Lolo Quoi

— On va manger chez Lolo quoi ?
— Quoi quoi ?
— ON VA MANGER CHEZ LOLO ???
(Discussion passionnante avec ma charmante grand-​mère qui né manqué pas de souligner l’étrangeté du nom de ce restaurant)
C’est déjà ma cinquième visite dans cet établissement. Quand j’ai envie d’un excellent gratin de gnocchi, c’est ici que je viens systématiquement. Le problème c’est que je commande toujours ce plat car j’ai maintenant peur d’être déçue par le reste de la carte. Bien grillé et généreux, avec sa copieuse salade à part, je me régale. Plus de place pour le dessert, aujourd’hui. Pourtant j’apprécie beaucoup leur tiramisù ou un petit café gourmand de temps à autre.
J’adore l’ambiance de Lolo quoi: avec ses murs très sombres, même au milieu de la journée, on a l’impression qu’il fait nuit à l’extérieur si l’on est placé au fond de la salle. Les ampoules à filaments nues diffusent une lumière jaune douce et très agréable. Dommage que cette ambiance intime soit un peu cassée par le volume sonore aléatoire qui perturbe nos conversations.
Les serveurs sont très gentils. Le jeune homme qui nous râpe aimablement le parmesan né s’agace même pas de nous voir abuser gentiment de ses services («Encore un petit peu… Encore… Encore… Voilà merci !»). Le service est relativement rapide. Heureusement car les quelques gressins qui nous attendent sur la table à notre arrivée nous mettent furieusement en appétit.
Bref, je reviendrai.
Et je prendrai encore un gratin de gnocchi !

Et alors là je conseil de changer de nom à l’établissement: le «non non, quoi».
J’ai vieilli en attendant un accueil digne de ce nom: ni bonjour ni bonsoir, on est resté à côté de la porte pendant un moment dans une resto pratiquement vide.
Manqué totale de communication en salle: on a appelé 2 fois pour expliquer qu’il s’agissait d’un anniversaire surprise mais les serveuses n’étaient pas au courant… Du coup quelque moment de panique.
Je vais pas perdre trop de temps dans les détails mais:
— la serveuse qui nous a servi était la seule à courir dans le Resto, les autres glandaient sans un vrai but: résultat, la pauvre travaillait pour 3… Chapeau à elle qui essayait de faire de son mieux.
— le vin, un rouge du sud Italie, on aurait dit qu’il sortait tout droit du frigo (comment tuer un bon vin.). Quand on dit «servir à température ambiante» on s’imagine certainement pas que l «ambiante» soit le pôle nord…
— on était 6 à table: on a vidé la salière en essayant de donner un peu de goût au plats (c’est à dire: je suis pas le seul qui râle…). Ok, moins de sel fait du bien aux artères mais là c’était abusé.
— le pain grillé du «crostini» (mon entrée) était tellement brûlé que a pu couvrir le goût du gorgonzola (qui quand même à un goût assez relevé.)
— la cuisson «bouilli de pâtes» est inacceptable quand on est dans un Resto qui est censé faire des pâtes son point de force. J’ai même pas eu besoin de mâcher. A la limite servez des pâtes avec une paille, on peut mieux les boire de cette façon …
Deuxième fois pour moi ici, il y en aura pas une troisième. A oublier.
Dommage parce que l’endroit et la deco sont franchement sympa. Mais on va pas dans un Resto parce que c’est joli, on y va parce que c’est bon.
C’est pas le cas.

Lolo Quoi, j’y suis allée 3 fois, et par 3 fois j’ai été déçue. 3 fois de trop, donc…
Et c’est définitivement terminé pour moi. Il faut vraiment avoir le palet anesthésié pour apprécier ce qu’on nous sert là-​bas.
Je m’explique. Si l’établissement en lui-​même est très joliment décoré, c’est bien là son seul atout.
Le service est approximatif: l’accueil est long, les serveurs un peu (trop) mous…
Ce soir, la jeune fille qui s’occupait de ma table était la seule dans le restaurant à s’activer, tous ses collègues erraient sans but dans les allées et donnaient l’impression de s’ennuyer royalement.
Je passé les nombreux couacs liés au service par respect pour la serveuse qui faisait clairement de son mieux, au contraire de ses collègues.
Concernant les plats, ces derniers sont insipides, on se demande si le chef les a goûté avant de les envoyer. Mes gnocchis manquaient de sel (j’ai dû vider un quart de la salière dans mon plat pour rehausser le goût…) et la tomate avait tellement dégorgé qu’ils trempaient dans l’eau. Une soupe de gnocchis au goût de carton, une !
.Et mes expériences précédentes (un risotto et des tagliatelle) né remontent pas la note.
De toute façon, d’une manière générale, la rue Mercière est à éviter, Lolo Quoi en particulier.

