Aux Haricots

«Aux Haricots» … typiquement le genre d’endroit qui se veut cool et sympa mais qui, sous prétexte d’être sympa envers ses clients se permet de sacrifier le bien-​être du voisinage à son intérêt. Vous vous présentez comme cool mais vous né pensez qu’à vous. J’espère que vos locaux sont aux normes d’isolation sonore … à suivre

Un très beau petit troquet avec un charme fou !
J’y suis allé en suivant les conseils d’un ami convaincu par l’endroit et je n’ai pas du tout été déçu. L’ambiance y est excellente, tout le monde se connait et se dit bonjour et la discussion s’engage facilement avec les autres consommateurs. Le patron est attentif aux demandes de ses clients et n’hésite pas à apporter de bons conseils en matière de consommations.

Envie de manger des plats faits maison ?
Envie de manger des plats très bien cuisinés ?
Envie de satisfaire une grosse faim ?
Envie de manger puis de profiter d’un concert ?
Envie de profiter d’un concert tout en buvant un verre ?
C’est un lieu hybride. Entre le troquet désuet du coin avec ses habitués, le café-​concert dynamique et le restaurant sans chichi mais de grande qualité (et quantité).
J’y suis allée pour profiter d’une soirée concert avec un dîner.
J’ai rarement autant apprécié un repas nordiste (c’était ce qui était proposé ce soir-​là). Copieux, chaleureux et savoureux. J’ai eu du mal à finir mon plat d’ailleurs. Mais quand c’est bon, on né gaspille pas et on digère un peu avant d’entamer le dessert !
Le concert se fait dans la salle du fond, dans une ambiance totalement rétro. Le genre d’endroit que soit on aime soit on n’aime pas.
Il y avait de l’ambiance avant même que ça commence.
Petite note: Il y a des vraie nappes sur les tables. Ce n’est pas souvent que j’en vois donc j’insiste sur ce détail.
Grosse note: Les plats servis au cours de la semaine sont noté sur un grand tableau en ardoise. Pas mal pour programmer une date pour y manger si vous venez avec quelqu’un qui est difficile. Idéal pour saliver aussi !

ça faisait un bout de temps que la terrasse des Haricots me faisait de l’oeil: quartier de Wazemmes, nappe en vichy rouge, ambiance détendue, brasserie, bières, il fallait que j’y fasse un tour !
Un beau jour ensoleillé de marché de Waz, avec une pote, on se décide de s’y poser. Et ça tombait bien: une table venait de se libérer.
On entre dans le bar (vidé de ses tables et chaises) pour indiquer qu’on souhaite déjeuner en terrasse. Manqué de bol, la serveur nous dit qu’elle a vendu tous ses plats, il né reste plus rien. Tant pis, on prendra juste une bière.
Ma pote nous choisi la St. Bernardus triple en bouteille, une petite relique biérologique !!
Sur notre table, il y avait une petite banette de pain qu’on a mangé sans rien demander à personne et on a même dérobé la bolinette de cacahuètes de la table voisine qui avait été désertés de ses occupants ^^
A côté de nous, un monsieur s’installe sur la table voisine. Visiblement, c’était un habitué. La serveuse lui demande ce qu’il souhaite, il commande et elle lui ramèné … une assiette de crudités avec de la charcuterie. Ok, quand on avait dit qu’on voulait déjeuner, une assiette de crud avec de la charcut nous aurait suffit, on demandait le repas gastronomique avec petits fours/​entrée/​plat/​trou normand/​dessert/​café et pousse café. On s’est demandé si elle né se foutait pas un peu de notre gueule.
Soit, pas rancunières pour un sou, on commande un autre verre. On était bien, sur cette petite terrasse ensoleillée tardivement dans l’aprèm.
Je me rends au bar à l’intérieur pour prendre commande. La serveuse était en train de taper discut avec un client. J’aurais pu faire un numéro de jonglerie avec des briques enflammées qu’elle n’aurait pas plus tourner la tête pour me recevoir. Après qu’elle ait fini sa conversation très certainement hautement intéressante, elle a daigné prendre ma commande avec un engouement qui faisait peur à voir.
Je n’en démords pas, prends ma commande et retourne en terrasse.
Après plusieurs verres et quelques allers/​retours de la serveuse entre le bar et la terrasse, on a trouvé qu’elle graissait un peu trop la patte des clients visiblement habitués: «ça va, Pat’? Tu veux un autre truc, Pat’? Tout va bien, Pat’? Un café, Pat’ ?» Agaçant !!
On avait l’impression que pour obtenir l’intérêt de la serveuse, il fallait être un habitué. Mais comment devenir habitué si on n’est jamais venus une fois ??
Enfin bref, j’y retournerais surement parce que le choix de bières bouteilles est assez incroyable en termes de qualité et que le prix n’est pas élevé. Dommage que l’accueil du personnel soit aussi froid, ça pourrait vraiment être top !

