Apériklub

Je suis longtemps allée à l’apériklub le jeudi soir pour les after work, où il était possible de se restaurer auprès du buffet, d’une qualité, certes, discutable! J’y ai vraiment passé de bonnes soirées entre filles, bien que l’aspect «m’as-tu vu» me rebutait quelque peu.
L’endroit est agréable et bien pensé, surtout la terrasse, néanmoins les consommations sont chères, les serveurs et serveuses sont visiblement recrutés plus pour leur physique que pour leurs compétences.
La fréquentation s’est rajeunie et le bling bling insupportable!
C’est essentiellement un lieu de drague et de rencontre où les gens se prennent pour ce qu’ils né sont pas. C’est une vitrine de la fausse bourgeoisie lyonnaise, que je me plais désormais à éviter!

Si vous avez une carte platine (eventuellement gold mais après faut pas dégommer), ce lieu est fait pour vous.
Si vous avez une robe prada et un sac longchamp, ce lieu est fait pour vous.
Si vous aimez être entouré de gens qui marchent en ayant l’air de répéter tout «je suis bonne je suis bonne, regardez moi» ce lieu est fait pour vous.
Si vous aimez le contact chaud et moite dinconnus qui trepignent sur une musique digne de radio scoop, ce lieu est fait pour vous.
En gros si vous aimez les endroits tape à l’oeil, dans lequel on rencontre toujours le même type de gens, et que vous avez un très bon salaire et que vous aimez le claquer en boissons, courez, volez dans ce lieu !

L’apériklub est un haut lieux des soirées lyonnaises. Effectivement, l’endroit est très bien situé car il se trouve en plein cœur du quartier des Brotteaux…
Le bar /​boîte est très sympa, la déco hyper moderne et épuré, la terrasse est très agréable et permet aux fumeurs de passer une soirée en compagnie de pleins de personnes (terrasse souvent bien remplie)
La musique est plutôt sympa…
Seul bémol les gens ont ce besoin de montrer qu’ils en ont dans le portefeuille…

Trainée par des amis pour une soirée buffet, je me souviens avoir du me battre pour me servir face à des hordes de «pouffes» en talon aiguilles (je pensais sincèrement que ce type de «femmes» né mangeaient pas… jamais… et bien siiii!).
C’est tape à l’œil, on sort sa golden et on est content!
Niveau son… pas mon créneau, du hip hop/r’n’b désaffecté, radio scoop, fun radio et compagnie!
J’ai connu bien mieux mais il faut reconnaitre qu’il y a du potentiel au niveau du lieu… dommage!

Je vais assez rarement labas, ce n’est jamais ma volonté qui m’y conduit et pour cause… Vous n’y passerez pas une bonne soirée, le staff y veillera…

L’apériklub, j’y vais de temps en temps avec les copines. Je n’ai jamais été vraiment fan de ce lieu qui pourtant aurait tout pour plaire. La salle est sympa. La déco est tout à fait comme j’aime. La terrasse est encore plus cool. On s’y sent plutôt bien.
Par contre, la musique n’est pas vraiment mon style et surtout, la clientèle. Il y a pas mal de groupe de garçons qui viennent en costards prendre leur magnum et bien montrer qu’ils ont les moyens de le faire (messieurs, le costard la semaine je veux bien en afterwork mais le samedi, ce n’est pas la peine). Ce genre de garçons attirent les filles courtement vêtues qui viennent minauder en espérant avoir un verre et un numéro.
Si on passé outré les playboys des bacs à sable qui pensent pouvoir draguer n’importe qui avec succès, on passé souvent une bonne soirée à l’apériklub.

Il y a jadis il fut un temps une jeune fille (moi, j’étais beaucoup plus jeune a l’époque) travaillant a Paris, mais qui, pour des raisons professionnelles, se rendait tous les ²⁄₃ mois a Lyon. Cette jeune fille travaillait a la Villette et ses collègues avaient tous le même âge qu’elle. Si bien que quand elle arrivée un matin lors d’un de ses déplacements, l’accueil qu’elle reçut fut pris avec joie:
«Aureliiiiiie, faut qu’on te sooooorte ce soiiiir!»
Et ouais, ma première –et seule– virée à l’aperiklub remonte pour moi a 2007! Mais je m’en souviens très bien. On y était allés directement après le boulot en mode afterwork. J’ai été invitée par tous mes collègues. Et heureusement: c’était cher pour la pauvre bichette que j’étais. Je m’en souviens aussi comme d’un bar très guindé. Un peu trop pour moi. Car déjà à Paris je né sortais pas beaucoup (à cette époque) car trop cher donc la ça me semblait être pareil.
Je me souviens qu’il y avait un buffet ce soir la avec plein de choses a grignoter, ça j’avais trouvé ça pas mal. Nous n’y étions restés qu’une petite partie de la soirée et avons fuit après 22h pour trouver un endroit beaucoup plus calme au dîner.