Une rue à touristes, c’est rarement bien prometteur. Et bien on né fait pas exception. On pourrait pourtant s’attendre à quelque chose de bien, le serveur qui passé avec la râpe a parmesan pour servir chaque assiette est original et apporte de l’animation.
Mais manger sur une table bancale un apéritif mal servi, pas frais, avec de la charcuterie Métro, suivie de pâtes bourratives, ce n’est pas ce que l’on attend quand on paye 80 € pour deux.
Il y a quelques bons restaurants dans la rue, mais pas celui ci, dommage

Super déçue! L’accueil et le service est long, planche de charcuterie à deux était bonne mais le pain est servi au compte goutte et le plat était infecte (risotto fondu de poireaux) beaucoup trop d’herbes et limite rance… Mon copain a pris le gratin «façon raclette» très acide, imbibé de vin blanc…
«Bah Lolo quoi, qu’est ce t’as foutu!!!»

«Lolo Quoi: restaurant Familial»
C’est par c’est quelques mots qu’on accueille le client chez Lolo…
Pour le côté familial, on pourra repasser. Il n’y a rien de familial dans ce resto. Même pas assis aux tables. Ca a plutôt l’air d’être le resto des étudiants avant la sortie hebdo. C’est bien, il en faut. Mais ça né s’appelle pas un restaurant familial…
La déco est … brute. Une pierre en guise de lustre, quelques morceaux de bois devant un mur de métal pour faire style (style de quoi, je cherche encore). Et priceless le morceau de glacé qui fond au dessus du bar.
Une fois entré, on est dirigé vers le bar. C’est que ce lieu fort pittoresque compte de nombreux adeptes (c’est pas cher non plus). 20 minutes d’attente… ah 20 minutes avant que l’on prenne commande d’un verre de vin (servi à la tireuse, horreur)
Puis 20 minutes avant placement, 10 minutes avant distribution des cartes, et 20 minutes avant commande, et …
Vous avez compris le principe je crois.
Bön le plats est original, comprenez il y a des trucs qui n’ont rien à faire ensemble dans mon assiette. Ca né manqué pas de saveur, c’est juste que cela se bouscule, c’est brouillon, le plat est pas top. Et surtout il y a de l’huile.
Un dessert par dessus. Et bien le tiramisu fut une bonne surprise. Vraiment. Pas le meilleur, mais il se défend et vient sauver le repas.
Comme le dit la fable :
il «jura, mais un peu tard, qu’on né l’y prendrait plus»

LOLO t’attends QUOI ??? Le dégel !!
Petite allusion à la déco incongrue du bar (un morceau de glacé suspendu au bout d’un morceau de bois, et qui fond au goutte à goutte au dessus d’une marmite… et qui sert «juste à faire beau» dixit la serveuse) et à l’attente qui a agrémenté notre repas …
Un samedi soir d’un week-​end Lyonnais, décision un peu tardive d’aller au resto.
La devanture est plaisante, on se dit qu’on va rentrer dans un endroit où la cuisine c’est une affaire de famille… FAIL
Déjà, il y a du monde (vraiment beaucoup de monde): on nous annonce 20 minutes d’attente (plutôt 30 en fait), donc on s’installe au bar pour boire un verre… et on attend 15 min avant que le serveur daigne nous regarder et nous servir du vin …
Au bout des 30 minutes, nous voici enfin installés, la carte devant les yeux. J’avoue il y a quelques plats qui m’interpellent: pâtes au curry ou à la thaï. C’est plutôt des épices et saveurs que je préfère avec du riz. Je décide de pas tenter et opte pour des linguines au saumon… j’ai été franchement déçue: à part le fait que les pâtes étaient bonnes, et le coup du parmesan râpé en live au dessus de l’assiette, le saumon était sec ou pas bien cuit selon les morceaux, la sauce pas extra (un petit goût amer, qui né se mariait pas bien avec le saumon) et surtout le fond de l’assiette baignait dans l’huile. Pas vraiment un régal.
Et comme j’ai un côté un peu masochiste, j’ai quand même pris un dessert: fondant au chocolat et crème au mascarpone à l’orange confite… re-attente…et re-​déception.
bonne idée et un bon goût pour la crème au mascarpone mais malheureusement trop compacte, pas assez légère…et surtout, mais surtout, pourquoi mais pourquoi le cuisinier a t’il recouvert son fondant d’un nappage au chocolat qui sent bon l’industriel ??? pas super digeste tout ça…
LOLO tu veux manger QUOI? J’aime bien les pâtes mais je né retournerai pas chez toi !

