Cinéma Institut Lumière

C’est le lieu incontournable pour les amoureux du cinema, que ce soit durant l’année avec une programmation et des rétrospectives de qualité et très variée, ou lors du Festival Lumière qui chaque année prend de plus en plus d’ampleur dans la ville et pas que. Ce «hangar» est un lieu magique empreint d’histoire et qui accentue l’identité de ce quartier.

Une cadre exceptionnel. Spacieux et remplie d’histoire.
La salle de projection est grand avec un écran géant, et les places sont hypers confortables.
Les programmations sont TOP. Des films autours des thème variées (Asie, film noir, nouvelle vague…) sont parfaitement sélectionné. C’est aussi l’endroit de voir/​revoir des grands chef d’oeuvre au grand écran.
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Voir un film dans le berceau du cinéma, on fait difficilement mieux! Ce lieu est tellement chargé d’histoire (s) qu’il donnera des frissons aux cinéphiles juste en en passant la porte.
La salle de projection est digne des multiplexes et la programmation presque meilleure que celle des indépendants; pourtant le cinéma de l’Institut Lumière a eu le génie de né pas se positionner en compétition de ces deux, mais en complément, avec une sélection thématique efficace et de grande qualité.
Vaut certainement le détour vers Monplaisir…

Le Cinéma de l’institut Lumière est souvent présenté sous une appellation plus générale de «Hangar du premier film» et pour cause, rappel rapide des faits historiques:
1895: «La sortie de l’usine lumière à Lyon» est considéré souvent comme le tout premier film de l’histoire du cinéma (en tout cas qui dure un peu plus que quelques brèves secondes) et également le premier à avoir été projeté devant un public. Dans cette vidéo de presque cinquante secondes, on aperçoit ainsi distinctement ce fameux hangar. l’histoire du septième art et de ce lieu est en marche.
1995: L’usine n’est plus depuis les années 70, seul subsiste le hangar complètement délaissé telle une ruine sans intérêt. Trois ans encore pour aboutir à une rénovation et qui le verra abriter une salle de cinéma. Une sorte de retour au source.
2013: 118 ans après (Désormais plus personne né peut témoigner avoir vécu tout ce temps) le cinéma à subi une évolution considérable dépassant les imaginations les plus folles et ce n’est surement pas fini.
La salle propose une grande capacité d’accueil (270 places). Le confort est assuré pour tout le monde puisque les sièges sont disposés en pente ascendante. Donc même si le spectateur d’en face est coiffé comme Johnny Depp dans «Edward Aux Mains d’Argent», il né gênera personne.
Des séances quotidiennes sont proposés, des grands classiques, de l’inédit et des rétrospectives, tout ceci le plus souvent en copies restaurés tant par le son que par l’image.
Incontournable par son histoire.
Indispensable pour parfaire sa culture cinématographique.

J’habite à Lyon depuis un peu plus de 10 ans mais je n’étais jamais allée voir un film à l’Institut Lumière… Manquement réparé grâce à Unilocal ! Mardi dernier, je suis allée voir Une chambre en ville de Jacques Demy — pour ceux qui né savent pas, il y a une rétrospective Demy jusqu’au 7 juillet.
Salle très confortable, écran plus qu’honorable. On nous présente le film en quelques mots — et en présence de Mathieu Demy, fils de Jacques et Agnès Varda, excusez du peu ! Le discours est fin connaisseur mais pas barbant pour un sou, bien au contraire !
Séance parfaite !
Du coup, j’ai repéré la programmation du prochain ‘Épouvantable vendredi” — rendez-​vous bimestriel trop cool de l’Institut Lumière avec AOA production autour du cinéma fantastique et d’horreur —: Predator & Last Action Hero !

Certainement mon Cinéma préféré de Lyon avec ses programmations inoubliables :
* Cycles sur les réalisateurs, comédiens, par thèmes
* Associations avec le Festival Lumière évidemment :
* Associations avec Quais du Polar :
* Organisateur des épouvantables vendredi :
* Cinéma pour les enfants
Et la plupart du temps, les projections sont présentées par des gens du métier ou des passionnés du cinéma qui échangent leur émotions avec le public.
C’est donc, en ce lieu, que j’ai pu revoir mes films cultes préférés et en découvrir d’autres. Je garde toujours un œil sur leur programmation…
C’EST BIEN PLUS QU’UN CINÉMA !!

