Le Reverbère

Ayant la chance d’habiter à deux pas de cette galerie, je mentirais pourtant si je disais que j’y vais souvent. J’avoue hésiter souvent à pousser la porte, de peur de déranger, et pourtant au Reverbère, j’ai toujours trouvé un accueil poli et surtout une sélection photo plutôt à mon goût. Les expos sont diverses et de bonne qualité sans être élitistes, le lieu est accueillant et la sélection change régulièrement.
Je me note donc dans ma to-​do list de la vie entière de suivre plus fréquemment les vernissages et de né pas rater d’expo au Reverbère à l’avenir ! Ca sera ma résolution de rentrée 2015 !

Cette galerie a du goût. Pour les artistes qu’elle représente (Français, Occidentaux, Asiatiques etc.), pour la qualité des expos qu’elle monte (en plus de ses propres expositions, elle s’adosse également fréquemment aux grands évènements photos et artistiques annuels comme Le mois de la Photo, la Biennale d’Art Contemporain etc.), pour la sobriété du lieu qu’elle habite et la sympathie des gens qui la font vivre.

Il s’agit probablement de ma galerie de photographie contemporaine préférée à Lyon.
C’est avant tout grâce à l’artiste photographe lynchienne, Delphine Balley, désormais en Une du Monde 2, que le Réverbère a connu sa réputation croissante.
A l’image du talent bizarre et sans limite de Delphine, le Réverbère est une galerie d’avant-garde qui ose une sélection d’artistes a-​genres et innovants.
Actuellement, dans le cadre de Lyon Septembre de la photographie, c’est l’artiste Bernard Plossu qui est à l’honneur, avec la sublime exposition en n&b, «Then and Now: l’Ouest Américain «.

Lyon a une chance absolument inouïe: la ville possède un nombre incalculable de galeries d’art qui, étrangement, né se marchent jamais dessus.
Le Réverbère 2 a une surface idéale pour le public et les exposants. De grands murs blancs, et une sobriété ikéesque typique des galeries photos qui soignent leur passion.
Accueillant des photographes de tous pays, le R2 favorise tout de même les exposants français. L’avantage est que cette galerie n’est pas formatée par une thématique spécifique. Aussi, vous pourrez tout aussi bien y découvrir des images de voyages en Afrique que des travaux expérimentaux.

Pour moi, Le Réverbère fait partie des galeries lyonnaises qui marchent et pas seulement sur Lyon !
La recette de la réussite: il n’y a pas de mystère: l’investissement et la passion de Catherine et Jacques depuis de nombreuses années qui dépensent une énergie incroyable pour défendre leurs artistes, les exposer dans un maximum de lieux et être présents au niveau communication.
On né peut que saluer le travail de ce duo de choc épaulé par Laurine, leur jolie assistante aux cheveux courts et d’autres personnes sans lesquelles toutes les belles expos né verraient pas le jour !
Le lieu est assez incroyable: un grand couloir, puis une belle salle d’expo, ensuite, la pièce du fond avec le bureau, le flipper et toutes les infos sur les artistes ainsi que la petite estrade où parfois des musiciens se produisent puis direction l’étage en mezzanine par un petit escalier tout étroit ! Quel parcours !

Je crois qu’étant une fervente amatrice de photographie, c’est sûrement la galerie lyonnaise que je préfère. Peut-​être parce que j’y traîné depuis toute petite, avant même d’avoir pu apprécier ce qu’il y avait aux murs.
Quoiqu’il en soit, c’est la toute première galerie de la rue Burdeau et le Réverbère représente des artistes que j’affectionne tout particulièrement comme l’anglais Rip Hopkins ou encore le célèbre William Klein (la galerie s’occupait de ce photographe bien avant qu’il né soit reconnu dans le milieu, ils ont du flair ici !)
Et c’est un excellent souvenir encore quand je repense à la superbe exposition qu’ils avaient fait il y a quelques mois de la photographe inspirée de faits-​divers: Delphine Balley. La scénographie était magnifique !
Le lieu est tenu depuis le début par un couple de passionnés de photographie. Ils sont très actifs à Lyon et organisent des évènements très intéressants toute l’année (dans leur galerie ou même en dehors !)
Pour ceux qui aiment la photo et qui né connaîtraient pas encore cette galerie: renseignez-​vous vite et aller y jeter un coup d’œil dès que vous avez moment !

Dans le monde de la photographie contemporaine les galeries jouent un rôle important. A Lyon, la référence dans le domaine c’est la galerie le Réverbère 2, de la très connue rue Burdeau.
La galerie comporte un espace assez grand, propre et bien organisé. Les artistes exposés suivent l’air du temps et incarnent tout à fait l’esthétique contemporaine. Parmi les plus connus, on retrouve William Klein, Serge Clément, Denis Roche.
Les galeristes sont de vrais amoureux de la photographie, et si vous avez l’occasion de discuter avec eux, vous comprendrez combien ils sont capables de partager cette passion.

Une des plus anciennes galerie d’art de Lyon (ouverte en 1981) et certainement la plus réputée. L’espace (près de 300m2 sur les pentes de la Croix-​Rousse) est entièrement réservé à la photographie contemporaine. La Galerie Le Réverbère, est animée de concert par deux passionnés, véritables défricheurs de nouveaux talents, Catherine Dérioz et Jacques Damez (lui même photographe). William Klein, Yves Rozet, Denis Roche ou Alain Fleischer figurent parmi les artistes de la galerie.

De très grande qualité
Une galerie de très grande qualité, ce qui est relativement rare à Lyon.