Le Café du Peintre

et hop, nous voilà une grande tablée installée dans ce bouchon qui nous avait l’air bien sympathique.
Pour la cuisine, je serai concis: ce qui était disponible était très bien pour ma part.(là, pour le coup, il né doit pas y avoir trop de stock car il manqué des plats classiques, moins classiques et des desserts). J’ai pris un houmous de betterave (comprendre une purée) sur de la ricotta avec une salade, très frais, du goût, bien. Ensuite j’ai opté pour l’assiette de poissons (bonne cuisson!) sur un lit de petits pois frais et champignons. Idem, frais, goûtu, rien à dire. Et pour finir, un tiramisu (que tout le monde n’a pas eu la chance de pouvoir prendre, héhé) à la châtaigne, très bien aussi, les biscuits n’étaient pas détrempés et la mousse était en fait quasi une écume, ce qui allégeait bien ce dessert.
En revanche, étant positionnés dans un passage, on avait un peu l’impression de gêner (sachant que pour nous c’est pas super agréable non plus), une des personnes nous servant était presque limite niveau amabilité (les autres rien à dire) et on aurait apprécié, sans dire que c’est une obligation, le café offert vu la note qu’on a laissé.

Bön service et repas savoureux !
Le cadre est très plaisant !
Une belle adresse au coeur des Brotteaux

Très, très bon !
Les maquereaux avec pommes de terre vapeur sont top, la quenelle est nickel, même la cervelle au four est bonne (alors que je né pensais vraiment pas pouvoir manger de la cervellllllle !!!). C’est un bouchon lyonnais d’excellente qualité avec des vins très bien sélectionnés. Budget 25 € minimum par personne et si vous aimez le vin et que vous mangez à la carte, le budget explose.
La serveuse est toujours très très sympa.
J’ai failli enlever une étoile parce que le jeune homme derrière le bar parle parfois vraiment fort (…) mais il s’y connait très bien en vin, et par dépit car il est difficile d’avoir une table, victime de son succès ;-)

Les petits sont assurés pas Florence, l’adorable maîtresse de maison, et Maxime assure l’ambiance et le choix des vins.
Sans oublier Fabienne qui est d’une redoutable efficacité au service!
Bref! Une bonne adresse ou bonne cuisine de mère et bonne ambiance se côtoient.

Vous né trouverez pas de palette de peinture au Café du Peintre. Par contre vous trouverez une belle palette de vins et si vous né vous y connaissez pas des masses, Maxime Perrier (le fils), saura choisir pour vous le bon flacon qui accompagnera à merveille le plat que vous aurez choisi.
En cuisine c’est Florence Perrier (la mère) qui vous régalera avec sa cuisine dans la plus pure tradition lyonnaise. Quand je dis dans la plus pure tradition lyonnaise ce n’est pas tout a fait vrai en fait. Parce que Florence, ajoute une touché qui donne… un peu plus de classe aux plats de bouchon mais tout en préservant leur caractère particulier.
Si vous n’avez rien compris à ma dernière phrase, le mieux c’est d’aller voir par vous même !

Un bon bouchon lyonnais qui vaut la peine d’être testé avec des plats généreux et bons. Notamment la quenelle juste énorme !! Une décoration typique, une ambiance chaleureuse avec à sa tête une véritable mère lyonnaise. Super accueil. Bref il mérite son label de véritable bouchon lyonnais !!

Cest un bel endroit. Petite terrasse sympa.
Service aux petits soin.
Bonnes olives offertes avant notre déjeuner.
On est arrivé tôt à 12h15. A 13h15 on avait payé notre entrée plat dessert vin et café! Donc oui en pleine bourré le service doit être plus long :)
La cuisine est belle et fine. Produits frais et bien cuisinés.
Il règne une bonne ambiance dans ce café.
Le sommelier fort sympathique nous présente le vin qu’il sert avec passion.
La note est pas trop salé: moins de 25 euros pour le repas complet du midi avec les a côtés. Je crois 21 euros le menu.
Belle adresse pas trop de part dieu

Lors de mon premier passage, en 2012, je disais né mettre que 4 étoiles, «parce que je né mets jamais 5 étoiles la première fois, moi, Madame ! Mais je reviendrai !»
Alors après quelques passages, qu’est ce que ça dit? Eh bien ça dit 5 étoiles, oui, oui ! Le Café du Peintre est un vrai chouette bouchon lyonnais. Testé pour le déjeuner et pour le mâchon avec les copains-​copines du désormais célèbre Club des Unilocaleurs Mâchonneurs, j’ai pu confirmer que j’adore cet endroit. Visuellement c’est très sympa, un côté bouchon chic, avec jolies nappes, déco travaillée tout en restant traditionnelle… Ca me plaît ! On n’est pas dans un bouchon classique, et les prix sont un peu supérieurs aussi. Mais dans l’assiette, ça vaut vraiment le détour. Quant à l’accueil, il est détendu et chaleureux, tout en restant pro, et ça, ça me plaît !
Je peux donc l’affirmer, je recommande totalement le Café du Peintre, que ce soit pour y déjeuner ou pour y mâchonner. A noter dans vos signets !