Ok l’endroit est sympa mais la sécurité, c’est pas qu’à l’extérieur. J’y suis allé 2 fois, et non, dans une soirée, on né passé pas son temps à regarder sa veste toutes les 2 minutes. Première fois, veste en cuir volée et un patron qui n’en a absolument rien à faire et seconde fois des types qui tournent autour des affaires et font semblant de s’être trompés en prenant une veste au hasard.
Bref, la sécurité, c’est bien, mais pas qu’à l’extérieur pour voir qui rentre… et la gestion des vols est inexistante. Bref, dommage, car le lieu est sympa mais la direction pas top.

Malgré le grand nombre d’avis négatifs lus et entendus sur l’Apériklub, samedi soir je me suis enfin décidée à y aller avec une amie.
Tout d’abord, comme tous les bars de nuit et les boîtes de la gare des Brotteaux, le videur nous regarde de la tête aux pieds avant de vérifier notre âge.
Arrivées là bas, l’intérieur est surpeuplé, on arrive à peine à se frayer un passage jusqu’au bar. Bön allez, on va voir si dehors c’est moins rempli ! Chose faite, la terrasse est très agréable, plutôt grande et le bar au centre utilise l’espace à son avantage. Étant en hiver, des espèces de radiateurs sont installés au plafond. Pratique.
Les serveuses de l’extérieur sont sympathiques, et font leur possible pour être disponibles.
Niveau people, certes, encore une fois tout est basé sur le «m’as-tu vu», avec l’impression que tous les Hommes présents ce soir-​là essayaient de faire les «riches» le temps d’une soirée, quitte à dégainer tout leur SMIC en offrant des mojitos aux gentilles demoiselles vêtues de robes courtes.
Cependant, si l’on passé outré, on peut y rencontrer des personnes vraiment intéressantes, respectueuses, qui sont ici pour passer un bon moment, pour échanger autour d’un verre dans une ambiance détendue, classe et ayant malgré tout une bonne réputation.

Une ambiance qui peut paraître hautaine de prime abord.
Après plusieurs jeudi, les masques tombent néanmoins et on sympathise avec des working girls and boys qui sont là pour profiter d’un moment simple et d’un lieu plutôt bon enfant au final.
On né peut nier que l’aperiklub est plutôt dédié aux CSP+ à la recherché de contacts professionnels et de beau monde, mais alors que les heures s’égrènent, la musique sait dérider les plus froids et on passé souvent un excellent moment.
Les tarifs demeurent élevés bien sûr, comme souvent aux Brotteaux, mais on passé un excellent moment avec ses amis quand on sait faire fi des préjugés inhérents à ce genre d’établissements.
Je le recommande le jeudi ou le vendredi pour sa clientèle plus «professionnelle». Les amateurs d’afterwork pourront même trouver un buffet gratuit et de jolies places en terrasse s’ils viennent assez tôt.
Je déconseille le samedi, quand l’établissement se fait plus jeune, plus bondé et donc plus stéréotypé…

Votre attention s’il vous plait, vous entrez dans un lieu réservé aux personnes munis d’une Gold ou d’une Black (de préférence). Vous n’allez pas à Courch l’hiver? Ni à St-​Trop l’été? ahah, mais sortez de là !

La déco est top ! L’ambiance est sympa À essayer

Un bar branché, qui existe toujours. Lyon n’est pas une ville qui bouge et le monde de la nuit reste figé. Pour boire un verre entre pote. Les habitués se connaissent entre eux. Les physios à l’entrée sont détestables.

No Way.
Du videur au patron. Tout sent la condescendance. Pas pour moi.
Je pourrai m’y fondre mais ce n’est pas ma sphère. Si vous collez a ça. C’est votre lieu de fête. Pas le mien!