Hier soir avec une amie nous avons mangé dans ce restaurant ! J’ai pris le menu avec des pâtes (pennes au poulet épicé facon tajine) et en dessert un cheese cake au marron et je me suis régalée. J’enlève une étoile car la carte peut être améliorée (plus de choix). Malgré tout très bon rapport qualite prix, je recommande !

L’un des restaurants les plus connu de la rue merciere.
Decouvert il y a environ 5 ans. Ce temple de la restauration italienne est une adresse sympathique pour son décor. Orienté sur le design discret du lieu, ambiance feutrée mais avec de grands volumes, l’environnement est propice aux soirées entre amis.
Pour ce qui est de l’assiette, et bien je n’ai pas été emballé. On reste sur du standard sans grande originalité. Les produits sont bons mais rien d’exceptionnel pour un prix qui lui, avoisine un petit haut de gamme…
En somme, à tester pour se faire une idée.

A moins de 10 € le plat du jour (midi) succulent…
Une déco différente, et les petits détails du genre le bloc de glacé qui coule dans une casserole pendu
JE DIS OUI!
Dommage, ZERO sourire au moment de payer

Très belle carte. Et tout est bon dans les plats. J’adore le petit gaspacho en amuse bouche. Big up les pennes 4 fromages et noix. Big up le parmesan fraîchement râpé une fois le plat servi. Le menu du midi est très attractif. Une belle adresse de la rue mercière.
(Gros) Bémol: (qui me ferait mettre 1 ou 2 étoiles si les pâtes n’étaient pas si bonnes) le service froid et pas souriant du tout le soir. Le midi en général ça va mieux.

Lolo Quoi, ça fait penser à une bonne brasserie relookée à la sauce italienne sans vraiment revendiquer son italianitude dans la décoration. Exit donc le folklore, le restaurant dispose d’une bonne surface à l’intérieur contrairement à la plupart des restaurants de la rue Mercière, ce qui est un bon point pour les bonnes tablées.
J’ai été convaincu par mon risotto de rougets sans non plus être ébloui. Service correct et rapide.
Dîner un samedi soir j’ai trouvé le lieu très bruyant, bon je sais vous allez me dire «c’est sur la rue Mercière!» et assez sombre (les petites loupiotes qui pendent au dessus des tables, j’espère que la mode va vite passer…)

Un curseur important pour moi, c’est le «est-​ce que j’aurais pu le faire à la maison?». Oui? Alors ça vaut moins de 10 euros et je le mangerai sans avoir la sensation d’avoir perdu quelques pièces par terre.
Il faut dire que je voulais vraiment manger à une terrasse et pas trop loin de chez moi.
Oui parce que mon assiette de farfalles au chèvre, pignons et courgettes était bonne mais beaucoup trop simple et beaucoup trop peu cuisinée. Mais ça c’est ma grande histoire avec les pâtes au resto, je n’en ai jamais mangé qui m’ont retournée au point d’oublier que OUI j’aurais pu le faire moi même !
Dans mes souvenirs de fois précédentes et de piochage dans l’assiette de mes voisins, la salade aux câpres est superbe (et là la recette innove un peu) et les pâtes aux trois fromages et aux noix sont un délice régressif jouissif.
A part ça, le cadre est beau, ça c’est clair et je n’ai jamais rien eu à reprocher au service.

Mouais…
J’y suis venue en semaine pour le déjeuner. J’ai trouvé l’accueil très froid, tant par celle qui semblait être la patronne que par les serveurs (dont un qui s’est fait remonter les bretelles devant nous… je trouve toujours ça moyen dans un resto). Quant à la qualité des plats, rien de bien folichon même si je n’ai pas de reproche à faire. Bref, c’est pratique si on est dans le centre mais ça casse pas 3 pattes à un canard !

