Le SI fermera définitivement au 1er janvier 2014(suite à la réorganisation des Offices de Tourisme et Syndicats d’Initiative du Sud de l’Aisne). Désormais, adressez vous à l’office de tourisme de Château-Thierry.
Jpdubu
Rating des Ortes: 5 Amiens
Vous êtes ici dans la partie la plus septentrionnale du département de l’Aisne et de la région Picardie, aux limites des régions Champagne-Ardennes et Ile de France; le canton comprend 27 communes et chacune d’elles possède un patrimoine qui lui est propre, qu’il soit naturel, religieux ou civil. La majorité des églises du canton figure au répertoire des monuments historiques. Photo link: Eglise de Mézy-Moulins, du premier art gothique Photo link: Christ de l’église d’Artonges D’autres monuments tels que le château et la halle de Condé en Brie sont également classés. Photo link: le Château de Condé en Brie Photo link: Halle de Condé en Brie De nombreuses communes se trouvent en zôné d’appellattion contrôlée «CHAMPAGNE». Venez y à la découverte du «breuvage des rois» sur la route touristique du Champagne. Les vignes de la vallée ouest de la Marne, en Picardie, sont considérées parmi les meilleures. Photo link: L’histoire du canton vous fera voyager à travers les siècles: région statégique depuis l’époque romaine, et vous viendrez aussi y retrouver les traces des milices des guerres de religion, des armées du grand Condé, de Napoléon et des batailles de la Marne. Photo link: panorama des batailles de la Marne à Saint-Agnan Nous sommes sur les terres dont Jean de la Fontaine avait la garde en sa qualité de régisseur des eaux et forêts et son oeuvre y est illustrée, en particulier dans la décoration de certains des nombreux lavoirs présents dans le canton. Photo link: le coq et le renard dans le lavoir de La Chapelle-Monthodon
Aymer
Rating des Ortes: 3 Condé-en-Brie, Aisne
Petit quizz à faire sur place: «quelle faute d’orthographe(intentionnelle ou non) voyez vous ? Les animaux malades de la peste Jean de la Fontaine «Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste(puisqu’il faut l’appeler par son nom), Capable d’enrichir en un jour l’Achéron, Faisait aux animaux la guerre. Ils né mouraient pas tous, mais tous étaient frappés: On n’en voyait point d’occupés A chercher le soutien d’une mourante vie; Nul mets n’excitait leur envie, Ni loups ni renards n’épiaient La douce et l’innocente proie; Les tourterelles se fuyaient: Plus d’amour, partant plus de joie. Le lion tint conseil, et dit: Mes chers amis, Je crois que le Ciel a permis Pour nos péchés cette infortune; Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux; Peut-être il obtiendra la guérison commune. L’histoire nous apprend qu’en de tels accidents On fait de pareils dévouements:(1) Né nous flattons donc point, voyons sans indulgence L’état de notre conscience Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons, J’ai dévoré force moutons. Que m’avaient-ils fait? Nulle offense; Même il m’est arrivé quelquefois de manger Le berger. Je me dévouerai donc, s’il le faut: mais je pense Qu’il est bon que chacun s’accuse ainsi que moi: Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse. — Sire, dit le renard, vous êtes trop bon roi; Vos scrupules font voir trop de délicatesse. Eh bien! manger moutons, canaille, sotte espèce. Est-ce un pêché? Non, non. Vous leur fîtes, Seigneur, En les croquant, beaucoup d’honneur; Et quant au berger, l’on peut dire Qu’il était digne de tous maux, Etant de ces gens-là qui sur les animaux Se font un chimérique empire. Ainsi dit le renard; et flatteurs d’applaudir. On n’osa trop approfondir Du tigre, ni de l’ours, ni des autres puissances Les moins pardonnables offenses: Tous les gens querelleurs, jusqu’aux simples mâtins, Au dire de chacun, étaient de petits saints. L’âné vint à son tour, et dit: J’ai souvenance Qu’en un pré de moines passant, La faim, l’occasion, l’herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n’en avais nul droit, puisqu’il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet. Un loup, quelque peu clerc, prouva par sa harangue Qu’il fallait dévouer ce maudit animal, Ce pelé, ce galeux, d’où venait tout le mal. Sa peccadille fut jugée un cas pendable. Manger l’herbe d’autrui! quel crime abominable! Rien que la mort n’était capable D’expier son forfait: on le lui fit bien voir. Selon que vous serez puissant ou misérable, Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.» Réponse = vous rendront: .onT et non«onS» comme c’est inscrit :)