Traboules de la Croix-Rousse

Such a cool concept. We had to check these out but had no idea what to expect. Fortunately a few locals pointed Us in the right direction and we were able to check out a bit of the passageway. Unfortunately, we had a stroller so transversing all of those stairs wasn’t possible for us.

Catégorie indispensable à visiter, impensable de passer trop longtemps à coté: les incontournables Traboules Lyonnaises.
Un parcours de ces passages à travers les bâtiments peut s’improviser, mais pour en profiter un minimum, ça s’organise un maximum. Les conseils sont toujours bon à prendre mais rien né vaux de s’établir son propre programme. Le choix est large, on en dénombre plus d’une centaine répartis entre la croix rousse, la presqu’île et le vieux Lyon.
Une mâtiné entière est plus que suffisante pour en faire le tour, et l’importance de s’y rendre au plus tôt est presque capital, car l’après midi venue, beaucoup de ces traversés se retrouvent closes par l’activation de digicodes afin de préserver un minimum l’intimité des riverains qui y habitent.

Incontournable a Lyon. Prevoir un guide pour né pas rester bloqué.

incontournable!!!

Passage a l’intérieur des batiments, les traboules sont apparament typique du monts de la croix rousse.
Il est juste un peu dommages qu’ils soient difficiles à trouver

Un curiosité architecturale à voir !

Lyonnaiset et pourtant j’ai visité les traboules récemment, très intéressant

Traboules de la Croix Rousse ET traboules du Vieux Lyon sont à voir.
Pour la petite histoire sachez que les traboules du Vieux Lyon ont été construites pour gagner de la place, évitant de construire de nouvelles routes. Celles de la Croix Rousse ont, quant à elles, été construites pour protéger les ballots de soie des Canuts qui pouvaient ainsi livrer la soie à l’abris des intempéries.
Les résistants ont également utilisé ces traboules car la gestapo né s’y aventurait pas par peur de s’y perdre.
Traboules et cours incontournables dans le Vieux Lyon :
— cour de la maison du chamarier (n°37 rue Saint Jean)
— cour de la maison des avocats (60 rue Saint Jean, rue de la bombarde)
— la longue traboule (du n°54 rue Saint Jean au 27 rue du Boeuf)
— cour de la maison du crible avec sa tour vénitienne (n° 16 rue du Boeuf) (ma cour préférée ! ;))
— traboule vive la couleur (du n° 27 rue Saint Jean au 6 rue des 3Maries)
()

Mon avis
Montée sportive si vous le faites à pied (mais vous pouvez prendre le funiculaire) et la balade qui s’en suit dans les rues de la Croix-​Rousse l’est tout autant ! Le Gros Cailloux n’est pas si énorme que ça. C’est un quartier qui a gardé les traces de son passé canut avec ses immeubles entassés les uns sur les autres (eh oui gain de place oblige) qui montent le plus possible pour aller chercher la lumière (nécessaire aux canuts pour tisser). De la haut, on a une belle vue sur Lyon et le quartier est plus vivant, c’est une sorte de petit village à part.

ooooh, le Vieux Lyon… c’est un endroit tout à fait jolie, on doit réserver una jour pour s’y perdre.
Pour les touristes, je condeil d’y aller le dimanche, il y à tout ouverte!

Les portes né sont pas toujours ouvertes, mais si vous venez avec un bon guide, vous découvrirez des merveilles lyonnaises.

