Passage de l’Argue

Le Passage de l’Argue, c’est un peu notre Galerie Vivienne à nous, les Lyonnais.
C’est joli, pratique puisque ça permet de passer de République à Herriot rapidement. Après, je n’irai pas y passer la journée, ce n’est qu’un passage ^^

J’ai découvert ce passage lorsque je me rendais à la soirée Unilocal au café cousu.
Je né me suis pas attardée car il pleuvait. J’ai trouvé que l’architecture était immense voir colossale. A voir de plus prêt avec prise de photo pour voir si ce n’est pas l’effet de la pluie et la soif de voir les amis Unilocaleurs ;)

Je dois avouer que je n’y vais pas souvent pour les boutiques qui s’y trouvent, mais surtout pour passer de la rue de la République à celle du Pst Edouard Herriot.
Mon attachement à cette galerie est presque militant: il faut conserver ce genre d’endroits, a fortiori s’ils sont charmants et commodes, parce qu’ils nous rappellent une ville plus ancienne et plus agréable à vivre (je né parle pas de la ville avant la mise en place des égouts, ça c’est trop vieux).
D’ailleurs, si vous cherchez un coutelier, que vous voulez offrir un blaireau à Papa (le plumeau pour se raser, par l’animal qui courre), ou encore un chapeau, c’est par là.

Passage typique de Lyon avec qlq boutiques sympas. Beaucoup de monde les weekends. Montres, chapeaux, sacs, souvenirs etc.

Bof, bof, bof, …je suis ravie que ce passage rappelle les fameuses traboules lyonnaises et un mystérieux outil préhistorique ;) …(argue) fait pour filer des l’or et l’argent…mais à part ça,
Je n’y passé jamais dans ce passage… il né m’attire pas du tout, et je préfère de loin le contourner au grand air pour rejoindre… ben l’autre côté !
Je déteste les magasins vieillots de l’intérieur…des chapeaux, des valises, des foulards moches… et d’un coup un magasin street wear (???) bouhhh, c’est nul… pas cohérent, et étouffant.

L’argue est un outil que l’on utilise dans la confection de tissus précieux, pour filer l’or et l’argent.
Lyon est l’une des villes qui ont longtemps comptées dans les tissus d’exception, c’est donc tout naturel que cette galerie à l’italienne qu semble ceindre les plus belle rue de Lyon porte le nom d’Argue.
Le passage de l’argue est l’une des plus belles réalisations lyonnaises de la fin du 19ème siècle. La galerie, en deux parties, traverse trois rues, et perpendiculairement par une petite veine rejoint une quatrième.
Se balader et faire du lèche-​vitrine dans ce passage est un vrai plaisir. À l’abri des intempéries, sous une immense verrière, éclairé par de jolies lanternes… On oublierait presque le bourdonnement de la ville à deux pas de là.
Les devantures de magasin y sont particulièrement bien entretenues, et chaque nouvelle installation respecte l’équilibre du lieu. Toute fois on trouve aussi des devantures années 60, parfaitement représentatives de l’époque, qui pour le coup n’ont pas gardés les façades en bois et on opter pour des matériaux plastique et métal, mais celle-​ci né gâche en rien le décor car les couleurs sont assez neutre et les formes arrondies cassent l’aspect moderne des enseignes.
Si vous visitez Lyon le passage de l’Argue est un passage obligé, vous n’aurez qu’à suivre le messager de dieux et dieu de commerçant, Mercure, qui ouvre la galerie côté rue Herriot.

Une bien jolie manière de faire du shopping et de découvrir la ville au même temps. Le passage de l’Argue transporte ceux qui le traverse vers un autre temps, celui des galeries commerçantes très chics de Lyon.
Désormais, on y trouve des boutiques de vêtements, bijouterie, chapeaux et autres accessoires de mode. c’est un peu chic mais pas non plus exagérément.
Un bon endroit pour venir chercher des cadeaux.

Entre le 40 rue de la République et 43 de la rue de Brest, le Passage de l’Argue est une ruelle commerçante couverte par une verrière métallique. Point histoire: L’Argue, était un outil pour filer l’or et l’argent afin d’en faire des tissus précieux. Aujourd’hui, on y trouve de vieilles enseignes lyonnaises de coutellerie, chapellerie, et même des parapluies… D’autres commerces plus modernes les accompagnent. Par sa fonction, une statue de Mercure, dieu du commerce sous sa verrière, accueille le visiteur !
En passant, levez la tête ! Vous verrez les quelques étages que l’on peut apercevoir au delà de la verrière.
Une petite rue vous fait ressortir par la rue Thomassin… à éviter la nuit pour les odeurs peu commodes.

bien caché
Original à Lyon: une «traboule commercante» qui permet la jonction entre la rue de la République et la rue du président Edooard Herriot. La spécialité du passage: les chapeaux.