Le Campanella

Un bistrot comme un autre, mais avec en plus un patron super sympa, ce qui fait toute la différence. Dommage qu’il y ait autant de dealers qui squattent devant et parfois à l’intérieur…

Métro, boulot, dodo. Au milieu de tout ça, on fume. D’aucuns iront aussi boire une bière, un café, un coca, le temps d’une pause.
Tout le monde a donc son bistrot, son tabac. Allons dans celui-​ci. Des gens souriants, des gens rêveurs, au comptoir, ou attablés.
Et un patron sympa. Parfois un mot drôle, toujours de bonne humeur, il porte en lui ce qu’on recherché dans nos petites habitudes, un peu de sourire.

Soyons clairs, un café tabac reste un café tabac et vous trouverez dans chaque ville un homologue nommé «Le Campanella». (ou encore le Rallye, le Flint, le Faidherbe…).
Pas très recherché au niveau du nom de l’enseigne il est vrai, mais l’endroit est chaleureux et accueillant. Les prix des jeux sont bien entendu standard mais les consommations né sont pas chères. Ainsi, tout le monde peut trouver un peu de chaleur humaine au Campenella, et en ces temps difficiles, ça se prend volontiers.

Deux portes, mais une atmosphère.
Quand on arrive au Campanella, déjà il né faut pas se tromper de portes, car il y en a deux. (L’établissement s’étale sur deux adresses).
Ensuite, vous avez le comptoir sur votre gauche, et un espace café dans le fond (relativement grand). On peut y jouer son euromilions ou son loto sans problème, bien qu’il faille souvent demander au bar un stylo à prêter (ils se les font voler sans arrêt apparemment).
Le patron est super chaleureux et discutera avec une pointe d’ironie avec vous de vos chances de succès à ces jeux de hasard. Mais comme il le dit si bien, «si vous jouez pas, z’êtes sûr de pas gagner! «En tout cas, c’est convivial, les consos sont vraiment pas chères, mais on y viendra la plupart du temps que pour dépanner. C’est pas un endroit In, tout au plus un lieu pour se mettre une mine.