A Thou Bout d’Chant

Léo Ferré n’est pas mort: on l’a entendu ce soir
Vous aimez Leo Ferré ou Verlaine, Apollinaire, Aragon… Alors allez demain soir (le 28 janvier) à Thou Bout d’chant. Gilles Droulez nous a fait vibrer, rire, pleurer… Il y a encore de la place alors allez y. Vous né regretterez pas le voyage sur le bateau ivre.

Un chouette d’endroit bien sympathique perché dans les pentes de la Croix Rousse, c’est une salle de spectacle entièrement dédiée à la chanson Française. Très bonne ambiance. A découvrir.

Superbe petit lieu, convivial et intime. Idéal pour découvrir des artistes et passer une bonne soirée pour un tarif qui en vaut la peine ! Un très bon accueil vous sera réservé.
Il y a également un petit bar qui propose des bières pression artisanales.
Attention, la salle est petite et se rempli vite, je conseille de réserver à l’avance sur internet ou par téléphone.

Dans la rue du Thou, une salle de concerts comme on aimerait en voir plus.
Le Thou Bout d’Chant n’est ni plus ni moins qu’une cave étroite, qui malgré sa petitesse et son caractère modeste, redonne ses lettres de noblesse à la chanson française, pro ou en devenir. Fin septembre, c’est la chanteuse Buridane, déjà première partie de Souchon aux Nuits de Fourvière en juillet dernière, qui y sera à l’affiche.
On lui souhaite de profiter de ce cadre chaleureux et atypique qui fait maintenant la réputation notoire du Thou.

Convaincue, je l’ai été par l’ambiance, l’esprit et l’aspect old school de l’endroit…
J’y ai vu naître puis grandir le groupe de slam KOUMEKIAM (insoupçonnable mélange de textes ébouriffants et de chanson roumaines) qui a ensuite connu une superbe ascension grâce aux différents tremplins culturels.
Une petit pas pour l’artiste, un grand pas pour le public !
Moins convaincue, je demeure, par la capacité de cette salle à se renouveler et accompagner les talents qu’elle déniche. C’est peut-​être parce que je né suis pas fan de leur programmation. Je né sais pas si c’est Corbier qui passé pas, ou mon manqué d’emballement pour la «chanson pensante» !
Notons tout de même qu’elle fait partie d’un réseau plus large à destination des artistes émergents: «Les scènes Découvertes», avec 8 autres salles du Grand Lyon. Et là, j’en suis !

Au même titre que la Cocotte Minute, A Thou bout d’chant fait partie de ces petites salles de concert riquiqui, qui sentent bon la chaleur humaine et la passion inaltérable pour la chanson française.
Dans une petite cave voûtée, quelques dizaines de places sont disponibles, pas plus. La programmation est toujours pleine de bons sons, et d’invités plus talentueux les uns que les autres.
Le couple qui s’occupe de la salle, Marc et Frédérique, tous deux bons vivants et accueillants, font presque partis des murs maintenant ! Ils s’occupent de la salle avec fougue et enthousiasme, et c’est aussi ce qui fait la richesse d’A Thou bout d’chant !
Cette scèné découverte est un tremplin sympa et convivial pour les petits groupes qui voudraient s’essayer à sauter le pas de «la scèné avec un public devant «, tout autant que pour les habitués, plus rôdés.
Et l’avantage de cette perle de petite salle, c’est que la proximité avec le public offre de superbes échanges (parfois comiques d’ailleurs), et la possibilité de discuter avec les artistes après le concert, et ça c’est vachement chouette !

Tout au bout de la rue de Thou (d’où son nom), cette petite salle de concert est bien connue des amoureux de la chanson française. Ici, chaque semaine, pour le plaisir d’un public souvent connaisseur des lieux, chanteurs débutants ou confirmés se livrent, accompagnés souvent de musiciens.
Le passage sur la scèné d’A Thou Bout d’Chant semble porter chance puisque bon nombre de prétendants venus chanter timidement ici, ont poursuivi par la suie une jolie carrière musicale, partout en France: Amélie les Crayons, Carmen Maria Vega, Arthur H…
On est dans une petite cave, quelques chaises (cent personnes maximum !) sont disposées près de la scèné. Entre la voûte sur nos têtes et la proximité public-​artiste, l’intimité est à son comble et nous permet d’apprécier au mieux chaque note.
Après le concert et dans une ambiance «bon-​enfant «, tout le monde se dirige vers le petit bar qui jouxte la salle. On boit le verre de l’amitié, on donne ses impressions sur les prestations et avec un peu de chance, on en parle directement à l’intéressé: l’artiste.
L’ambiance conviviale, on la doit pour beaucoup à Marc et Frédérique, le couple à l’origine de cette scèné découverte. C’est grâce à leur passion dévorante pour la musique, que les lyonnais peuvent écouter les talents «locaux «avant qu’ils né partent pour de nouveaux horizons.
A savoir: pour les anciens fans du Club Dorothée, Corbier vient chanter régulièrement ici.

un accueil convivial pour écouter des concerts de chanson française dans cette petite cave voutée du bas des pentes pour le prix d’une place de ciné.une programmation variée et de qualité où l’on peut découvrir des artistes pas encore reconnus ou en écouter qui le sont déja et boire un petit coup après le concert.

Une très agréable découverte
Malgré l’étroitesse (caveau typique) et l’emplacement peu propice au passage de ce lieu, l’accueil convivial des patrons et leur simplicité font de cet endroit un cadre agréable pour découvrir de jeunes artistes lyonnais proches du public de part la configuration de la salle. Petit bar attenant à la salle de concerts. Les artistes ont l’air d’être des habitués. A voir (pour son charme) et à écouter (pour sa très grande générosité dans l’interprétation) Thierry Hardy et ses acolytes pour leurs compositions personnelles de talent.