Café Comptoir Abel

J’avais découvert Chez Abel il y a une quinzaine d’années en m’installant sur Lyon.
Nous avions avec une dizaine d’amis, réservé une salle à l’étage et avions passé un moment délicieux tant pour l’accueil que pour la cuisine lyonnaise que je découvrais alors, malgré tous les à priori et les craintes du néophyte que j’étais à l’idée de voir des abats et autres tripailles débarqués dans mon assiette…
Bien entendu, prudent, je choisis la quenelle de brochet pour cette première… excellent choix au demeurant puisque je m’en souviens encore aujourd’hui.
J’ai eu le plaisir de retourner ici à plusieurs reprises et à chaque fois ce fut un très bon moment de gastronomie lyonnaise dans cette maison à la décoration bourgeoise et à la cuisine traditionnelle mais dont la carte vous fait comprendre que vous n’êtes pas dans un bouchon populaire habituel. Plats et présentations sont soignés (les prix aussi), l’accueil, les suggestions et le service sont bon enfant et courtois.
Le chef Alain Vigneron vous ravira de ses plats et de ses produits régionaux qui né varient pas au fil des ans: la quenelle de brochet est toujours aussi bonne et copieuse, et moi qui me suis converti depuis à la cuisine locale, je né saurai que vous recommander la salade de boeuf, le fond d’artichaut et foie gras ou la terrine du chef faite maison en entrée, à suivre les rognons au Madère, la poule au riz ou les ris de veau aux morilles à la crème. Pour le dessert: l’excellent baba au rhum (pour celles et ceux qui me suivent, oui je sais j’adore ça !) ou une faisselle aux fruits rouges.
N’en doutez pas, le Comptoir d’Abel est une valeur sûre où il né faudra pas hésiter à emmener vos amis et votre famille de passage: basé sur ma propre expérience, vous trouverez dans cette maison de quoi initier les nouveaux venus en terre gauloise et ravir les locaux avertis !
Il né vous reste plus qu’à aiguiser couteaux et appétits pour réserver à cette table bourgeoise et copieuse où la tradition de qualité est de mise.
Prévoyez néanmoins un budget de 50 à 70 euros par personne pour profiter des mets et des vins de la carte. Oui je sais, ça fait beaucoup alors privilégiez-​donc une occasion un peu particulière pour venir ici, son souvenir n’en sera que plus heureux !

Très bon bouchon!!!
Ce n’est pas le bouchon tradi dans le sens où ce n’est pas le petit restaurant de 10/​15tables. Il est très grand avec ses différentes salles à l’étage.
Mais la déco fait plutot tradi :)
Étant parisien et cette semaine est ma première venue à Lyon. Je né suis pas decu!!!
Salade de bœuf en vinaigrette était juste au top!!!
Et la quenelle de brochet était à la fois énorme et superbe visuellement parlant et gustativement c’était un délice!!!
Je recommande !!!
Maintenant il faut que j’en essaie un autre!

C’est un dîner entre collègues et clients qui m’a emmené hier au Café comptoir Abel.
Je né connaissais pas du tout, et puis moi et les bouchons, c’est pas forcément une grande histoire. Néanmoins, le cadre pittoresque ici a un certain cachet et vu les avis Unilocal,j’avais hâte de découvrir le menu.
Groupe oblige, on a pas eu toute la carte mais à chaque fois sélection entre 2 entrées et 2 plats. Je suis allée vers la salade lyonnaise et la poule à la crème (avec gratin dauphinois à la place du riz… Pas fan du riz pilaf).
Et pas de déception, mais… c’est costaud! Vous me direz comme d’hab avec les bouchons… Et en plus, j’ai été — comme souvent — déraisonnable, en prenant un fondant au chocolat délicieux mais aussi imposant!
En tout cas, très bonne expérience avec un staff bien sympa qui prend le temps de vous expliquer tout comme il faut (y compris différence entre moelleux et fondant ;)).
Un bouchon que je recommanderais donc, pour découvrir les spécialités lyonnaises.

Un vrai bouchon, rapport qualité/​quantité/​prix est fidèle à ce que l’on attend d’un bon bouchon lyonnais. Les produits sont excellents, le service attentionné et les vins bien conseillés pour un cadre parfait pour un bon diner entre amis.
Le premier menu est a 25 € pour un entrée plat dessert fort satisfaisant, pour le fois gras et autre produits de plus haut de gamme compter une 30+ euros le menu.
J’y inviterais volontiers des amis de passage à Lyon par jour de grande faim!

