Le Carnel

Avant, avec mes collègues à grande bouche, c’était là qu’on allait. Pizza, steak, plats en sauces, escalope milanaise, pâtes carbo… c’était à celui qui aurait l’audace de terminer tous les gratins dauphinois de la table et de se suicider l’estomac aux profiteroles. Bref, des midis de débauche à vous faire prendre 3 kg juste en réservant la table.
Depuis, mes collègues à grande bouche sont partis, et je me suis rabattue sur une cuisine quotidienne moins calorique.
Je suis retournée au Carnel il y a peu et j’ai été heureuse de constater que l’ambiance y est toujours bonne et le patron en pleine «forme».
En ce qui concerne la cuisine, la pizza Carnel est plutôt correcte et les plats italiens copieux… Mais bon… j’ai revu depuis mes exigences à la hausse. La salade verte est trop «iceberg», la sauce insuffisante, les foies de volaille pas cuits et la note trop élevée vu l’emplacement pas franchement glamour (entre 7ème et 8ème).