Je né peux pas me targuer d’avoir du «Bérénice» dans ma garde-robettes, ou plutôt du «Frédéric Krief», le créateur de la marque… et pourtant je n’y suis pas insensible…à ce qui paraît c’est pour les filles«douces et glamours, ingénues et sensuelles, chics et un brin déjantées»…enfin c’est ce qu’ils disent sur le site… mais je me reconnais ;) Même si, je né trouve pas que la marque soit déjantée, ou même rock attitude pour un sou, il est vrai que certains de leurs modèles me motiveraient bien pour mettre des centaines de sous… Surtout les robes, et certaines vestes aux couleurs flashy qui me plaisent beaucoup… mais bon, même ultra soldées, on s’en sort pour 100 euros minimum, et je trouve que c’est de l’abus ! En plus, je déteste aussi leur logo«ailes d’anges», je trouve ça tout simplement laid…
Julien L.
Rating des Ortes: 3 Lyon
Avec ses ailes dans le dos, Berenice incite à l’évasion(ou au vol à l’étalage, c’est au choix). Les vêtements de Berenice sont chics, donc chers(les deux notions sont unies pour le meilleur et pour le pire et jusqu’à…). Mais ils ont des ailes dans le dos, ils sont présentés avec soin, ils sont en cachemire, en soie, en or peut-être, ils rendent bien, ils te collent des ailes dans le dos et tu te prends pour Ricky, au bord de son nuage. Berenice est jolie comme tout, avec ses ailes greffées. Mais elle est tellement chère que j’attends qu’elle revienne sur Terre pour la considérer.
Camille P.
Rating des Ortes: 2 Lille
Dans ma vie de tous les jours, j’aime beaucoup les Bérénice. J’ai une chouette copine qui porte ce prénom et j’aime tellement la pièce de Racine que je l’ai en audio-book sur mon ipod. Donc la première fois que j’ai vu qu’une boutique lyonnaise portait ce nom, je suis entrée pour voir de quoi il s’agissait. Et là j’ai déchanté. Des pulls en cachemire aussi originaux que… Ah non, des pulls en cachemire absolument pas originaux, pardon, et des prix super gonflés! Il est hors de question que je dépense 200 euros pour un pull avec des ailes d’ange dans le dos vus et revus partout. Bref maintenant quand je suis rue de Brest, je m’arrête à peine devant les vitrines et j’attends surtout qu’une autre prenne sa place, ce qui finira par arriver vu le turn-over des vitrines dans ce quartier.