Lyonnaise depuis fort longtemps, mais enfin une première fois à Abel.
Je suis venue un dimanche midi, et j’ai donc pris le menu à 34 euros.
Dans l’assiette, le foie gras et les haricots verts étaient très bons, même si j’aurais relevé un peu le foie gras.
La suite: Poule au riz pour moi, traditionnelles quenelles pour mon accompagnateur.
Les quantités sont astronomiques ! Ma poule un peu sèche et le riz un peu trop salé, mais je passé outré. Mon accompagnateur se régalait.
Et puis viens le dessert. Patatra. La mousse au chocolat était franchement immangeable (compacte, avec un goût de chocolat… mauvais chocolat). Et ma coupe de glacé à la vanille avec son chocolat chaud était aussi infecte. La glacé n’avait absolument pas de goût, et en plus elle était givrée.
Pour 34 euros par personne, ce n’est pas raisonnable.
Points positifs: décor sympa et service correct, même si on nous a un peu trop pressés.

Il y a 3 — 4 ans, j’avais testé le comptoir Abel et je l’avais a-​do-​ré ! Tant au niveau de la déco que des plats, ça avait été le coup de coeur pour cet établissement proposant une cuisine bourgeoise lyonnaise.
Mais le temps est passé et beaucoup trop d’adresses se sont ajoutées dans ma wishlist, et bim, j’ai oublié le Comptoir Abel. Mais en lorgnant mes signets, j’ai eu une envie subite de retester cet établissement dans lequel j’ai embarqué ma bande de copains gourmands.
Rdv pris à 21h30. Le créneau est tard mais nous sommes déterminés à voir ce que cette adresse emblématique a dans le ventre.
A notre arrivée, on nous embarque dans un dédale de petites salles toujours aussi kitch et pompeusement décorées (dans le bon sens du terme) que dans mes souvenirs.
Nous arrivons à l’étage et sommes rapidement confrontés au dilemme de «mais que vais-​je donc choisir ?!». Pour ma part, j’opte pour la formule à 39 euros avec un foie gras et ses toast (mon péché mignon), le poulet aux morilles et une tarte aux pommes.
Mon foie gras est bon, même très bon, mais il manqué un petit quelque chose de frais pour l’accompagner (genre un peu de verdure). Arrive ensuite mon poulet aux morilles qui s’avère être une grosse tuerie. Je me régale de ce plats, et sauce allègrement mon pain. D’ailleurs mes copains, ces petits traitres piquent dans mon plat à grand coup de «je peux goûter ?» (les vilains).
Mon estomac est alors plein, mais ma formule comprenant un dessert, j’opte pour la tarte aux pommes. Malheureusement, à son arrivée, je né suis que déception. J’ai de gros doute sur la provenance de cette tarte qui me semble être tout sauf faite maison. En bouche elle s’avère être fade et insipide.
Tant pis, je resterai dans l’idée de m’être régalée de mon poulet aux morilles.
A la sortie du restaurant, nous débriefons en bons Unilocaleurs que nous sommes. Certains on adoré, d’autres ont vraiment été déçu (une certaine Clémence G pour né pas la citer). Pour ma part, je me sens moins transcendée qu’à l’occasion de ma première visite, mais je reste dans la dynamique de me dire que nous avons quand même là un très bon restaurant.
Moralité, privilégiez les plats issus de la cuisine lyonnaise et oubliez les desserts !