Toujours excellent, tant dans la programmation que dans l’accueil /​Qualité de projection.
Merci l’institut lumière!

Un lieu mythique, une salle magnifique, une affiche atypique permettant de revoir des vieux films que jusqu’à peu on né pouvait voir qu’en DVD chez soi, une séance démarrant immédiatement, sans pub ni bandes annonces, je dis oui !

Je né suis pas cinéphile pour un sous, je fuis les salles obscures lyonnaises depuis plus de 10 ans.
Mais il y a l’Institut Lumière … J’aime cette salle, j’aime le bâtiment et j’aime le quartier.
Mais ce que je retiens de l’Institut, c’est la programmation. Quel bonheur que de revoir des chefs d’œuvre du cinéma sur grand écran, dans des conditions excellentes.
Le petit plus: la possibilité de s’y rendre en famille, la programmation des après midi des mercredis et weekends étant souvent adaptée aux plus jeunes.

Comment ai-​ju pu zapper l’Institut Lumière? Cela me laisse perplexe parce que pendant mes études, j’allais strictement à toutes les séances.
Oui, j’ai bien dit toutes les séances, j’allais voir chaque film qui y passait (oui, j’étais étudiante en cinéma, pas juste mono obsessionnelle). Ajoutez à cela que pendant à peu près trois ans je suis allée à la bibliothèque deux à trois fois par semaine (bon d’accord, j’étais peut-​être aussi mono obsessionnelle).
La programmation est digne d’une excellente cinémathèque, le lieu est top, le musée hautement instructif et bien organisé, la bibliothèque un puits sans fonds pour tout cinéphile, bref, là encore (cf. mon avis sur le Comoedia), cinéphiles, unissez-​vous.
Mais c’est justement là que je me dois d’émettre une réserve (d’où l’étoile en moins). Pour parler clairement, depuis que la direction de l’Institut Lumière et du Festival de Cannes sont disons, très liées, on a certes la chance de voir débarquer moults dieux vivants, mais cela s’accompagne aussi lors des soirées spéciales d’une population résolument hype et prétendument érudite. Or personnellement, ce changement de fréquentation et d’ambiance me font un peu mal au cœur…
J’oubliais, le parc est super pour se vautrer dans l’herbe quand il faut beau et chaud.

Attention ceci est un avis sans appel, qui né saurait souffrir la moindre critique… Il faut parfois savoir être ferme !
L’institut Lumière est tout simplement mon cinéma préféré à Lyon…
D’abord parce que c’est la seule salle qui a eu l’intelligence de mettre ses fauteuils en quinconce (quand tu mesures moins d’un mètre soixante, ça veut dire que presque n’importe qui peut s’assoir devant toi, c’est pas grave, car tu verras quand même l’écran !!). Et que ce sont de vrais fauteuils, moelleux à souhait: ici les cinéphiles on les chouchoute !
Ensuite parce que sont proposées très régulièrement des conférences, des projections présentées par leurs auteurs ou des critiques de ciné, dans le cadre de rétrospectives, calées plus ou moins sur celles de la Cinémathèque Française.
Des vieilleries donc? Pas seulement puisque l’Institut propose aussi des avant-​premières, notamment de films sélectionnés à Cannes.
Et puis il y a les épouvantables vendredis… une expérience à tenter au moins une fois ! Prochaine édition la nuit Robocop vendredi 13 janvier.
Enfin côté prix on est loin des grandes chaînes nationales et les offres d’abonnement sont vraiment intéressantes.
Enfin bis, l’Institut a créé le Festival Lumière… reconnaissance éternelle ! ;-)

L’Institut Lumière est LE. Oui, c’est LE. c’est LE rdv des culturés, LE cinéma incontournable, LE centre où voir des rétrospectives de la mort qui tue, LE mur aux centaines de plaques avec du beau nom dessus, témoins du passage des plus grands… C’est LE, quoi.
Et bien, pour les érudits et les passionnées, ce sera également LE ciné où l’on aura accès à des ateliers hallucinants.
Genre, cet atelier Pré-​cinéma ou les petits jusqu’au CM2 pourront découvrir le thaumatrope et le zootrope. Dément! Et ce fameux atelier Langage, qui familiarisera les enfants avec les termes techniques du cinéma. Le.