Qu’est-ce que ça fait plaisir de découvrir un lieu où l’on ressent une ambiance très marquée, authentique, dès les premières secondes !
C’est ce qui m’a frappé d’emblée chez le Peintre, à ma première visite. Et je vous conseille d’arriver en début de service, pour voir que la chaleur humaine du maître des lieux n’est pas feinte, qu’il accueille avec verve et ferveur ses convives. On comprend d’ailleurs vite qu’ils sont très nombreux à être des habitués, et des bons vivants. C’est donc joyeux dans toute la pièce, ce qui apporte une gaîté bienvenue au repas, même si c’est dans un contexte de boulot.
A peu près tout me tentait dans les propositions du jour, et avec mon compagnon de déjeuner, nous étions ravis de la saveur et de la fraîcheur des plats ! Mon poisson en papillote était fondant, avec des légumes exquis, coupés par quelques agrumes. J’aurais voulu que la papillote soit king size !
Donc voilà, à 2 mn à pied de la Part-​Dieu, vous avez un lieu authentique avec de la bonne cuisine ! Et la réservation est grandement conseillée.
Bonus: le restaurant était l’un des lieux visités en début d’année 2013 par l’émission «A Vos Régions» de D8. Retrouvez-​le à partir de 28“35.

Une belle adresse dans un quartier déjà riche en restos intéressants…
Pas facile de se démarquer et de maintenir une identité dans ces conditions !
Pourtant, le Café du Peintre y arrive sans peine: le nom né dit pas qu’en fait, c’est un vrai bouchon lyonnais, qui respecte la pure tradition du mâchon qui réchauffe les ventres des travailleurs, des «vrais»!!!
L’accueil est franc et aimable, comme si on nous connaissait depuis toujours — cette gouaille lyonnaise que j’affectionne tant est ici portée haute par le fils de la cuisinière; il connait son affaire, surtout en vins.
Le cadre est vraiment sympa, gros coup de coeur pour moi !
On s’y sent instantanément bien, dans ce Café !
Et le nombre d’habitués qui ont leur serviette ou leur tablier brodé à leur nom pendu au mur, qui sont à-​tu-​et-​à-​toi avec le patron, me dit que cette sensation est partagée.
On s’y sent encore mieux quand on boit un verre en lisant la carte et les fameuses «coquineries». On nous propose une cuisine lyonnaise traditionnelle, passionnée, généreuse, joyeuse, qui me fait penser à celle que pourrait mitonner une mamie ou une tante qui reçoit la famille chez elle…
Alors pourquoi seulement 3 étoiles ?
Parce que le service a été loooooooooooong… Il paraît qu’on aurait dû dire qu’on n’avait pas deux heures devant nous… Mais même la prise de commande a été longue… mais dans la bonne humeur et avec le sourire ! ça passé mieux.
Parce que la «fameuse» quenelle Colette Sibilia est certes magnifiquement soufflée et délicieusement aérienne, mais vaut-​elle 18 € ?!
Et parce que les tarifs affichés des plats à la carte, fussent-​ils de très bonne qualité par ailleurs, me paraissent un tantinet sur-​élevés: on est dans un bouchon lyonnais qui n’ouvre principalement que le midi, pas dans un «gastro»…
Ces bémols, pourtant, né m’empêcheront pas d’y retourner (vous avez dit paradoxale? ou maso ?! ou inconstante ?!!), parce que l’ambiance, la gentillesse de l’accueil, d’autres choses à goûter (et plus abordables)…
Parce que coup de coeur, quand même !
Allez comprendre…

Trouver un bouchon lyonnais pour manger à 10 avec sa famille un 8 décembre relevait un peu du défi. RDV est pris pour 14h au Café du Peintre ! On arrive, le lieu est blindé, surtout que quelques jours avant, le resto a hérité du label Bouchon Lyonnais qui reconnait les vrais de vrais !
On attend donc 15 minutes qu’une table se libère. Ça y est, on s’installe et on choisit le menu du jour. Velouté de potiron et raviole de St Marcelin en entrée, poulet au vinaigre, gratin de macaronis et légumes, tartelette poire amandes en dessert ! Une constante pour tous ces plats: c’est une tuerie ! Et en plus le personnel est accueillant et né perd pas le sourire même en plein rush !
Je recommande !

Il y a des signes qui né trompent pas. 14h00: alors que tout le quartier se presse pour avaler son café, les habitués s’attardent et semblent né pas vouloir se remettre au travail. C’est vendredi, ils s’accordent sans culpabiliser un sursis sous les nappes rassurantes de cette adresse nourricière, tendre, attachante.
Au milieu d’une salle pleine à craquer, Florence la maîtresse de maison se faufile pour apporter ses plats. Sa voix fluette pose les habituelles questions bienveillantes avec une sincérité désarmante auxquelles nous répondons avec un large sourire régalé. C’est l’effet cuisine canaille parfaitement executée. Ou l’accueil et le service enjoués. Ou le charme de son fils qui nous prodigue des conseils sur les vins, bien avisés. Peut-​être bien un peu des 3 tout compte fait.

