j’ai acheté dans ce magasin mario kart wii à 44,99EUR, neuf, pour mon fils pour Noël. Malheureusement, ce jeu lui a été offert en double. l’achat ayant eu lieu le 18/12, je me suis rendue le 26⁄12 chez game, pensant pouvoir le changer contre un autre jeu du même montant, ticket à l’appui, le jeu n’ayant pas été déballé. Le vendeur m’a proposé 7,50EUR en bon d’achat !!! en tout et pour tout !!!, le prix de reprise justifié par la période de fête de Noël !!! Lorsque je lui ai demandé si c’était une plaisanterie, il m’a dit que non. Du vol à l’état pur ! Tout commerçant pendant cette période accepte un échange au pire pour le même montant. MICROMANIA le fait, sans aucun problème. Je n’ai bien sûr pas laissé le jeu. Cliente fidèle chez eux, il est clair qu’ils né me verront plus. Je compte bien dénoncer cette pratique, car peu de leurs clients doivent être au courant de cette façon de faire. Une cliente très mécontente !!
Anysou
Rating des Ortes: 1 Lyon
Game, ancienne ScoreGame, soit l’exploitation à son dernier stade du jeu vidéo en tant que produit de vente à marge. La récupération de la culture vidéoludique comme«truc cool». Bref, Game, c’est du grossiste de jeu vidéo destiné à refourguer toutes les grosses sorties physiques… ça donne quoi pour le joueur venu chercher de quoi s’occuper, ou pour le parent lambda venu chercher un jeu pour sa ou ses petite(s) tête(s) blonde(s) ? Soit vous aimez les pavés, soit retenez de suite que ces enseignes né valent rien face à la commande sur internet. Des problèmes en cascade. D’abord par le fait que ces magasins suivent une logique de marché devenue ridicule en enseigne physique, et donc proposent une offre complètement à la ramasse : Les prix les plus chers du marché :70EUR un jeu neuf, 50EUR parfois pour des jeux d’occasion, j’ai jamais vu ça de ma vie de joueur. Enfin le neuf si mais l’occaz ! Comme dans la «next gen», les jeux sont surfaits graphiquement mais se bouclent en 5 heures, les joueurs les achètent le jour A et les revendent en occaz le jour B, d’où des prix abusés en occasion… Problème suiveur: cette manière de fonctionner est apparue pour contrecarrer les prix des jeux vidéo, devenus prohibitifs, et a complètement pourri le marché de l’occaze: non seulement les bacs proposent des jeux à des prix trop souvent déraisonnables pour leur statut d’occasion, mais avec la contre attaque des éditeurs qui développent désormais des«réactivations» de jeu par code payant pour lutter contre l’occaz, les jeux sont souvent incomplets. Soyez surs de vérifier le contenu d’un jeu occasion, notamment sur console et pour les versions«gold /complete /GOTY»(ex: un jeu et deux extensions, sauf que ce né sont plus des disques physiques mais des codes de téléchargement, souvent déja utilisés par le premier acheteur). Certains éditeurs ont même l’affront aujourd’hui de maintenir des prix maximum même après 3 ans de sortie(Modern Warfare 2, toujours à 50EUR quand deux suites sont déja là). Autre point: si vous jouez PC, laissez tomber, les magasins de jeux vidéo ont des gondoles pauvres à pleurer: trois gros hits récents se battent en duels avec cinq rééditions«platinum/petit prix» de hits récents. Plus de jeux séculaires vieux de dix ans trouvables dans les rayons, plus d’occasion du tout même(«la faute au piratage») et des prix toujours aussi chers. Retournez à la Fnac, car les enseignes de JV modernes, ce sont désormais des enseignes réservées au marché le plus juteux auprès du grand public, les consoles. Et même là, on finit par se lasser et on retourne sur internet pour commander en ligne, où les prix suivent la côte de rareté et d’âge des jeux. Ensuite vient l’incompétence des services proposés par ces enseignes, et là n’ayons pas peur de rentrer dans les clichés : Des vendeurs d’une incompétence crasse, des«djeunz» embauchés par des directeurs d’agence qui né touchent pas une bille en culture vidéo ludique. Résultat ils se contentent d’embaucher des mecs dont la propre culture du jeu vidéo se borne aux 3 dernières années de production, et qui ont fait un BTS en commerce. Résultat ils né connaissent rien à l’histoire et aux différents concepts de la culture JV, et conseillent les gens en fonction de leurs gouts sur des jeux vieux de tout au plus 3 ans(qu’ils ont bien en magasin), et surtout sur les gros blockbusters, souvent très chers et très courts. Quand on leur demande conseil et qu’on connaît un minimum l’actualité des jeux vidéo, on sait exactement ce qu’ils vont répondre, vers quoi ils vont nous orienter, y’a jamais de surprise, et à la moindre question technique c’est la débandade, ils se font piéger et ils sont plus foutus d’aligner correctement une argumentation un tant soit peu cohérente. Petit exemple qui m’est arrivé à Game: je discute avec un vendeur qui attendait Deus Ex 3 comme un fou pour les trailers visuels alléchants projetés sur la toile, et j’ai été estomaqué de découvrir qu’en fait, le gars né connaissait même pas les vieux et n’avait jamais testé les premiers opus. Mais selon lui, «Deus Ex 3 va tout déchirer». En revanche, aucun moyen d’avoir une vraie veille informationnelle sur son produit et de fournir des détails sur le gameplay avant sa sortie(alors qu’il me propose de le précommander…). Dix minutes plus tard, un client demande un STR(jeu de stratégie temps réelle) pour s’occuper, expliquant qu’il joue solo chez lui, et un autre vendeur lui propose Starcraft II qui vient de sortir(donc maxi prix et maxi marge), alors que le jeu est axé e-sport et multijoueur avant tout… Côté matériel et périphériques, c’est la loose aussi, trois périph officiels et deux noname se battent en duel, mais ils sont tous identiques: que des manettes génériques et des cables HDMI. Oubliez ces échoppes si vous cherchez un cable YUV pour brancher une PS2 sur un LCD ou un joystick par exemple… Enfin, les vendeurs proposent parfois n’importe