack de tendon manifestait un enthousiasme assez «mitigé» sur mon repas. Et la patronne de s’enfuir en cuisine avec l’objet du délit, si pressée qu’elle né daigne même pas se retourner quand nous tentons un «c’est dommage pour la cuisson du foie gras, il est brûlé» et qu’elle esquive par un «ah bon»… bah pas bon justement ! La voyant revenir avec les cartes pour un «vous désirez un dessert ?» nous avons décidé de rester sur cette bonne impression et de… fuir. Faute d’une oreille attentive côté patronnat, nous avons régler notre addition 35 minutes après notre entrée (service rapide… comme quoi une bonne garnitures bien réflechie ça permet de vite envoyer les assiettes), nous nous sommes permis d’expliquer à la serveuse pourquoi nous refusions la «carte de fidelité»… ira-​t-​elle rapporter à son patron notre l’impression de s’être fait avoir? Qu’à 30 ans je né vais pas au resto manger des rosties et des haricots en boîte … que j’en ai ras le bol des assiette déco «envolée de paprika» sans interêt ni visuel ni gustatif? Qu’il faut choisir entre restaurant et brasserie, faire de la vraie cuisine ou servir des coquillettes mais en tout cas changer de cuisto…? Sachant qu’il est précisé à l’entrée que ceci un restaurant à vin et que le comptoir né sert pas de bar mais pour manger… je vous propose, en cas de faim et/​ou de soif, de considerer cette cantine comme étant finalement à sa juste place: paumée au fond d’une impasse, pas loin des oubliettes.

Convivialité et saveurs
Ambiance très agréble, cuisine recherchée et à la fois simple, bien assaisonnée, enfin très bonne. Merci et continuez à nous étonner et nous ravir.

Rien d’espagnol
Mais que du bonheur… fruits de mer de très bonne qualité, magret aux fruits rouge, miam, un foie gras maison extra à recommander…

Fortement décommandé
Le pire accueil possible, le patron préfèrerait visiblement avoir moins de clients. Si vous voulez vous sentir malvenu, alors ce restaurant est fait pour vous.