Bo Concept

A 3 reprises j’ai effectué des achats chez Boconcept un magasin de meubles «design» dont le siège social se situe au Danemark, pour un montant total de 10 416 € dans deux magasins différents, Lyon centre et St Priest. Souhaitant acheter plusieurs meubles pour mon appartement, j’ai fait appel à l’un de leur conseiller en décoration pour qu’il fasse une visite de mon domicile.
J’ai ensuite acheté un cadre de lit. Le vendeur qui est aussi le conseiller en décoration me remet un dessin conçu par ordinateur avec leur logiciel maison qui représente le résultat, ce qui explique que je jette un œil distrait sur la facture. Il me prévient que mon matelas dépassera en hauteur puisque je garde ma literie. Je l’ai renouvelée deux mois auparavant et je né veux pas en changer mais la plupart du temps ce cadre est vendu avec la literie de l’enseigne.
Une fois le cadre monté, le livreur me signale que ma literie fait 190 cm de long alors que le cadre du lit est prévu pour une literie de 200 cm! Imaginez ma stupeur.
Il y a un espace de 10 centimètres entre le cadre de lit et le matelas par lequel je peux admirer le linoléum ainsi que les planches sur lesquelles repose le sommier. Très design en effet.
J’émets donc des réserves sur le bon de livraison mais le livreur omet de m’en remettre un double et je commet l’erreur de né pas en exiger une.
Sans nouvelles de leur part, je téléphone au magasin ou on m’annonce qu’ils né peuvent rien pour moi. Ils né peuvent pas me reprendre le cadre de lit puisqu’il a été entièrement monté.
Étrangement, le Directeur du magasin était prêt à me vendre un même cadre dans une teinte différente, exposé en magasin et donc déjà monté.
De plus tous leurs cadres sont prévus pour des literies de 200 cm, la longueur standard actuelle d’après le vendeur, sous-​entendant que la mienne doit être ancienne. Elle a deux mois en effet.
J’envoie donc une lettre recommandée avec Accusé de Réception pour leur faire part de mes griefs et leur demander de me reprendre ce meuble.
Ils me répondent, je cite: «la visite qui a été faite à votre domicile [par un conseiller en décoration] était une prestation à part qui né concernait que la décoration globale de votre intérieur.»
Ah bon, mais quel est l’ intérêt de proposer une visite conseil alors? Et ma chambre n’entre pas dans le «global»?
Je cite encore: «Vous avez choisi vous-​même votre meuble et n’avez jamais émis, contrairement à vos dires, la moindre réserve sur le bon de livraison.»
C’est faux pour ce qui est des réserves, Monsieur ou Madame D. B, (directeur/​trice du SAV, vous né le précisez pas) et vous faîtes preuve d’une mauvaise foi évidente ou d’ignorance ce qui dans les deux cas me paraît quelque peu léger.
Ce n’est pas fini. J’ai un buffet dont les portes s’ouvrent en appliquant une légère pression dessus. Problème: une des portes né s’ouvre que si j’appuie 5, 6 fois dessus, ce qui à la longue est agaçant.
J’envoie un mail au SAV comme préconisé par une vendeuse. Celui-​ci réclame une photo des dégâts, ou des vices cachés or ceux-​ci sont invisibles. Il s’agit probablement d’un ressort cassé. Une photo né montrerait rien aux yeux d’un observateur même averti et né leur apprendrait rien de plus. Et je né possède pas d’appareil photo, ni de smartphone.
Donc le SAV traite ma demande par le mépris et m’ignore totalement. Ce qui augure bien pour la suite parce qu’il en aura une.
Pour information mon numéro de facture: osc-​15 157 pour le meuble de rangement et osc-​15 583 pour le lit.

Ayant reçu comme cadeau une carte 1000 et 1 listes (non, je né suis pas mariée…), j’ai comparé tous les canapés disponibles dans les magasins participants et c’est ici qu’il y avait le meilleur rapport qualité prix.
Et hop nous voilà parti à la boutique suédoise pendant les soldes. Notre choix était déjà avancé.
Et on y a été reçu très agréablement, notre consultante respecte notre décision et né cherche pas à nous montrer tout le magasin.
Pour le canapé de nos rêves on peut choisir différents styles de piètement et surtout il existe une gamme très variée de textures et de couleurs de tissus.
On réfléchit encore un peu par acquis de conscience.