Je commence par l’accueil… Sourire faux, phrase unique débitée de façon abrupte… Ca né met pas vraiment dans l’ambiance.
Ensuite nous avons fait le choix de patienter un peu pour avoir une table en terrasse. On nous installe au bar. «Bar»? Il n’en porte que le nom, personne derrière. Ah, si, quelqu’un arrive ! Faux espoir, pas un seul regard vers nous, qui né demandions qu’à commander un apéritif.
On nous installe à table avec le même sourire faux, mais notre serveuse arrive, et là nous avons à faire à quelqu’un d’agréable.
Nous avons pris des pâtes, et que ce soit en gratin ou en assiette, les deux plats sont arrivés bien chauds, et étaient bons, sans plus. Nous n’avons pas trop attendu après la commande, donc somme toute une bonne organisation aux fourneaux.
En revanche, à nouveau la galère au moment de l’addition, réclamée trois fois pour au final aller payer à l’accueil, avec un «à vous dans une minute» sans sourire faux cette fois ci, il devait être trop tard pour continuer à faire des efforts.
Petit espoir en partant, quand un serveur (semble-​t-​il plutôt un responsable /​manager) nous a dit un vrai au revoir chaleureux avec un sourire franc.

Pour une soirée 100% italienne, Lolo Quoi est le restaurant idéal !
Premier point: l’ambiance. La salle est immense, avec un haut plafond, et un éclairage très faible. Une fois installé, on se rend compte que des spots éclairent les tables par le haut, on voit ce qu’on mange, ouf ! En tout cas, l’ambiance romantique est parfaite.
Deuxième point: les plats. Comme les pâtes né me tentaient pas trop, j’ai choisi une escalope milanaise, avec jambon cru et mozzarella.
Rien à redire, ce plat est une merveille. L’escalope est très bonne, et le duo jambon cru /​mozzarella apporte beaucoup de goût à l’ensemble. L’accompagnement, un gratin d’aubergine, est lui aussi très bon.
Les gros estomacs seront ravis, l’escalope est assez gigantesque. Monsieur a eu du mal à finir son assiette, c’est dire !
Pour finir sur une note sucrée, je conseille évidemment le tiramusu. J’adore les tiramisu, et celui-​ci est vraiment délicieux.
Dernier point: le service, sympa, et surtout assez rapide sans être expéditif. On nous laisse le temps de savourer chaque plat. Grâce à la grande capacité du restaurant, on né se sent pas pressé de partir.
En bref, Lolo Quoi est une bonne alternative à tous les attrape-​touristes de la rue Mercière. Les prix sont convenables, et on passé un bon moment.

C’est un petit trois étoiles car j’aime assez la décoration intérieure qui change un peu de ce que l’on voit dans la rue mercière.
J’ai testé à nouveau en lisant quelques avis de Unilocaleurs qui m’ont fait me dire «pourquoi tu né te souviens absolument pas de ton passage à Lolo quoi il y a de ça quelques années».
Ok et bien maintenant je sais pourquoi: parce que ce qu’on y mange laisse TOUT sauf un souvenir impérissable.
Bön on est bien accueillis, le service est sympathique, on a vue sur la cuisine (cuisine qui s’ennuyait ferme) MAIS je né peux pas laisser dire qu’on a le droit a de la bonne cuisine italienne.
Les pâtes n’étant pas maison (vu le principe et le prix c’est déjà un gros moins) j’ai décidé de me rabattre sur le risotto. La carte est aguichante, je craque pour un risotto jambon cru /​poivrons et mon amie pour un risotto asperges /​noix de saint jacques.
Et non, ce né sont pas d’excellents risottos désolée. Oui c’est bon, on termine son assiette etc… mais les produits né sont pas de grande qualité — mon jambon était très salé et ce salé n’était pas du tout contrebalancé du coup… plat trop salé. Le jambon parlons en, pas spécialement bon alors que c’est — pour moi — quasiment la seule raison de mettre plus de 15 euros dans un risotto au jambon et aux poivrons (oui je souligne l’évidence). L’ensemble est pas terrible… pas si harmonieux, je pense pouvoir faire mieux !
Mon amie est également dubitative, les noix sont grosses mais je né sais pas… Elle né terminera pas son assiette alors que nous n’avions pris que ça. Ce n’est pas gouteux, enivrant, aucun gout de «reviens y».
Au final je n’y retournerais pas, ça né vaut pas la peine selon moi car il y a des italiens qui valent mille fois plus le coup à Lyon.
Mention spéciale aux toilettes, oui j’ai mis quelques minutes à trouver comment faire fonctionner l’eau, je n’ai pas honte de l’avouer.
Avec mes PS toilettes je vais finir par créer une liste ;)