Enfin, j’ai mangé Aux Haricots ! L’idée datait depuis un moment mais pas moyen de trouver un créneau commun pour y aller. Et là totalement improvisé, un dimanche midi, ou plutôt un dimanche 14h30 bien entamé, on a testé ! Plus que deux plats du jour en cuisine alors qu’on est 3 (c’est normal, un dimanche matin à Wazemmes, on n’est pas seul à avoir l’idée de s’arrêter là…). On prend donc les deux derniers plats (sorte de Paëlla) et une entrée de mezze transformée en plat plus tard, nous voilà rassasié ! L’assiette correspond totalement ce qu’on m’avait décrit: de la bonne cuisine maison en quantité.
Au vue de la devanture, je m’attendais à quelque chose de beaucoup plus vieillot à l’intérieur mais les petites nappes à carreaux noirs et blancs rafraîchissent la déco. Les banquettes sont confortables, propices pour rester un peu plus longtemps même si le choix unique du dessert (vue l’heure tardive ?) nous a poussé plus vite vers la sortie (d’un autre côté, vu la quantité dans l’assiette, le dessert aurait été de la pure gourmandise). Bön choix de bières et de vins pour accompagner les plats. Un déjeuner simple et pas cher. Au service, deux personnes cools. Que demander de plus? Peut être une petite note sucrée pour accompagner le café, un chocolat ou un spéculoos pour terminer le repas ?
Le charme de ce café-​guinguette désuet et sa cuisine en fait une bonne adresse quand on la flemme de cuisiner. Et s’il est tard, n’hésitez pas à passer un petit coup de fil avant d’y aller pour vous assurer qu’il reste encore quelques plats en cuisine.

Quel café !
Mais le Haricot c’est quoi? un café? un restaurant? un dancing? un peu de tout cela.
Chaque midi, du dimanche au vendredi, deux plats maisons y sont servis. Les menus de la semaine sont affichés sur un grand tableau noir: chicons gratin, tajine, cassoulet, plat végétarien… Les assiettes sont superbes, et extrêmement bien garnies — anorexique s’abstenir — pour un tout petit prix ⁸⁄₉ euros le plat, 3 euros l’entrée ou le dessert.
Le café prend des airs de bistrot de quartier en fin de journée quant aux soirées elles valent le détour. Les thématiques loufoques né manquent pas: soirée pétanque (dans le café!), chasse aux œufs de pâques, concerts, soirée «choucroute — ricard» pour les naufragé(e)s de la Saint Valentin, reconstitution de crèche vivantes pour noël (avec les clients), boeuf jazz un dimanche midi sur deux…
Les clients sont invités a passer la musique qu’ils souhaitent à partir du pc portable. Je n’ai jamais vu danser spontanément autant de monde dans un troquet. Un vrai bar parallèle, où les rencontrent se font simplement. Cela change des bars rétro — branchouilles où tout le monde s’observe, se dévisage sans se parler.
Le service est top et les boissons sont supers raisonnables.

Mes colocs, lillois et bien ancrés dans la région, ont comme repère, Aux Haricots.
Aux haricots dénote selon moi parmi les bars et restaurants de la rue Gambetta.
Il dénote par l’ambiance sympathique que l’on y trouve, par l’espace intimiste et convivial, par sa restauration.
Aux Haricots on né se prend pas la tête. Quand c’est ouvert, on s’y sent bien pour prendre une bière. Mais parfois il né faut pas s’étonner de voir la bamboula dedans mais un signe du gérant qui avertit qu’ils sont fermés.
Après une lecture à la librairie Bateau Livre, tout le monde se retrouve aux Haricots.
Le dimanche, on va prendre un café gourmand Aux haricots ou finir par une bière.
Un repère qui tend à devenir le mien.

Oooooh, comme il est mignoon!
Quoi? et bien ce resto là, rue Gambetta. Avec sa façade singulière, il annonce dès l’entrée une ambiance super mimi. Très rétro avec ses rideaux aux fenêtres et ses petites lumières, vous y serai comme des rois si vous êtes en quête d’un lieu intime, plutôt calme.
Côté papilles, la carte est tournée cuisine traditionnelle de brasserie (tripe grillée, civet de lapin, gratin d’endives etc), pas forcément raffinée mais délicieuse.
Bref, une petite perle de café brasserie.