Bön alors posons le contexte: je déteste ce genre d’endroit déjà en temps normal.
Sans vouloir faire de sociologie mal placée, l’apériklub est un endroit où se croisent plusieurs catégories de personnes:
— les groupes d’amis qui veulent passer une bonne soirée mais qui plutôt que d’aller boire un verre dans un bar sympa préfèrent lacher 40 euros pour une bouteille de rosé immonde, pour être «au K», parce que c’est tendance,
— les «vieux» plutôt aisés qui veulent rester «in» dans le monde de la night lyonnaise et qui du coup sortent leur cougar attitrée au K, parce que c’est tendance,
— les cougars en chasse justement,
— les groupes de mecs célibataires qui se font mortellement chier puisqu’ils né s’adressent pas la parole de la soirée (non ils né sont pas venus pour faire la fête entre potes) et passent leur temps à mater de manière fortement agressive et peu discrète le moindre humain disposant d’attributs féminins,
— les gens qui ont des sous et pas de goût,
— et puis moi.
Donc déjà au niveau social je né me suis pas sentie dans mon élément.
Ensuite, le bar.
J’ai déjà évoqué le rosé dégueu à 40 euros.
Dois-​je mentionner le Tariquet au même tarif? Ou encore le demi à 7 euros? Ou peut être serez-​vous convaincus avec le mojito le plus horrible de ma vie, à 12 euros? Je crois que vous avez compris le principe. En plus de çà la serveuse était extrêmement désagréable et méprisante («vous prenez qu’une bière?» *regard dédaigneux*).
Ah oui, et à partir d’une heure du matin, on te fait gentiment comprendre que toi, le pauvre qui n’a pas envie de leur donner tout ton salaire ce soir là, tu peux rentrer chez toi: ils né servent plus de vin, plus de bière, plus de cocktails. En gros, si tu prends pas de bouteille tu peux te brosser.
La musique, c’est de la musique commerciale pour danser, donc c’est pas ce que j’écoute habituellement mais bon c’était pas dramatique non plus. Fallait juste gueuler pour se faire entendre mais c’est plutôt normal pour un «bar dansant». Donc ici né vous attendez pas à découvrir le dernier DJ berlinois en vogue.
Donc voilà je me suis faite trainer là bas ce weekend, je me suis dit «pourquoi pas» (faut savoir être ouvert d’esprit parfois), mais on né m’y reprendra plus!

Ce n’est plus ce que c’était… A une époque, c’était vraiment un lieu incontournable de la nuit Lyonnaise, j’y allais tout le temps, et même quand j’était mort de fatigue après le travail je me motivé pour y aller car je savais que j’allais passer une bonne soirée. Ce n’est malheureusement plus trop le K ;) Mais la clientèle reste fidèle à elle même, mais c’est ce qui fait le charme de ce lieu.

Souvent les gens honteusement recalés au First se rendent à l’AperiKlub, qu’on aurait donc du appeler Second, vu qu’il s’agit le plus souvent d’un second choix.
Pourtant, l’AperiKlub est davantage un before qu’une vraie boîte de nuit. Ici, de beaux espaces, un vrai potentiel de bonne soirée, mais une musique très commerciale et des gens tout aussi imbuvables qu’au First, option jeunes immatures.
Pas plus intéressant que sa copine d’à côté.

J’ai suivi mes amis fêtards un soir jusqu’à cette boîte. Je né connaissais que de nom et a priori je me disais que c’était trop branché pour moi.
Au final, une fois là-​bas j’ai laissé tomber les a priori. Les gens s’amusaient simplement, ils écoutaient de l’électro en buvant leur coupe. Sur la piste de danse ça bougeait pas mal. J’ai perdu mes amis de vue, mais j’ai commencé à discuter avec d’autres gens. C’était sympa. Ah oui jusqu’au moment où une folle furieuse a déboulé avec un gros flacon de parfum Dolce Gabanna dégueulasse et en a aspergé tout le monde et particulièrement moi.
Je puais après c’était pas très cool mais je me suis dit que ça devait être ça les délires des jeunes filles branchés…

Je suis plutôt du genre à aimer les endroits branchés mais là non l’endroit est terriblement surfait, tout le monde a l’air de s’ennuyer, l’ambiance n’est pas vraiment à la fête On a plus l’impression d’être dans un repaire de gangsters que dans un endroit pour gens branchés.
Les filles n’étaient même pas trés jolies pour une boîte qui se veut branchée.
Bref, une grosse déception.

Ambiance sympatique mais trop m’as tu vu pour moi.
Mieux vaut né pas arriver trop tard car on est vite les uns sur les autres.