Nous avons fait des kilomètres en transports pour nous rendre à Ikea Paris Nord, ma soeur mon neveu de 7 ans et moi. Après une heure passée à faire nos courses, nous passons en caisse à l’heure du déjeuner. Nous décidons alors d’aller déjeuner au restaurant du magasinmais nous nous sommes alors heurtés à un mur: Le vigile, sur un ton fort peu aimable, nous a refusé l’entrée car nous avions nos courses avec nous, et que le restaurant se trouve dans l’enceinte du magasin. Impossible de déposer nos courses quelque part car nous n’avions pas de véhicule, ni de les laisser à l’accueil car ils refusent de les garder. Il refuse également la possibilité de simplement vérifier le contenu de notre sac avec le ticket de caisse à la sortie(nous n’avions que 5 articles).Vous n’avez qu’à aller déjeuner au snack au rdc”, nous a-t-il rétorqué. Sympa quand on a un ptit de 7 ans qui se né se sentait plus très bien et avait besoin de manger chaud. Comment cela se passé-t-il donc lorsque vous n’avez pas de véhicule, que vous êtes passés en caisse et que vous vous rendez compte que vous avez oublié d’acheter quelque chose? La même règle idiote s’appliquerait-elle? Il semble évident que ce genre de restriction mérite d’être précisé à l’entrée du magasin, afin d’eviter de mettre les clients dans ce genre de situation aussi inconfortable que ridicule !!!
Djox
Rating des Ortes: 3 Pantin, Seine-Saint-Denis
Ca faisait bien plusieurs années que je n’étais pas allé chez Quick(oui je sais, il paraît que ça se prononce aussi couic, c’est mon côté anar, j’aime le risqué !). Donc tant qu’à se faire un samedi après-midi romantique en amoureux, au vert, loin de la foule et du bruit,(j’ai nommé l’Ikéa de Paris Nord II), autant cumuler dans le chevaleresque, et histoire de prendre les forces nécessaires pour le grand dédale balisé des allées du géant suédois, hop, un petit tour préalable chez Quick qui est en face, à quelques dizaines de mètres. Bön, concernant la carte, je né vais pas passer des heures dessus puisque tout le monde la connaît, à deux ou trois exceptions près, celles des sandwiches saisonniers aux noms savants et féériques, tout droit sortis du brainstorming des équipes du marketing et qui disparaissent aussi vite qu’ils apparaissent. Concernant les grands classiques, je trouve que le Giant et le fish sont quand même un cran au dessus de leurs rivaux directs de chez Mc do, mais ça reste un avis personnel, et puisqu’ils n’annoncent dans leurs pubs qu’eux, eux, eux, eux, eux, eux, c’est le goût, j’ai bien le droit d’avoir aussi le mien, de goût. L’accueil, ce jour là, était à l’aune de celui auquel on doit désormais s’attendre comme référentiel quand on embauche des équipiers payés à coups de lance-pierre, et issus de surcroît des jeunes générations d’île de France: Le minimum syndical avec un SBAM mécanique, blasé et murmuré, entrecoupé de longs verbiages inter-équipiers dignes d’un sketch parodique sur la fonction publique. Mais une fois le plateau servi, ma foi, on a alors davantage le temps de se concentrer sur l’aménagement intérieur, moderne et plutôt design avec des tables de diverses hauteurs, des poufs multicolores(donc eux c’est le goûtet les couleurs), et une nouveauté que je n’avais jusque là jamais vue dans un fast-food: Le distributeur de boissons en libre service: Avec un menu on a un verre vide et on se sert soi-même en soda, café, eau, etc. de son choix Nouveau concept ou concurrence directe du restau d’Ikéa qui propose lui aussi les boissons à volonté? En tout cas faire appel à la confiance et au sens civique de ses clients pour leur permettre de se resservir sans abuser, c’est plutôt bien vu, donc 3 étoiles rien que pour ça ! NB: SBAM de mon temps ça voulait dire: Sourire, Bonjour, Au revoir, Merci Mais ça tend de plus en plus vers un rapide: Salut Bonhomme, Aboule la MonnaieFast Generation !