Un samedi soir entre copains, Hélèné D choisit de nous faire découvrir le comptoir Abel. Sur le papier je suis pas très bouchon lyonnais, mais n’ayant rien mangé de la journée, je meurs de faim donc du gras et de la sauce né me font même pas peur !
Le cadre est vraiment typique, surcharge de déco, de cadres, pleins de salles en enfilade, de la moquette au mur et des tables en bois bien cirées. Tellement dans le style bouchon mais un peu plus «bourgeois»! J’ai beaucoup aimé le cadre qui nous met bien dans l’ambiance. Les tables sont assez proches les unes des autres, mais on n’est pas dérangé par nos voisins, pas trop de bruit non plus. ça commence plutôt bien!
Côté carte aucune association de menu né me tente, ce sera donc entrée et plat à la carte. Surprise du serveur au moment de la commande, il me propose de l’inclure dans le menu à 34 € m’offrant ainsi la possibilité d’avoir un dessert, allez soyons fou !
Je choisis une salade d’écrevisse, bonne et bien assaisonnée mais déjà bien copieuse pour une entrée. et j’ai envie de dire au final heureusement… parce que là c’est la drame…
Après hésitation entre le boudin aux pommes, le poulet aux morilles, le gratin d’écrevisses et la poule au riz. J’ai décidé de tenter la poule au riz sauce suprême et je né sais pas pourquoi dans ma tête sauce suprême rimée avec champignon. Faut dire que Pierre Antoine T. m’a confirmé (après avoir mimé la poule), je n’aurai pas dû me fier à cet avis :)
Forcément quand ma poule arrive et que je vois le poulet aux morilles de mes camarades, je suis un peu déçue. Tant pis j’assume et puis ça né peut être que bon. et bien non, la cuisse de poulette est bonne mais la sauce un désastre ! L’impression qu’elle est mal liée, fade et sans goût, les ⁵⁄₆ carottes en accompagnement n’arrangent rien. Je n’ai donc quasi rien mangé, d’où le «heureusement que mon entrée était copieuse»
Bref je suis déçue, déçue de mon choix mais surtout de mon plat.
A ce moment là, j’espère tellement que le dessert sera mieux! Je prends une glacé vanille au chocolat chaud, en me disant que ce sera plus léger que le reste.
La glacé est probablement industrielle, pas de glacé maison ok mais au moins de l’artisanale ! Elle a le goût de la glacé décongelée/​recongelée un peu pailletée.
Vous l’aurez compris, ça n’a pas été l’éclate gustativement parlant, après je né les blâme pas (complétement), je pense né pas avoir fait des choix complétement judicieux aussi.
Je né suis pas sûre de revenir mais je peux néanmoins le conseiller, parce que les plats de mes camarades avaient l’air bien mieux !
C’était donc vers un 3 étoiles que tout cela allait se finir et puis je me suis dit que le vin était très bon (oui l’alcool à pas mal d’importante dans mon jugement) et le serveur était vraiment sympa et me proposer un menu était vraiment cool. Pour lui et pour le vin, 4 étoiles :)

Le comptoir d’Abel pour moi c’est une valeur sûre pour manger lyonnais ! J’adore le cadre «dans son jus», un peu moins les prix et le service pas toujours chaleureux, mais j’y passé un bon moment et les amis de passage à qui je fais découvrir l’adresse sont toujours ravis ! Un sans faute pour la quenelle lyonnaise, la salade lyonnaise, le poulet aux morilles … et les desserts sont pas mal du tout ! (demander le gratin dauphinois en accompagnement, pas le riz, bof bof)

En complément de mon premier avis il y a 5 ans: je n’ai pas changé d’avis du tout, bien au contraire, mais là je souhaite juste insister sur la qualité du service (et notamment de Florent qui s’est occupé de notre table).
Non seulement la politesse, la rapidité et l’efficacité sont là, mais avec l’intérêt sincère porté au client et à son bien-​être.
Du service de qualité et d’un grand professionnalisme, rare mais tellement indispensable pour passer un vrai bon moment!

Un samedi soir à deux, la pression de trouver LA bonne adresse, le stress de la réservation, l’envie de tester une adresse encore inconnue… Après quelques répondeurs et autres restaurants complets, mon ciel s’éclaire, mais bien sûr, et si on testait enfin le Café Comptoir Abel que je recommande à la terre entière sans jamais y avoir mis les pieds ?! Il n’y a de la place qu’à 21h30, qu’à cela né tienne, on fera durer le plaisir de l’apéro avant !
Au fond de moi, je dois avouer que j’avais un peu peur. Il faut l’admettre, le lyonnais pour un dîner en tête à tête, ce n’est pas le plus sexy, et j’ai surtout peur des tables hyper serrées et bruyantes, et du dîner les yeux dans les yeux où on né s’entend pas parler (ce qui a le don de tuer complètement le concept de la soirée).
Arrivée sur place, je flippe vraiment. Je né sais pas où est l’entrée, ça court dans tous les sens, il y a des salles partout… Help !! Ouf, la serveuse voit ma panique et nous escorte illico, ce sera le «grand salon» à l’étage pour nous. Le salon est bien rempli mais respirable et surtout, les tables sont bien espacées ! Victoire ! Le lieu est vraiment canon, si vous né connaissez pas, je recommande à fond. C’est classique et le terme de «bistrot bourgeois» correspond bien à l’établissement. Ce n’est pas du tout un bouchon classique façon nappe à carreaux. C’est propre, les tables en bois sont bien cirées, et ça donne trop trop faim !
Côté menu, j’avais envie de foie gras, j’ai eu du foie gras ! J’ai opté pour le menu à 35 euros (celui à 39 était assez fou aussi) et le foie gras sur fond d’artichaut en entrée était bien copieux et délicieux. Que dire ensuite de ma quenelle… probablement la meilleure de ma vie, la plus légère aussi… mais la plus copieuse aussi, avec le plat à gratin à saucer en plus et du riz trop bon ! Bref, vous l’avez compris, j’ai adoré, et j’ai très envie maintenant d’y emmener encore plus tout nouveau lyonnais et tout réfractaire à la cuisine lyonnaise ! (Notez que le poulet aux morilles de Mister B était fou aussi !)
PS: Si vous né l’avez pas compris, surtout né grignotez pas avant ! Vins au verre très bons aussi et service hyper efficace.