En voilà encore une bonne étape lyonnaise typique ! Surtout né pas divulguer l adresse aux touristes et qu ils continuent à manger des andouillettes congelées dans le vieux Lyon plutôt que la cuisine de la patronne qui fait de tout un plat succulent servi par 2 personnes adorables ! La devanture né paye pas de mine mais tant mieux !

Longtemps, le Café du peintre, je le voyais de ma fenêtre de cuisine… J’ai habité près de 6 ans dans le 6ème (pas fait exprès), et pour moi, c’était un bistrot de quartier sans plus (voire un boui-​boui pour les soulots du coin, c’est vous dire !). Il a fallu que je déménage assez loin du 6ème et qu’une collègue de travail me vante les qualités du Café du Peintre comme un très bon restaurant du midi (il a récemment été repris je crois), pour que j’y mette enfin les pieds, accompagnée de madame Unilocal et de mon esthéticienne préférée, Madame Beauty Shop (oui, c’est un concept, tu manges avec ton esthéticienne et le lendemain, tu fais palper-​rouler avec elle, histoire qu’elle sache bien où est allé se nicher le tiramisu, c’est plus drôle).
Bref, nous voilà installées, bien accueillies dans un très joli cadre ambiance bistrot chic. Je suis la première arrivée et observe les habitués qui enfilent leurs petits bavoirs brodés à leur nom (c’est classe). Mes comparses arrivent: on papote et on tricote (mais oui, on tricote !), il fait froid, il fait faim, qu’est-ce qu’on mange? Pour ma part ce fut panaché de poissons (saumon et merlu je crois), le plat du jour (deux poissons seulement dans mon assiette, un troisième morceaux n’aurait pas été de trop pour un vrai panaché à mon goût) avec riz et carottes sautées et tiramisu d’ananas au spéculos. Le tout pour 17 euros (sans café, je n’en bois pas et le prix est le résultat d’une division savante, mais pour ma part, c’est ça grosso modo). Tout était vraiment très bon, conquise par le dessert (je suis un bec sucré, je suis tatillonne sur le dessert), en revanche, j’aurai aimé un plat principal un poil plus copieux (les entrées proposées né me tentaient pas trop).
Donc si je résume les points positifs :
— bonne cuisine traditionnelle simple mais raffinée,
— très joli cadre et accueil sympathique,
— le dessert, sur lequel j’insiste souvent, mais c’est vraiment la dernière impression que l’on garde d’un repas, donc, c’est important chez moi ! le mien était très bon original mais pas trop !
Pour les moins :
— plat du jour pas assez copieux à mon goût,
— prix un poil plus élevé que la moyenne pour un restau du midi (sans vin et sans café). C’est à peu près le prix que nous avions payé pour un autre restaurant du quartier (Des domaines qui montent) mais avec vin, café et plus copieux,
— Et gare au stationnement dans le 6ème… le quartier devrait bientôt voir sortir de terre un parking, en attendant, préférez les transports en commun !
Donc au final, je né mettrai pas 4 étoiles parce que je suis tatillon (ben oui, c’est comme ça), mais le Café du Peintre est une très sympathique adresse pour un déjeuner dans le quartier des Brotteaux.

Ce Café du Peintre a tout bon: l’accueil sympathique et chaleureux de Max, les petits plats lyonnais ou traditionnels toujours de saison, avec de bons produits de Mme Perrier, les desserts maison à tomber, avec tout ça un bon petit verre de vin de nos vignobles régionaux… Pour un rapport qualité/​prix excellent, le meilleur restaurant du quartier Part-​Dieu/​Brotteaux, on s’y sent comme à la maison…

De l’extérieur on croirait un petit restaurant de quartier, mais en réalité le Café du Peintre est un véritable bouchon lyonnais.
C’est d’abord l’apéritif qui étonne. Je né connais pas la moitié des alcools proposés, on m’explique que ce sont des spécialités régionales aujourd’hui devenues rares mais qui il y a cinquante ans encore se trouvaient dans tous les bistrots.
Une cuisine authentique et délicate représentée par les «coquineries «de la patronne qui né sont autres que ses suggestions. Deux entrées et deux plats au choix, c’est peu, mais ce qui est bien c’est que c’est forcément bon.
Quant aux desserts, ils sont tout bonnement renversants ! Tarte à l’orange et gâteau de riz testés, on en est restés sans voix.
Coté prix? Le Midi 2 plats pour 16 euros, 3 pour 19 euros. En prime, et ceci n’a pas de prix, la simplicité et la gentillesse de la patronne, et un service parfait.