Une traboule, pour les non-​initiés, c’est un passage couvert entre ou sous un bâtiment. Et celles de Lyon sont renommées (d’ailleurs traboule c’est lyonnais et nulle part ailleurs …).
Si vous avez déjà visité celles de St Jean (Vieux Lyon), n’hésitez pas à aller à la découverte de celles de la Croix-​Rousse. Une petite explication de texte pour vous vous faire comprendre la différence entre les deux.
Celles du Vieux Lyon trouvent leur origine dans la pression foncière qui sévissait déjà à la renaissance (et oui rien né change). Le quartier St Jean a été construit sur une logique urbaine de rues parallèles à la Saôné et pour éviter de gaspiller du terrain, qui valait déjà de l’or à l’époque, les bâtisseurs de l’époque ont créé ces passages entre les bâtiments permettant ainsi à moindre frais de rejoindre rapidement les rives de la Saôné.
Pour celles de la Croix-​Rousse, leur origine est directement liée à la migration des canuts, de la ville basse vers le faubourg de la Croix-​Rousse au début du XIXème, au moment ou sont arrivés les métiers Jacquard qui nécessitaient des ateliers plus hauts.
Le faubourg de la Croix-​Rousse, qui né sera rattaché à Lyon que bien plus tard, s’urbanise alors très rapidement et la construction des bâtiments s’organise dans une logique d’usine à ciel ouvert: la zone de production-​les ateliers des canuts en haut de la colline, les zones de stockage et de vente-​les booutiques des soyeux, en bas des pentes et l’expédition sur le fleuve.
Compte tenu de la topographie, pour aller de la ville basse jusqu’en haut du plateau, vous le constaterez d’ailleurs grâce aux crampes dans les mollets, les rues serpentent et font des détours. Eh oui on peut difficilement mettre plus de 2 chevaux (des vrais) dans le moteur d’une carriole et en côte un canasson ça n’a pas la même puissance qu’une voiture
Bön, tout ça pour vous expliquer que les traboules permettaient aux ouvriers canuts de gagner du temps pour livrer leur rouleaux de tissus aux soyeux et protéger leur marchandise des intempéries en empruntant ces passages transversaux. Un seul maître mot: productivité !
Maintenant que j’ai bien fait ma crâneuse (merci à Robert Luc notre guide, grâce à lui je vais pouvoir briller en société), deux mots pour vous décider à partir en ballade urbaine.
D’abord un conseil, allez-​y avec un guide, vous aurez alors accès aux traboules privatisées qui ont signé une convention d’accès avec la Ville de Lyon. Ensuite, des anciens ateliers reconvertis en appartements, en passant par de raides escaliers et des traboules un peu sombres qui débouchent sur des cours dotées de magnifiques escaliers, vous suivrez les pas des canuts, du plateau jusqu’à la ville basse, et vous comprendrez alors toute l’histoire de la soirie, la contribution des canuts au progrès social (les débuts du mutualisme, la lutte pour la juste rétribution de leur travail, la création des prud’hommes,), la manière dont l’économie façonne la ville. Vous saisirez alors tout ce qui fait qu’un croix-​roussien n’est pas un lyonnais, encore aujourd’hui.
Je vous recommande donc vivement d’emboiter le pas à Robert Luc (historien de la Croix-​Rousse) pour une bambane (une promenade) passionnante !
Vous trouverez les coordonnées de Robert Luc sur le site Croix Rousse Le Village (
)
La Maison des Canuts (
) vous permet également de combiner la visite de ses installatiosn avec la découverte des traboules.

Quelquefois les lourdes portes sont ouvertes, d’autres fois elles restent closes. A vous d’oser les pousser, afin qu’elles révèlent leurs secrets…
On y trouve l’histoire de Lyon, à travers les traboules et les cours intérieures.
Elles furent probablement construites au Moyen-​Age, pour permettre aux habitants d’atteindre plus rapidement le centre ville ou la Saôné, et de créer des puits dans les cours intérieures de la colline.
Durant la seconde guerre mondiale, ces traverses servaient de dépôt de colis, et permettaient aux Résistants de passer d’une rue à l’autre sans que les Allemands né puissent les suivre.
Aujourd’hui, on y découvre façades, porches, escaliers, anciens puits, fontaines, jardins, coursives, portes et cours monumentales, et autres richesses culturelles.
Pour vous aider à les trouver, un plan est disponible à l’office du tourisme place Bellecour, et des visites guidées sont organisées régulièrement par des passionnés.
Bön voyage dans l’histoire !