C’est très bon et très copieux, ce qui explique le prix des plats. Mais ici, pas énormément de choix, on comprend bien que c’est la qualité qui est privilégiée. Le service est très sympa et décontractée et l’ambiance très «à la maison».
Bref, à l’étage on se sent tellement bien qu’on y ferait la sieste car après un repas, vous serez bien calés!

Un incontournable lyonnais!
L’accueil et le service impeccable, portez votre choix sur les menus, certes un peu élevé par rapport à d’autres bouchons mais la qualité des matières premières et la quantité sont au rendez-​vous.
La deco kitch d’époque (années 20 – 30) apporte au repas la touché traditionnelle. Bref une véritable expérience lyonnaise!

A warm chalet-​like bouchon with generous portions and delicious lyonnaise food.
Definitely order their quenelle de brochet or fish dumpling. This creamy dish looks more like a fish casserole, but tastes with silky buttery layers of pike and a creamy buttery cake.
Provencal Rose– crisp, clean and rich with flavor. Famous to this region and enjoyed by the locals. I wish I bought a bottle at the local wine store to bring home.
Their Lyonnaise salad is specific to this region but appears to be a humble home dish. Poached egg over bacon and frisée. The French people around us whispered in surprise ‘why did they order a salad?‘
Hot sausage and lentils. A great ham based sausage with lentils cooked in lardons fat. Simple decent dish.
Salmon with dill. Our server misheard us when we ordered the white fish and gave us salmon instead. Solid dish but not specific to Lyon. Loved the ratatouille and the use of dill and lemon.
Try to sit in the back and hope you are lucky enough to get the female waitress or the male waiter with curly brown hair. They are sweet and patient. The blond host and waiter was rude to the French and American clients. And he definitely hated Americans. (He apologized to our female server for giving her two tables of Americans. And he rolled his eyes at me when I asked to sit inside instead of outside).
Servers speak limited English, so brush up on your French. The table next to us burst out laughing because I said tres bien instead of tres Bön. Oops.
French usually do not take home leftovers but our salmon was almost untouched so our waitress complied.
Thanks for a lovely time!
C’est Bön!

My husband and I went here on our honeymoon after seeing that Anthony Bourdain raved about it. The food was excellent, I had the famous poulet aux morrilles a le crème. If you are in Lyon, you must try!

Un bouchon Lyonnais tel qu’on l’attend: copieux, gourmand et chaleureux ! Une belle adresse pour manger local ! Je recommande le poulet aux morilles.

«On veux découvrir Lyon, tu nous emmèné dans un bouchon ?»
Quel lyonnais n’a pas entendu cette phrase dans la bouche de ses amis visitant Lyon ?
Alors j’avais quelques adresses de bouchons qui né sont pas des «attrapes-​nigaud de touristes» mais la j’ai découvert un lieu authentique et vraiment sympa.
Vous trouverez évidement tous les clichés du bouchon lyonnais mais très bon et de bonne qualité dans de bonnes quantités !
Né cherchez pas l’originalité ou le «light» ce n’est pas ce qu’on demande à ce type de restaurant, mais les recettes sont bien exécutés depuis des décennies, alors si on vous demande d’aller dans un bouchon, choisissez celui ci !
Mais pensez à réserver, c est plus sur.

