Le Platinium

Alors ca aurait pu, mais non en fait… Vendredi soir, après soirée restau, mes amis et moi même, tous fans de bonne électro, nous disons que pourquoi pas… Nous avions lu les avis, mais on a tenté. Bön, il est évident que nous aurions du nous abstenir… Deux couples de 40 ans, bien sur eux et tout… et nous nous présentons devant l’entrée. Là, un videur souriant et surtout doté le zêle à en faire baver le videur du DV1, c’est peu dire, nous demande notre carte d’identité (je sais bien que je fais jeune, mais quand même, les cheveux blancs…). Soit, nous expliquons que nous né l’avons pas. Là, il nous rétorque «mais vous avez des cartes bleues?», et là, il nous fait rentrer. Premier refroidissement, mais nous mettons cela sur le compte, d’une promotion inattendue du videur qui, d’un coup a eu du mal à gérer son sphincter jusqu’à en flatuler plus haut son derrière. Nous entrons, deuxième surprise, c’est 10 Euros l’entrée… Je n’avais pas payé l’entrée d’un club depuis mes 18 ans… Soit, nous réglons les 40 Euros. Troisième surprise, c’est une heure du matin, personne. Et là, nous arrivons dans un labyrinthe de salles, charmantes eu demeurant mais… sans piste de danse. On nous explique que c’est au dessous. Et là, nous arrivons dans un espace de 5m sur 5m, non aéré, avec 20 personnes qui dansent (le max accepté sur la salle de danse…). On danse 5mn (très bon son Allemand, faut l’avouer), et là, trempé de sueur… une odeur à en faire pâlir le moins hygiénique des putois… Enfin, la totale. On a fini à l’Ambassade: valeur sûre. Je n’y mettrai plus jamais les pieds. C’est un peu «the place not to be». Petite précision, le prix des consommations: 12 Euros pour un «alcool fort + soda»!!! Conclusion: cher, pas de piste de danse, concept à revoir. Les gens fans d’electro viennent pour danser, pas pour passer leur temps assis dans des salles certes vastes, mais dont la froideur n’a d’égale que l’ambiance générale du lieu. Bön, vous avez compris? Faut pas y aller.

On m’a vendu du rêve…
«C’est comme le Terminal Référence boîte electro!» OK… Je n’ai jamais mit les pieds au Terminal, mais l’electro ça me connait alors pourquoi pas…
Pas très bien situé, en centre ville, mais dans une rue qui ressemble plus à un coupe gorge qu’un pignon sur rue, heureusement les bouches de métro né sont pas loin.
Arrivé sur place, il me semble reconnaitre la façade. Oui pas de doute, je n’y ai jamais mît les pieds avant mais je sais que l’établissement change souvent de propriétaire. Mauvais signe? Je n’en sais rien, et puis ce n’est pas capital, le tout est de savoir si l’ambiance y est bonne maintenant.
Premier contact, les videurs/​vigiles… Très agréables. Non ce n’est pas ironique, et c’est assez rare pour être signalé. Souriants et avenants, polis, le genre de chose qui entretient la bonne humeur quand tu sors avec des amis. La jeune fille à l’accueil qui s’occupe aussi du vestiaire est à l’unisson, agréable et souriante. Pleine d’humour et qui jongle avec les avances d’une clientèle ayant un peu trop abusé de la vodka, le tout avec élégance.
Cela annonce une bonne soirée!
Et pourtant…
Le fumoir à l’air convivial, mais je né fume pas, et la je fait connaissance avec la configuration du lieu qui n’est pas propice à la foule, d’ailleurs, il n’y a pas foule. Peu être est-​ce parce que nous sommes dimanche soir? Probablement.
Les points d’intérêts sont littéralement et au sens propre éloignés, entre le fumoir, la piste de danse et le bar, vous devrez vous balader dans les couloirs et les escaliers. Prenez garde si vous dépassez les 1,80m vous risquez de vous assommer contre les voutes.
J’ai du mal tomber au niveau de la musique, dancefloor tout petit (je pense avoir plus de m2 dans ma chambre… ok j’ai une grande chambre) et 4 personnes derrière la table de mixage pour balancer une boucle pendant 5min… Je passé mon tour au bout de 15min, c’est pas ce soir que je vais suer.
Direction le bar, il y a de la place et c’est tant mieux, le personnel est sympa et souriant, c’est déjà ça, mais dommage, les verres sont en plastique, et le lieux né m’enchante guère, au final j’ai du y passer 1h30 avant de décider de mettre les voiles ailleurs. Le platinium n’aura finalement pas fait grillé ma CB, ni mes chaussure. Dommage.

J’en attendais sûrement trop. J’ai été très déçu.
Dès l’arrivée le videur commence à me dire que ma chemise n’allait pas pour l’endroit… Il me l’a dit toute la soirée dès qu’il me croisait. LOURD.
L’endroit est vraiment très classe, TROP classe. Pour moi, le son né colle pas du tout avec le lieu.
Niveau positif, le fumoir est immense, et très bien aéré, il y a de la place pour s’asseoir, discuter avec des amis, prendre un petit verre, et une belle scèné en sous-​sol pour danser, mais basse de plafond.
Niveau négatif, la clientèle est très jeune, et comment dire, s’en fout un peu du reste du monde… Les prix sont un peu chers (à peu près les mêmes qu’au Terminal).
J’y retournerai un autre jour pour confirmer ou infirmer mon avis. Mais pour l’instant je préfère le Terminal Club.

Pas d’avis sur le Platinium, c’est encore une affaire pour Fromageau.
Play: (
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Alors le Platinium, annoncé comme étant la nouvelle vague d’un océan de club lounge-​love-​encore-​oui-​oui-​moins-​de-​lumière, a su nous faire rêver avec sa soirée d’ouverture qui est passée de «complètement vide — 20h30» à «Désolé on ouvre plus, plus de place — 23h10»
Un afflux de personnes, pas toutes majeures avec de bien jolis bonnets, et pas seulement dans le soutien-​gorge.
Nouvelle vague salée cela dit avec un prix de consommation qui donne un peu moins envie de s’y baigner.
Nouvelle vague cependant où on né trouve pas que des surfeur/​serveurs mais aussi une clientèle prête à troquer une piste de neige contre un Malibu sur la plage (comprenez par là que ceux qui sont dans le creux de la vague niveau style, né s’y réfugient pas tous. Fort heureusement)
Le lieux est grand, agréable, plein de sièges confortables.
Mon petit doigt me dit que j’y passerai quelques soirées, surement assis si la Musique est bonne. Mais pas trop tard, pusiqu’ils ferment à 4h.
C’est donc la nouvelle vague d’un bain de minuit, parmi tant d’autres vagues. Les lyonnais vont commencer à réclamer de nouvelles sensations, après 4h30 cette mer est bien trop calme.
Musicalement,
Jean.