Deux/​trois étoiles? Bön allez deux !
Le cadre est sympa, l’accueil juste correct.
La carte est généreuse, il y a du choix.
Un petit gaspacho offert en apéritif (ou plutôt jeté sur la table parce que c’est déposé comme si on donnait des couverts…)
Les plats corrects mais pour un italien les pâtes n’étaient pas au niveau.
Dessert sympa à l’œil. Ma panacotta sans goût mais le moelleux de mon ami satisfaisant.
35 € pour deux, plats et desserts. Correct !
Mais né vous y trompez pas, ce n’est pas un resto aussi classe que ça le voudrait.

Cela faisait un moment que je n’avais pas mis les pieds dans ce restaurant alors, quand ma cousine m’a proposé d’y aller, j’ai dit oui en pensant à faire un retour Unilocal ;)
Le cadre est magnifique. C’est noir, classe. On est accueilli puis placé, le tout en se sentant comme dans un étoilé.
J’ai pris une escalope panée servie avec un gratin de pâtes. C’était très bon même si il manquait un peu de sel dans mes pâtes. J’ai adoré le serveur qui est venu rapper du parmesan avec un petit gant blanc :)
De ce que je me souvient d’un autre de mes passages dans ce restaurant, j’étais au régime et j’avais demandé des légumes avec mon tartares. Ils n’ont fait aucune difficulté et c’était un vrai régal.
J’ai passé un bon moment. Le cadre et les petites attentions faisant beaucoup.

Je suis ultra fan de cet endroit!
C’est quasiment un des premiers endroits que j’ai testé à mon arrivée à Lyon, il y a de ça maintenant 4ans.
A Nancy, j’avais mon italien préféré, celui que j’aimais vraiment fort, passionnément, à l’italienne quoi! Pas d’entrée de gamme mais pas de quoi se croire à Firenze non plus! Bref le petit resto du mois ou de la semaine de qualité et qui nous l’impression d’être en Toscane.
Voilà donc que l’on m’entraîné dans la rue à «attrapes-​touristes», la bien nommée rue Mercière. Me voilà prévenue. On commence donc notre tour de ronde afin de trouver la perle, mais rien parmis les bouchons lyonnais né retiens mon attention. Au bout de quelques minutes, lasse de né point trouver quelque chose d’alléchant, je décide qu’il est temps de partir boire une bière dans le 5eme.
On commence donc à vouloir quitter cette rue surpeuplée, quand, tout a coup, me voilà devant la terrasse du LOLO QUOI!
Parlons en de cette terrasse: alors oui elle donne sur la rue Mercière et son flux de badauds en quête DU restaurant mais elle reste très sympa, en bois et avec un espace entre chaque convives qui reste agréable. En été on peut même y voir une sorte de glaçon géant, pendu sur une chaîné couler tranquillement comme le fil de la soirée.
La carte est assez variée et offre un choix impressionnant de salades en tout genre, de tartares et autres délices froids mais aussi, et c’est bien normal, de pâtes et de risottos. Tout y à l’air succulent et le choix s’annonce cornélien.
J’ai donc eu l’occasion d’y tester un risotto aux Saint Jacques divin et un des meilleurs tartares qu’il m’ait été donné de goûter (imaginez, un de ceux avec des câpres fraîches et des olives confites). Un véritable voyage pour vos sens!
Pour ce dernier, qui est accompagné d’un petit plat de pennes, j’ai même eu le droit à un rappage de parmesan fait main de la part du serveur (tout le monde commandant des pâtes y a le droit): grande classe!
Je né suis pas une grande adepte des desserts mais je me suis déjà laissée tenter par le délicieux tiramisu: une vraie bonne surprise!
Le seul bémol? Leur danse et rituel en cas d’anniversaire: POURQUOI cette chanson??? (je n’en dirai pas plus, je vous laisse la surprise ;))