Items Selected:
Warm Bread
Fond d’artichaut frais au foie gras
Terrine du Chef (porc, veau, foie de volaille)
Quenelle de brochet en gratin maison
Baba au rhum & sa Chantilly
Considered by some to be the best of its kind, and open for lunch and dinner every day save for Sunday within a two-​story space that speaks to an age long past, Café Comptoir Abel was scheduled for Tuesday lunch after touring several local churches and with an appetite peaked by a long hike in the sun a timely arrival just as the doors opened found the main dining room open to the air outdoors while two tourists plus several locals quickly found seat both on the patio and amidst the cozy confines downstairs.
More a bouchon or bistro than an actual café, and said by some to be the oldest of its kind, the experience at Café Comptoir Abel is without doubt one of the most ‘authentic’ feeling in the city with service that actually seems happy to provide guests with an excellent customer experience, my refusal of the English menu in favor of one written in French perhaps the reason for attentive service that saw a prix fixe ordered with the addition of the Chef’s terrine, every plate served trumping the other iterations served at similar spots within the city’s confines, and one of them better than Michelin starred iterations found in Paris on visits past.
Admittedly a bit muggy during one of the warmest June’s in the history of Central France, it was with several refilled bottles of water plus a crusty baguette that the meal began, and without even time to request a bit of butter I was quickly treated to a duo of cold appetizers, the terrine rich with expected sapor and a bit of minerality while a thick terrine of foie gras came lightly dressed in salt crystals atop a supple slice of artichoke and salad tossed with just a touch of vinegar and pepper to make the whole plate feel unexpectedly vibrant and bright.
Intrigued by the kitchen’s decision to present the quenelle of pike ‘au gratin’ as opposed to with a traditional sauce Nantua, suffice it to say that nothing could have prepared me for what actually came forth after approximately thirty minutes, the puff of fish nearly the size of my forearm served lightly browned from a large skillet with the rest of the sauce left behind to be added as I liked, the bits sticking to the pan not unlike the top of baked macaroni with the richness of Bechamel just reined in by a handful of mushrooms juxtaposing sharp notes of cheese.
At this point almost certain that dessert would be every bit as good as the rest it was only the day’s aggressive eating schedule and dinner at Maison Pic that prevented me from ordering more than one, and generally expecting large portions after everything just experienced there was absolutely nothing to be disappointed in by the housemade baba, the yeasty round served soaking wet in a pool of spiced rum with a scoop of Chantilly that just went on and on, more offered without request as the best bites proved to be those matching a spoonful of cake to an equal part of whipped cream.

Autant vous le dire tout de suite: tout est extra dans ce temple des traditions lyonnaises.
–L’accueil: nous avons reserve pour 5 et arrivons à 9: pas de problème — la salle à l’etage nous attendait
–Le service: personnel sympa, souriant et efficace
–Les plats: la quenelle, le foie de veau, la poule, les rognons, les ecrevisses: excellents
Encore une adresse parfaite pour Unilocaleurs gourmets!

Dîner un samedi soir (attention sur réservation!!) dans ce lieu culte: le plus ancien bouchon lyonnais. Des scènes de plusieurs films y ont été tournées.
Décor d’un autre temps, absolument canon.
Malgré le fait que le restaurant doit plein, nous n’avons presque pas attendu. Le service est sympa, souriant et efficace.
Entrée: saucisson chaud aux lentilles, un délice
Plat: quenelles de brochet pour moi et andouillette à la moutarde pour monsieur. Tous les plats sont servis avec un délicieux riz pilaf. Je né connaissais que les quenelles de la cantine… Et là ça n’a rien à voir!!! Elles sont entourées de brioche. C’est léger, très aérien, même la sauce aux champignons est plutôt légère (malgré le visuel!). L’andouillette était parfaite.
Dessert: 1 fondant au chocolat crème anglaise pour 2, car au bord de l’explosion!
Là aussi, somptueux
Menu à 25 € pour lui
Moi à la carte pour 30 €
+ boissons
Les tarifs sont tout à fait raisonnables vu ce qu’il y a dans l’assiette.
Je recommande chaudement!