Lieu historiquement important, construit autour du hangar où fut tourné le premier film de l’histoire, l’Institut Lumière jouit d’une programmation (à mon sens) extraordinaire.
Les rétrospectives y sont souvent des plus pertinentes, exhaustives et finement réalisées, mettent en lumière des cinéastes passionnants et variés (François Truffaut, Terry Gilliam, John Huston, Eric Rohmer, David Lynch, Vicente Minelli, et des dizaines d’autres). Les intervenants y sont souvent d’une rare qualité — écouter par exemple des critiques aussi érudits et historiquement légitimes que Jean Douchet ou Serge Toubiana parler de cinéma est un privilège rare.
Le tout se produit dans une salle des plus confortables, à deux pas d’un jardin et d’une maison (lieux du musée Lumière) au charme absolument irrésistible.
Alors, pourquoi ostensiblement pinailler en n’accordant pas à un lieu aussi fondamental les 5 étoiles qui paraissent lui revenir de droit ?
Pour certaines carences organisationnelles qui, parfois, prennent un tour assez déplaisant.
Il y a quelques mois, ma copine et moi avons pris des places pour l’avant-première du dernier film du réalisateur allemand Fatih Akin, en présence de celui-​ci. La séance était annoncée à 19h30. Nous sommes arrivés à 19h15, et avons constaté avec stupeur que non seulement toutes les places assises étaient prises, mais encore qu’énormément de gens étaient assis sur les marches de la salle.
C’est donc bien sûr aussi ce que nous avons du nous résoudre à faire, et donc passer trois heures de rang les fesses endolories à même les marches de l’institut, pour la seule et inadmissible raison que, de toute évidence, plus de billets avaient été vendus que de places disponibles. Fatih Akin lui-​même a du serpenter à grand peine entre les spectateurs pour parvenir devant l’écran.
La conférence qui suivit le film fut tout autant un modèle de non-​organisation: le réalisateur souhaitait s’exprimer en anglais, le directeur de l’Institut Lumière, Thierry Frémaux voulait (allez savoir pourquoi) l’entendre parler allemand mais n’avait pas de traducteur sous la main. Il a donc du demander au pied levé à une dame dans le public de venir traduire (mal) les propos de l’invité du soir, suscitant par là même son agacement manifeste.
Recevoir des cinéastes de renom et importants est une authentique chance, mais encore faut-​il savoir être à la hauteur de celle-​ci. Lorsqu’il y parviendra avec plus d’élégance qu’aujourd’hui, l’Institut Lumière méritera un concert exclusif de louanges et cinq étoiles dorées et intouchables.

Se dire que l’on va voir un film là où a été tourné le premier film c’est quand même exceptionnel ! On n’a pas de la chance d’être lyonnais, non ?!
La programmation du Cinéma de l’Institut Lumière est contre toute attente très accessible pour peu que l’on s’intéresse à autre chose qu’aux blockbusters américains et que les films anciens titillent notre côté désuet !
Je n’y ai vu que des films magnifiques, je pense notamment aux «Baisers volés» de Truffaut, il y a là-​bas, cette douce nostalgie et cette belle mélancolie d’une époque, de décors, de costumes, d’une diction passés !
Ce soir, j’y vais pour complètement autre chose: une soirée zombie !!
Trois films («Zombie», «Le retour des morts», «28 jours après») et maquillage offert pour 15 euros, c’est pas génial !!
Et oui, ce cinéma né fait pas que dans les films vieillots et poussiéreux mais aussi dans une programmation de genres ou de réalisateurs survolant toutes les époques.