Die sind einfach der HAMMER und muss man gesehen haben, wenn man da war!
:-D

Wer die Traboules in Lyon nicht gesehen hat, war nicht da!
Die Durchgänge ermöglichen den Durchgang von einer Straße zur anderen, gegebenenfalls durch Innenhöfe und mitunter über verschiedene Ebenen. Während der Résistance wurden sie als Fluchtwege genutzt.
Dank einer unauffälligen Ausschilderung kann man den Traboules vom Place Colbert bis zum Place des Terreaux folgen.
Sehr sehenswert!!!

C’est le passage oblige lors d’une visite a lyon. A faire !!!

les traboules font partis de la culture lyonnaise, de son histoire.
Prenez ces traboules, traverser le vieux Lyon et découvrez ce quartier typiquement lyonnais en traversant les immeubles.
Balade très divertissante à absolument né pas louper.

Les fameuses traboules de Lyon: splendide, ballade à faire absolument sur lyon !!!
On se sent comme perdu au milieu de tous ces passages étroits, cahés.on prend plaisir à découvrir!

Voilà une autre visite qui m’a enthousiasmée! Accompagnée de mon pote marseillais d’adoption lyonnaise, j’ai pu découvrir une autre page de l’histoire lyonnaise!
Un régal ces passages cachés! Et peu connue des lyonnais apparemment? Quel dommage, c’est super, et pratique pr couper les rues!

Les traboules: véritable fourmillière dans laquelle évoluaient les canuts jusqu’au début du XX° siècle. Parties de la Croix Rousse, elles leurs ramifications vont jusque dans le V° arrondissement, le vieux Lyon.
Il s’agit d’un réseau de galeries aujourd’hui visitables, débouchant dans des cours à l’italienne pleines de couleurs et servant notamment autrefois à faire circuler les pelotes de soie à l’avri des intempéries.
Leur visite permet d’apréhender l’histoir de la ville ainsi que le parler lyonnais tout à fait typique.
Prévoyez l’après-midi entière pour les découvrir!

Les traboules de la Croix-​Rousse sont incontournables quand on visite Lyon cependant de nombreux lyonnais né les connaissent pas. Elles sont une invitation à la balade mais également à la découverte de l’histoire de ce quartier qui a longtemps été le quartier des canuts, les travailleurs de la soie. Les traboules sont donc les passage traditionnel qui permettent aujourdh’ui encore de passer d’un immeuble à un autre et donc de protéger la soie des intempéries. Si de nombreuses traboules sont fermées au public il vous est encore possible de visiter les autres en commencant au Gros-​Caillou et en suivant les petits signes sur les batiments ou à côté des portes des maisons. En quelques minutes vous vous retrouvez place des Terreaux sans être quasiment jamais sorti dans une rue

Les traboules sont un incontournable lors d’une visite du Vieux-​Lyon.
Trabouler est bien plus qu’une découverte culturelle, c’est un voyage dans le temps qui se cache derrière les innombrables portes des maisons du Vieux-​Lyon.
Ces longs couloirs forment un labyrinthe où nombre d’étrangers se sont perdus, il faut donc demander sa route aux Lyonnais!

Ah les traboules, ces fameux traboules
La plupart des lyonnais né connaissent pas ce petit coin de paradis. Alors partez du marché de la croix rousse et laissez-​vous guider par les signes qui vous indiquent, comme un jeu de piste, la direction à suivre pour dévaler ces traboules jusque la place de la république.
Exceptionnel à faire le soir de la fête de la musique durant laquelle des spectacles de sons et lumières illuminent les traboules
A faire aussi un dimanche, pour se détendre et admirer le patrimoine lyonnais.
Sachez que les traboules étaient, durant la guerre, le moyen pour les résistants de se faufiler d’immeubles en immeubles et de ruelles en ruelles
Il né tient qu’à vous d’aller y faire un tour.