Celles et ceux qui habitent Lyon savent bien que le dimanche n’est pas le jour le plus propice pour découvrir de nouvelles tables et même dans ce que je qualifierai celle de classique. Cependant en faisant quelques recherches, je me suis aperçu que «le Comptoir Abel «par chance était ouvert pour le déjeuner.
Situé dans le arrondissement, le lieu immédiatement invite à la découverte car la maison qui fait office de restaurant semble dater d’il y a bien longtemps… Selon l’établissement, il s’agirait du plus ancien bistrot de Lyon qui propose une cuisine bourgeoise assez inspirée de ce que les «Mères «préparent dans les bouchons.
Une belle maison avec une façade dans les tons rose ou ocre, une devanture de bois qui né semble jamais avoir été rénovée et la plus grande surprise arrivera lorsque l’on franchit la porte.
L’intérieur est absolument magnifique. On se croirait plongé dans le temps ou alors presque dans un décor de cinéma. D’ailleurs j’ai appris par la suite que quelques scènes de l’Horloger de Saint Paul avec Philippe Noiret et Jean Rochefort furent tournées ici-​même. Une première magnifique salle toute boisée où le mobilier et la décoration n’ont guère changés depuis probablement un demi-​siècle si pas plus avec vielles enseignes publicitaires chinées et du mobilier patiné.
Un très beau frigo de bois juxtapose le comptoir de zinc derrière lequel se trouve un étonnant évier d’époque. Tout mérite d’être contemplé car ce lieu est vraiment plein de magie.
Dans cette salle, quelques tables de bistrot bien dressées avec sur les murs d’ancienne gravures et un accès à une seconde salle qui n’est pas non plus inintéressante, bien au contraire. Dans celle-​ci des lumières plus tamisées, un plafond avec également des poutres et le même charme que dans la première.
Né pas oublier de monter au premier niveau par l’escalier en colimaçon ou se trouvent les salles de banquets qui ce jour sont également ouvertes avec une décoration plus bourgeoise avec entre autre des murs recouverts de tissu grenat et un parquet plus sophistiqué.
De l’autre côté une salle presque plus noble avec une table de notables et des rideaux pour rendre l’endroit encore plus cosy.
Le dimanche, deux menus dont le premier à 34 euros et le second à 49 euros comportant des ingrédients plus luxueux.
Cela sera aujourd’hui les menus à 34 qui nous semblèrent plus intéressants et répondant mieux à nos envies. Et comme à l’habitude un très bon communard pour commencer mais ici à la liqueur de cerise.
Une salade de bœuf qui se trouvait en suggestion du jour comme entrée. La viande est finement coupée, la sauce parfaitement assaisonnée et l’on retrouvera quelques petits pois et dés de tomates. Une très bonne salade de viande ou «de restes «de pot-​au-​feu.
Ma terrine maison n’est pas en reste composée si je me rappelle bien de volaille, porc et foie. Pas trop grasse, bien relevée et onctueuse en bouche. A nouveau parfaite dans son genre.
En met principal je prends la quenelle de brochet au gratin. Je dois avouer que je m’attendais plutôt à une sauce Nantua mais la souriante serveuse me précise qu’il s’agit d’une manière différente de la préparer car le chef «n’aime pas faire comme tout le monde «et qu’il s’agit en réalité d’une sauce béchamel aux champignons. Je dois vraiment insister sur le fait que la texture et le goût de cette quenelle sont exceptionnels. Je né connais pas beaucoup de tables où celle-​ci est aussi légère mais en même temps gouteuse. Maintenant la sauce… c’est tout une histoire… Personnellement je né suis pas un grand amateur de béchamel car c’est souvent lourd et indigeste. Je reconnais que celle-​ci fut impeccable mais à mon goût écœurant à la longue et reste une sauce moins fine qu’une sauce crème. Rien né remplacera pour moi une sauce écrevisse rien que par le goût et l’accord parfait avec la quenelle. Maintenant il semblerait que cela plaise à la clientèle… Alors si c’est le client qui décide…que dire? Dans tous les cas «estomacs sensibles «…vous serez prévenus et malgré cette opinion différente, cette quenelle restera mémorable.
Autre plat du jour au menu, les délicieux rognons sauce madère. Un autre de ces plats classiques que l’on trouve plutôt rarement sur les cartes, en tout cas en dehors de la région Lyonnaise. Une cuisson dite «à la goutte de sang» qui est une cuisson rapide qui s’adapte très bien aux rognons de veau, une sauce avec le madère, un fond de veau du beurre et de la crème. Le tout servi avec du riz blanc.
Comme desserts, la tarte fine aux pommes maison avec une fine pâte et bien réalisée.
Pour moi, le baba au rhum et sa chantilly. Un dessert qui revient vraiment à la mode et lui aussi très bon.
Avec le repas, la Syrah Les Vignes d’à Côté 2013 de Yves Cuilleron, de la perfection dans la simplicité.
Un endroit plein de charme avec une cuisine authentique et sincère dans l’esprit Lyonnais; des plats gourmands, classiques et très bien maitrisés.

Cadre super sympa, tapisserie d époque, service impeccable et une bonne bouffe lyonnaise bien copieuse. Bouchon lyonnais à mettre sur sa liste quand de passage à Lyon !

