Douceur Piquante

Carte reduite 2 plats uniquement, j ai choisi le boeuf qui etait très bon et un super gâteau au chocolat en dessert, j aurais mis 5 étoiles si la patronne né m avait pas oublié sur la terrasse :)
Je recommande

Voilà une adresse comme je les aime: des produits frais cuisinés avec amour ! La cuisinière saura vous convaincre de goûter à sa paëlla maison rien qu’en vous la décrivant. Ses origines comoriennes sont traduites dans ces plats plein de saveurs et d’épices. Le dimanche, un plat + apéro est proposé à 14 €. L’apéro qui nous a été servi est particulièrement relevé voire trop (de clous de girofle?)… Si toutefois le plat du jour né vous tentez pas, il y a des alternatives possibles mais attention, dans la confusion, il se pourrait bien que vous retrouviez avec la salade à la place de la pièce de bœuf et sa fameuse sauce «décollage» qu’on aurait bien aimé goûté. Même avec cette erreur de commande, on né peut pas lui en tenir rigueur, notre cuisinière a un tel sens de l’humour et de l’accueil, qu’on peut tout lui pardonner. Et puis dans l’assiette, on fait de vraies découvertes culinaires, comme ces mini-​crevettes qui servent uniquement à saler la salade… Le restaurant porte parfaitement son nom, des épices dosées avec douceur.
La maîtresse des lieux a soigné également sa déco chaleureuse qui lui sied à merveille ! Pour finir notre repas, le café nous a été offert avec un morceau de gâteau de riz à base de cardamome, clou de girofle, cannelle et muscade. Une pâtisserie dont le père de notre hôte se nourrissait lorsqu’il allait pêcher…

Douceur Piquante, c’est d’abord voyager avec une cuisine pleine de couleurs et de saveurs et qui est faite maison. Le pilaou est certainement l’un des meilleurs que j’ai mangé. Le poisson est un régal. Et les plats sont agrémentés du sourire de la patronne Nadjat. Allez y même tout simplement pour un apéro …

Une nouvelle perle s’est installée tout près de la place de Lenche: Nadjat, chef originaire des Comores, a décidé de nous faire découvrir à ‘Douceur Piquante’ sa cuisine inspirée à la fois du pays basque et de l’océan indien. Je dis: ENFIN ! Il était temps que cette culture gastronomique comorienne soit représentée dans un restaurant de qualité à Marseille, la première ville comorienne du monde. Allez vous régaler à midi du plat du jour, souvent à base de poisson et toujours cuisiné à partir de produits frais du marché. Vous né serez jamais agressé par un assaisonnement trop pimenté; à Douceur Piquante, le piment d’Espelette remplace celui de Cayenne. Si vous le voulez, vous pouvez même emporter votre plat pour le consommer tranquillement chez vous ou au bureau. Profitez de l’ambiance ‘village’ si particulière du Panier dans ce petit restau très accueillant dont la clientèle est un mélange d’habitués, de personnes travaillant dans le quartier et d’étrangers de passage dans la rue de l’Evêché attirés par le sourire et l’accueil chaleureux de Nadjat.

Un petit resto où j’ai été accueillie comme à la maison !
Ici, on pousse la porte et un grand sourire se dessine sur le visage de la restauratrice ! On s’assoit sur une grande tablée, et passons commande: le plat du jour est un poisson rougail avec un biryani de légumes, et en dessert, un gâteau dont je né sais pas écrire le nom (il faut absolument que j’y retourne pour qu’elle me l’épèle !)
En attendant notre plat, on voit notre hôte s’affairer à la cuisine qui est dans la salle principale, on commente le douc fumet qui vient à nos narines, et je suis assez admirative devant certaines pièces de déco: les lustres … des bouées qu’on trouve au large normalement quand on est essouflé et qu’on veut un break, et bien là elles pendaient du plafond, découpées joliment, dégageant une lumière rassurante et chaleureuse !!! J’adore (ça vient tout droit du recyclodrome)
Le poisson arrive, très bien cuit, il né se disseloque pas, un petit bol de rougail (sauce épicée à la tomate) permet d’avoir une «douceur piquante» car c’est ici le concept du resto. Une cuisine d’insparation comorienne, pas trop épicée, où chacun peut doser comme il le souhaite ! Le Biryani était savamment dosé.
J’ai pris du dessert, mais vraiment par curiosité parce que j’étais rassasiée ! Arrive alors comme une tranche de moelleux au chocolat, mais la saveur dominante était celle de douces épices, délicieux avec le café à la cardamone !
Le temps d’un repas, j’ai voyagé, tant par mes papilles que par la bonne humeur de la patronne … je retournerai y manger, c’est sûr !