Evidemment, l’Institut Lumière c’est avant tout un cinéma dont la programme est très pointue, avec des cycles dédiés à certains auteurs, certains thèmes ou même à des pays (en ce moment, l’Italie !).
L’Institut Lumière, c’est aussi un grand musée, en général en symbiose avec l’ensemble: des artistes et des œuvres de qualité dans cet excellent lieu culturel.
Mais c’est aussi et on oublie souvent de le dire, un endroit vraiment agréable pour venir se reposer ou bouquiner: le jardin de l’Institut Lumière est extrêmement calme, vert, joli. On aime s’y installer avec un peu de littérature, un mp3 ou juste, avec des copines pour papoter ou faire un peu bronzette quand le soleil daigne se montrer.
J’envie les personnes qui n’habitent pas loin d’ici car c’est un lieu vraiment inspirant et relaxant !

Magique ! c’est la première chose qui me vient à l’esprit quand je pense à l’institut lumière.
Préparez-​vous à une plongée au cœur des origines du film.
Tout d’abord le lieu: Venir à l’institut ça veut dire fouler le sol du hangar où s’est tourné le premier film de l’histoire du cinéma, et même si on n’est pas un féru de cinéma, ce seul fait devrait déjà vous faire monter des petits fourmillements dans les pieds.
Ensuite ce qui devrait finir de vous convaincre c’est la programmation en elle-​même. Quel bonheur de pouvoir voir ou revoir des vieux films, qui ont fait le succès du 7ème art. Et en plus il y en a pour tous les goûts: films d’épouvantes, «nouvelle vague «, cinéma engagé, «cinecitta «, etc. Tout le monde y trouve son compte, et tout le monde en redemande.
Sur place vous trouverez, un musée, des salles de projection, une bibliothèque, un espace de location, une boutique, des ateliers, et bien sûr des conférences.
Pour les grands et les petits, ce lieu est un incontournable de la vie lyonnaise, courez-​y vite si vous né connaissez pas encore.

Ce que j’aime à l’Institut Lumière, ce sont les films projetés en plein air sur un écran géant. Pour moi, ça vaut la peine de passer ses vacances à Lyon, rien que pour profiter de ce genre de manifestations qui animent la ville.
Du 30 Juin au 1er Septembre, tous les mardis à la tombée de la nuit, on peut venir avec sa couverture, son panier piqué-​nique et tous ses amis s’installer sur la pelouse de l’Institut et voir ou revoir les meilleurs films de l’histoire du cinéma, gratuitement bien sûr.
L’année passée, je me suis éclatée devant «Brazil» par exemple. L’ambiance y est toujours très bon enfant et ça permet de profiter de l’été autrement!

Savez vous que le cinéma a été inventé à Lyon? Oui, bon alors savez vous qu’il a été inventé par les Frère Lumière? Oui, bon alors savez vous qu’au coeur du 8ème arrondissement, se trouve l’Institut Lumière? Non ?! Alors lisez ce qui va suivre !
Présidé par le directeur du festival de Cannes (excusez du peu): Thierry Frémaux, ce lieu est l’épicentre du cinéma lyonnais et même rhônalpin. En marge des cinémas classiques de la ville, il se distingue essentiellement par sa programmation non soumise aux sorties hebdomadaires mais construite selon des cycles. Qu’ils soient centrés autour d’un auteur, d’un metteur en scèné, d’un pays, d’un festival, ils permettent de découvrir, et de redécouvrir des films souvent oubliés ou inconnus à nos yeux de cinéphiles modernes et assoiffés de nouveautés. Car il s’agit bien d’un programmation dite de «répertoire» qu’on nous propose.
Alors entrez dans l’unique salle… hop hop hop comment ça l’unique salle? Il n’y en a qu’une? Et oui, et c’est bien sûr un choix artistique: le multiplexe n’est pas forcément l’avenir du cinéma, mais aussi architectural. En effet, le bâtiment est situé sur les anciennes usines Lumière et leur structure ayant été conservée, le hangar intérieur vous permet d’errer entre les murs autrefois témoins des activités liées à la création du cinématographe. Classé monument historique, cet espace est la preuve que marier passé historique et programmation cinématographique pertinente et intelligente est tout à fait possible, voire souhaitable.
Une preuve supplémentaire est le festival qui a lieu en octobre à l’Institut Lumière, mais également dans d’autres salles partenaires de la ville. Pendant une semaine, vous avez la possibilité de redécouvrir la filmographie d’un acteur, d’un réalisateur…
Bref, entre émotion et claques cinématographiques, entre rencontres et histoire, se trouve cet Institut Lumière, le bien nommé.