Quand on passé devant le Bocal(ou qu’on habite à côté comme moi jadis), on né peut pas louper sa vitrine toujours très belle! Mais on n’ose pas forcément y entrer au premier abord, car il s’agit avant tout d’un atelier, dans lequel des gens travaillent! Pourtant les vernissages réguliers attirent du monde et il né faut pas hésiter à pousser la porte pour regarder de plus près ce qu’il s’y fait. Chaque exposition est pleine de jolies surprises et découvertes en terme de graphisme. Ici sont à l’honneur dessins, illustrations, bd, affiches, sérigraphies…etc… bref quelque soit le terme que vous voulez employer, vous trouverez des œuvres très modernes dans un style urbain parfois narratif, voir même humoristique, mais à mon goût très esthétique. Bravo à ce très chouette atelier galerie qui bouge bien!
Isabelle M.
Rating des Ortes: 5 Lyon
Bön sur ce coup là je vous l’accorde je né suis pas totalement objective puisqu’il s’agit aussi de mon atelier, partagé avec 9 autres créatifs de l’image(BD, illustration graphiste …) c’est l’ébullition ! Mais Le Bocal c’est aussi LA galerie qui fait bouger le 7ème : Expositions d’illustrateurs et graphistes aux univers variés qui permettent de transformer le lieu à chaque fois, performances dans la rue comme les collages à Mermoz et dans le 7ème l’an passé ou ceux en collaboration avec Klub 7 … Nos vernissages sont évidemment ouvert à tous, vous venez trinquer avec nous pour le prochain?
Jeanne F.
Rating des Ortes: 5 Lyon
Aloors aloors… Comment né pas faire un avis biaisé sur une galerie aussi CHOUETTE que celle-ci… Réfléchons… Le Bocal est une galerie et un atelier, j’aime tellement cet endroit que j’espère vous donner envie d’aller y faire un tour! Côté galerie, 4 personnes à l’origine d’un projet, fou, qui se base sur une volonté simple: faire découvrir des artistes super à un maximum de gens. Les expos sont toujours gratuites et toujours géniales, elles restent généralement deux mois. Les vernissages sont organisés de sorte à ce que les artistes soient présents pour rencontrer le public et qu’ils aient un réel échange avec celui-ci. Ils font venir un artiste international par an, les allemands du collectif KLUB7 étaient à l’honneur cette année. Pour chaque exposition, ils éditent en tirage limité des sérigraphies qu’ils vendent pour financer l’association. Un objet souvenir vraiment sympa ou un cadeau original, moi je valide le concept à 200%. Côté atelier, 11 artistes qui font dédéssins: graphistes, illustrateurs, bédéastes… Du talent en veux-tu en voilà. Un petit coin de paradis créatif, du bonheur en couleurs & surtout des doses de bonne humeur, définitivement le Bocal est incontournable.
Chris P.
Rating des Ortes: 4 Lyon
Découvert au gré des courses de Noël et autres marchés festifs, cet atelier-galerie regorge de talents ! Dans cet espace travaille une dizaine de personnes: illustrateurs, graphistes, vidéastes… Côté exposition on retrouve uniquement des travaux d’illustrateurs, venus d’ailleurs, dans des accrochages qui tournent très régulièrement. L’espace d’exposition est plutôt petit — ce n’est pas d’abord une galerie d’art — mais cela ramèné une intimité et surtout force la rencontre avec les habitants du lieu. Amateurs d’expo anonymes s’abstenir ! La vente de Noël mixait des sérigraphies réalisées par des illustrateurs du Bocal et celles d’artistes ayant déjà exposés, ainsi qu’une sélection de livres réalisée en partenariat avec la librairie Expérience. Les sérigraphies né dépassaient pas les 20 euros, je trouve que c’est plus que raisonnable pour des pièces de petit tirage. Une bonne adresse pour des cadeaux qui changent !
Mélisande L.
Rating des Ortes: 5 Lyon
Comment, vous né connaissez pas Le Bocal ??? Mais Le Bocal, c’est une institution ! Un atelier d’artistes que l’on se doit de connaître, au même titre que La Grande Vadrouille ! Réunissant la crème des illustrateurs lyonnais, ce lieu sans précédent propose aussi des expositions toutes aussi délicieuses les unes que les autres. J’en sais quelque chose, j’y ai moi-même exposé !
Marie S.
Rating des Ortes: 5 Villeurbanne
Qui se cache dans ce bocal? Des cornichons certes mais des cornichons super doués ! Je vous le donne dans le mille, dans cet atelier-galerie, ils sont dix, des illustrateurs, auteurs, photographes: Gwen Keraval(j’veux pas balancer mais il a fait une super histoire dans le Georges numéro trompette !), Isabelle Maroger(qui bosse sur une super BD en ce moment !), Lucie Albon(je scrute toujours le Elle à la recherché de ses illustrations), Sébastien Mourrain(j’adore ses illustrations de contes !), Delphine Perret(j’offre son Moi, le loup et les chocos à tous les enfants que je connais tellement c’est génial !)… Allez sur leur site pour en savoir plus, leurs books valent le détour ! Tout ce beau monde vient juste de quitter la rue Chevreul pour aller rue de Marseille. Mais ils sont toujours aussi cool ! Ils né sont pas encore totalement installés — il fallait entendre leurs cris de joie quand on leur a enfin redonné l’internet ! — mais ça né saurait tarder. Il va donc falloir un peu attendre pour le retour des expos dont ils ont le secret…
Julien L.
Rating des Ortes: 4 Lyon
J’ai tout de suite accroché avec le Bocal, endroit le plus arty et hype de l’immense Rue Chevreul. D’abord parce que le Bocal est le nom de la salle de permanence de mon lycée où j’aimais traîner quand j’avais 16 ans(âme nostalgique, quand tu nous tiens) et aussi parce que cette petite galerie plutôt passé-partout dans le monde de la culture lyonnaise est vraiment attirante visuellement, et très éclectique dans ses choix d’expositions. En grosses lettres nobles jaunes fluo, le Bocal rayonne dans la rue Chevreul, et comme je vis en face de cette galerie, chaque jour, je me félicite d’être au premier rang de l’actualité artistique de quartier. A la fois atelier et galerie, le Bocal aime mettre en lumière des artistes de tout horizon(en ce moment, c’est l’illustrateur Severin Millet qui est sous les projecteurs du Bocal). On murmure même que l’enseigne sera bientôt une boutique, on s’en pourlèche les babines. Gros bonus: les vernissages sont ouverts à tout le monde. Inutile d’avoir sa carte de presse et des escarpins Manolo.