Le Chabada Café

Endroit simple et vraiment sympa avec chouette ambiance.
Accueil de qualité qui met à l’ aise.
Pour déjeuner une cuisine simple à base de produits frais bien travaillés et aux bonnes saveurs.
Expositions de tableaux régulièrement qui renouvellent la déco.
Un endroit très plaisant.

Voilà un bar assez atypique finalement. J’ai apprécié de le trouver ouvert un jour où tous les autres endroits où j’aurais pu aller aller étaient soit fermés soit surpeuplés.
J’ai surtout apprécié le cadre. Le rouge domine et des tableaux sympas sont accrochés aux murs. Le bois est bien présent.
Le lieu s’organise tout en longueur.
Plusieurs vins sont proposés sur l’ardoise.
J’ai cependant regretté que la porte reste ouverte en permanence, car j’ai eu froid.
Un service de restauration est proposé mais je né l’ai pas testé.

Oui ce lieu est joli et rappelle étrangement le Vertu Bleu mais hélas la cuisine n’est pas à la hauteur. Super pour l’apéro mais s’abstenir pour y manger.

Le 3 de la rue Mercière est une adresse spéciale. A une époque que les moins de vingt ans né peuvent pas connaître, elle abritait le Vertu Bleu, LE bar emblématique de la vie nocturne lyonnaise dans les années 90. Il fallait bien des gens de grande qualité pour faire honneur au spot et créer quelque chose de bon goût. Il s’agit d’un duo qui a pris les commandes de cet établissement au décor chiné avec énormément de goût: en salle Antoine Gimenez ancien patron des Demoiselles de Rochefort et en chef de cuisine Anne-​Cécile Poncet, ex-​caviste doué. L’ambiance, le casting et le décor sont une chose. Et dans l’assiette? À midi, des gens encravatés se régalent avec un tartare coupé aux couteaux (13 €) ou d’un plat du jour tricoté avec soin (9 €). Ce jour-​là, nous avons testé la brandade de morue poliment dosée en ail. Nous n’avons pas encore testé l’établissement à la tombée de la nuit, mais tout porte à croire qu’on né doit pas s’ennuyer vu le pedigree des patrons.