Néon Diffuseur d’Art contemporain

Ayant emménagé pas loin de cette galerie contemporaine, j’avais suivi les quelques travaux qui s’y effectuaient durant l’été et j’étais passée devant le vernissage en septembre ! J’étais donc bien intriguée et attirée par la typo de la devanture qui m’annonçait une belle découverte !
Et me voilà bien déçue ! Par quoi commencer… En réalité, il faut savoir ce que je juge: l’art, la galerie ou l’accueil? Bön, la réponse sera: la galerie et l’accueil car on est tous d’accord pour dire que l’art c’est SUBJECTIF (merci les cours de philo de terminale pour cette phrase hautement intelligente) et donc que c’est bien difficile de noter (on pourrait même faire une petite dissertation tous ensemble: «Peut-​on noter l’art?») (mais je m’égare!!!)
Et bien l’accueil était très décevant. Quand je rentre dans la galerie, je dis bonjour, on né me répond pas. Bön d’accord. Je regarde les oeuvres, je fais un tour, je vois un escalier et je demande si je peux monter. On hoche la tête. Mmmh okayyy. Je monte, j’aime bien l’idée d’une galerie sur 1 étage, surtout qu’on peut voir du coup les oeuvres exposées au rez-​de-​chaussée sous un angle différent.
Je cherche des informations sur l’artiste, je trouve son nom sur l’affichette du vernissage, mais je n’ai pas d’autres explications. En soi, ce n’est pas très grave SI seulement le galeriste daigne venir me voir avec un simple «Voudriez-​vous des informations sur l’exposition actuelle?». Mais non. Il n’avait même pas vu que j’étais là. Du coup, je suis redescendue, j’ai encore zoné histoire de dire «coucou je suis là» et né voyant aucune réaction, je suis partie. Personne né m’a dit au revoir !
Bref, il m’a semblé que c’était bien une galerie d’art complètement inaccessible et qui nous «dégoute» d’autres galeries qui elles peuvent être très sympas.
Voilà voilà ! Alors bon, zéro pointé pour l’accueil, et 2* pour le lieu en lui-​même et sa disposition originale avec son étage en haut. Je lui donnerai peut-​être une seconde chance pour une prochaine expo.

I’ve attended a few vernissages here since moving to Lyon and they always attract a good crowd of students, artists, art enthusiasts and the curious – in addition to being solid showcases of local and international contemporary work.
Additionally, director Julie Rodriguez-​Malti is a throughtful and caring curator and programmer who is dedicated to a sense of community and providing a venue for younger, challenging artists.
When NYTimes featured the emerging Lyon Biennial last year, they interviewed Rodriguez-​Malti and a few of the other galleries on Rue Burdeau, who sometimes have openings in tandem, where you can drink wine up and down the street.
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J’ai visité plusieurs vernissages ici depuis que j’ai déménagé à Lyon et ils attirent toujours une foule bien des étudiants, des artistes, amateurs d’art et les curieux — en plus d’être solides expos d’art contemporain local et international.
En outré, le directeur Julie Rodriguez-​Malti est un conservateur throughtful et attentionné et un programmeur qui se consacre à un sentiment de communauté et de fournir un lieu pour les jeunes artistes dynamiques.
Lorsque NYTimes en vedette la nouvelle Biennale de Lyon l’année dernière, ils ont interviewé Rodriguez-​Malti et quelques-​uns des autres galeries de la rue Burdeau, qui ont parfois des ouvertures en tandem, où vous pouvez boire du vin et dans la rue.

Bön, pour l’instant pas la peine de se ruer sur la dernière expo de la rue Burdeau, ou en tout cas chez Néon, puisque la galerie a été victime d’un dégât des eaux… Pas de chance pour Dominique Gilliot et Grégoire Motte… seulement 3 jours après leur vernissage.
Bref, c’est le genre de galerie comme on en voit plein dans cette rue. D’ailleurs, le mieux, c’est de se faire une visite de toute la rue Burdeau, certains mardis soir, car toutes les expos sont ouvertes, assez sympa !
A part ça, la galerie Néon né se démarque de la concurrence pour moi, et je n’adhère pas à la plupart des «artistes» sélectionnés…je comprends rien quoi !
Ah si, le dernier, Markus Müller…était plus éloquent que les autres pour moi… et encore…