Kinawa

A Kinawa, on apprécie la qualité des produits que Anne né cuisine que frais. Cela devient très rare de nos jours. Nous avons particulièrement apprécié son accueil très chaleureux et surtout le fait que cette cuisinière hors pair nous prépare des menus végétariens sans que cela né lui pose un quelconque problème. Cela est suffisamment rare en France pour que je le souligne!
Merci Anne pour la cuisine sans chichi certes mais avec de vraies saveurs et certainement à très bientôt!

Etant souvent en déplacement dans le coin, j’ai du y aller déjà une bonne dizaine de fois !
Pas si simple de trouver un bon restau dans ce coin hyper touristique en été, et complètement vide l’hiver.
Le Kinawa, c’est la cantine des gens qui bossent à Port La Forêt (un grand pôle de la course au large). Tenu par la femme de Jean Le Cam (navigateur qui a fait le Vendée Globe), on peut y croiser Michel Desjoyaux, Samantha Davies ou encore François Gabart (celui qui l’a gagné cette année).
Côté plats, la carte est courte (4 – 5 entrées, 4 – 5 plats, 4 – 5 desserts) et change tous les jours avec quelques classiques qui eux né changent pas comme la fameuse saucisse de M. Picot, (en directde Saint Ivy, fourée avec des Pdt et des carottes, c’est trop bon) et des quiches de 5 bons cm d’épaisseur (non, on n’a plus faim après).
Tout est fait maison et suivant les saisons.
Le décor est sympa, les serveuses sont sympa et on peut profiter de la terrasse quand il fait beau, ce qui arrive de temps en temps, même dans le Finistère.
Bref, si le vent vous porte à Port La Forêt, faites escale au Kinawa !

Kinawa, l’Atelier des Saveurs Pour quoi faire compliqué quand tout est dit sur l’avis du petit futé
L’avis du Petit futé sur LE KINAWA: Il est des endroits où l’on se sent tout de suite bien, un peu chez soi. Kinawa est de ceux-​là. Il faut dire qu’Anne Le Cam a su faire de son petit resto frais un charmant cocon empli de bois clair et joliment égayé de petites touches de couleurs vitaminées, à l’image de sa cuisine. Car la maîtresse des lieux est aussi et surtout un sacré cordon bleu. Dans sa cuisine, ouverte sur la salle derrière le comptoir, elle concocte des plats simples, frais et surtout très bons. Ce jour-​là, un cabillaud à la diable et une mousse au chocolat régalèrent les papilles du futé gourmand. Soupe du jour, assiettes d’huitres, carpaccios ou tartare, brunch le matin Ici, pas de carte, mais une ardoise sans cesse renouvelée mettant à l’honneur des produits frais de saison. Sans oublier une belle proposition de vins. La maison est aussi un bar, une épicerie et met à disposition, charmante attention, des couvertures pour profiter par exemple d’un beau temps d’hiver sur la belle terrasse en bois et son mobilier coloré.