Nous avons passé un très bon moment, la qualité et quantité étaient dans l’assiette! Cuissons et assaisonnements parfaits, le café comptoirs Abel mérite bien son titre de bouchon lyonnais de renom, le tout dans un cadre traditionnel avec beaucoup de cachet. Cependant, le service mérite un gros bémol à cause d’une responsable froide et presque impolie. Elle a l’air d’attendre que le service se termine vissée sur sa tablette alors que son serveur court pour être présent à chaque table. Dommage!

Super good traditional Lyonnais food.

Bön, weekend fête des lumières, on est forcément sur un exercice difficile.
Carte spéciale fête de lumières donc l’embrouille forcément, plats trop chers
Qualité ok, pas de problème mais vraiment service beaucoup trop long.
Une demi heure pour que les serveurs viennent dire bonjour et prendre le commande. Pour le dej, les serveurs né sont pas attentifs et nous font comprendre que l’on est pénibles à rédemander de l’eau ou faire remarquer que cela fait une demi heure que l’on attend.
On a passé 2h30 a table.
Désolé, mais ça me ruine un repas, même si c’est bon.

Pour passer une merveilleuse soirée dans un restaurant il faut réunir plusieurs choses: des personnes chères, un cadre enchanteur, un service agréable, un repas délicieux et une note acceptable.
Tout à été réuni ce soir-​là chez Abel.
Des années que je passé devant ce Café Comptoir, et que je crois qu’il s’agit d’un vestige de décors de tournage pour un film d’époque…
Situé dans l’un des plus vieux quartiers de Lyon, et pourtant très peu touristique, à deux pas de la superbe Abbaye d’Ainay, accolé à une voute sur laquelle est posée une maison, bordé de rues pavées et présentant une belle façade défraichie au décors en bois de style fin XIXème, ce restaurant m’attirait depuis longtemps.
L’intérieur né déçoit pas, tout y parait d’un autre temps. Le plafond en bois, les murs peints à fresque, les tableaux de natures mortes, les publicités de vieux alcools ou les photos anciennes de Lyon chargent la pièce cependant lumineuse et chaleureuse, avec son vieux buffet rempli de vaisselle, son bar plein à craquer, ses tables et chaises sur lesquelles ont dus certainement s’attabler des centaines de lyonnais depuis des décennies…
En tout il y a quatre salles; à l’étage le décors est un peu plus raffiné mais toujours dans son jus à l’ancienne.
J’avais demandé un cadre enchanteur! J’ai été servie!
Et j’ai apprécié également le service, qui n’est pas du tout «à la bonne franquette», ni «prout-​prout», mais plutôt précis, efficace et généreux.
J’avais demandé un service agréable, me voilà également très satisfaite!
Quant aux plats et bien… on retrouve toutes les plus fameuses spécialités lyonnaises à la carte (poule sauce suprême, quenelle, saucisson cuit, andouillette… etc). On se laisse facilement tenter par un menu:
–salade d’écrevisses en entrée: riche en légumes frais et en écrevisses, un vrai régale pour une entrée en matière rafraichissante et très copieuse.
–quenelle de brochet: impressionnante! Sur la table est arrivé un plat duquel débordaient 3 énormes soufflés gratinés et extrêmement appétissants. Cette quenelle vaut le détour, elle était délicieuse, un peu briochée, à la fois grosse et légère. Une spécialité lyonnaise réalisée avec grand art!
–Coupe de sorbet crème de marron au chocolat chaud en dessert… parce qu’une petite glacé ça passé toujours plus facilement qu’un baba au rhum, mais là quand même ce n’était pas n’importe quelle glacé: sublime.
J’avais demandé un repas délicieux, celui-​ci l’était on né peut plus!
Ce menu est à 33 euros, ce qui n’est pas donné, certes, mais comparé aux prix à la carte, cela vaut vraiment le coup. Il y a aussi un menu à 27 euros (sans quenelle), mais qui est également très alléchant.
Et comme j’étais accompagnée de personnes qui me sont chères et que je n’ai pas payé la note… je n’ai vraiment rien à redire sur cette soirée MERVEILLEUSE.

Après 3 passages chez Abel, il est grand temps de donner son avis.
Cet endroit fait parfaitement l’affaire quand vous cherchez un bon bouchon avec du raffinement dans l’assiette et un beau décor. Certes ce n’est pas le plus économique des bouchons lyonnais mais ce n’est pas inabordable non plus.
Hier soir, nous étions 6 + 2 jeunes enfants et à notre grande surprise, nous avons été installés dans un salon privé à l’étage. Ambiance comme «chez mamie», très appréciée de nos amis en visite à Lyon. Et surtout pour les enfants, c’est parfait.
Les menus de 25 à 39 € sont parfaits: saucissson chaud, poule sauce suprème, la quenelle indétronable, mais aussi le poulet aux morilles…
Il me manqué juste la tarte aux pralines pour être sincère.
Et mention spéciale pour Abel, qui est ouvert le dimanche et en août !!

This was a cute restaurant tucked in a corner of a quiet side street. The building at night is gorgeous, and inside felt warm and friendly.
I had the 34 € set menu, which included an artichoke and green bean salad to start (which was huge, btw). My main dish was pike Quenelle — a traditional Lyonnaise dish. It was served with the most amazing cream sauce. I could feel myself gaining pounds as I ate, but I didn’t care.
The menu also came with dessert — I had the vanilla ice cream with hot chocolate. It was fantastic.
During my 1-​week business trip to Lyon, this was my favourite restaurant by far. I’d highly recommend it, and if I’m ever in the city again, I would definitely go again.

Qui a dit qu’il n’existait plus de bouchon à Lyon ?
Authentique, chaleureux, exigeant sur la qualité des produits.
Je recommande.

Dans un quartier pittoresque de Lyon, le cadre est typique d’un bouchon Lyonnais.
L’intérieur tout en bois, parquet style début 1900… Chaleureux.
La cuisine est traditionnelle. On y retrouve les spécialités lyonnaises.
Les plats sont copieux (c’est le moins que l’on puisse dire…)
Le service est rapide.
Les serveurs sont aimables et enjoués.
Je recommande…

J’ai longtemps hésité à me rendre au Café Comptoir Abel. Souvent à la recherché d’un restaurant à découvrir dans le secteur, celui-​ci a souvent retenu mon attention mais à chaque fois l’appellation «bouchon» me freinait dans ma décision.
Finalement cette semaine là c’est mon camarade de resto qui a choisi d’aller au Comptoir Abel.
L’entrée né paye pas de mine, la salle non plus. Le mobilier est plutot ancien, mais c’est là tout le charme des bouchons.
En entrée, une petite salade verte accompagnée de saumon fumé et de galettes de pommes de terre, puis on poursuit avec un saucisson au vin. Les portions sont plus que généreuses, mais c’est tellement bon.
Pour le dessert on reste dans le classique, le fameux fondant au chocolat. Cependant lorsque celui-​ci arrive, la surprise est de taille. Une gigantesque part de gâteau incroyablement fondant.
Cela avait beau être délicieux, je n’ai pas pu terminer mon dessert, et ce avec beaucoup de regrets, mais des fois il faut savoir se montrer raisonnable.
Une agréable surprise.

This is my gastromic heart in Lyon.
The building, lit at night, is beautiful and inviting.
We were walking around, and saw it across the little square nearby. As we walked up to read the menu, we noticed that the door handles had been removed. Clever, that.
We walked around the block and found the door handles in place upon our return, shortly after 7:30PM. Opening the door, we entered a smallish dark room and were instantly greeted by a young woman who greeted and seated up in a larger room past the kitchen and staircase.
What a menu. Quenelles! Huge, beautiful and oh so tasty! The sausage! Heavenly!
There were so many interesting items on the menu I was spoilt for choice, as the British say.
And then there were the wines. They were perfect compliments to the cuisine. Our waitress was helpful, and thankfully my French was good enough to engage in conversation about which wine would be best with which dish. Great help, and great service
We went back the next day, gluttons for delight. They were starting to offer a ‘farmer’s breakfast’ between 9−11AM. Wow, am I glad we did.
Tripe, so tender, so flavorful, so excellent. A beef salade the best I’ve ever enjoyed. And a small pitcher of wine to wash it down with. What a great way to start a day in Lyon.
We met the chef, Alain, and spoke briefly about his philosophy of honest flavorful food. A very nice guy.
Do yourself a favor and come eat here. You will be so glad you did.
Enjoy!

Ein absolut uriges Restaurant mit traditionellen Lyoner Speisen. Wohl die besten quenelles de brochet, die ich jemals gegessen habe. Fois gras vom feinsten, ein super beaujolais als tischwein. Den 5. Stern hätte ich sofort gegeben, wenn die Speisenfolge weniger schnell gekommen wäre. Trotzdem sehr zu empfehlen!!!