Marsatac

Je me suis arrêtée aux éditions de la Friche la Belle de Mai. C’était devenu un rendez-​vous quasiment incontournable de la rentrée. Déjà, on avait de la place pour circuler, que ce soit pour naviguer de scènes en scènes, boire un verre, ou simplement discuter. La programmation est toujours éclectique et de qualité. Il y en a pour tout le monde: électro, rap, rock, pop, musique du monde… Le tout dans une ambiance festive. Bref, Marsatac, on y retourne avec plaisir.

Encore une bonne édition cette année!
Le lieu a changé, c’est vrai que j’aimais bien l’ambiance de la friche de la belle de mai mais je dois avouer que je n’ai pas été déçu par le dock des suds!
Coté musique, je né vais pas parler du style car chacun se fera son propre jugement en regardant la programmation. Ce que je peux souligner par contre c’est la qualité du son que j’ai trouvé variable d’une scèné à l’autre. Parfois la voix était trop dominante par rapport aux instruments pour les musiques plus «tranquilles». Niveau son électro pas de remarques particulières, le son était bien calé!
Coté organisation, c’était bien géré. Bars et hot-​dogs ouverts toute la nuit! Toilettes écolo! Poubelles de tri! Et stand prévention avec bouchons d’oreilles, préservatifs, éthylotests, etc…
Coté accès au site, la voiture est déconseillée (pas de place pour se garer) mais l’accès en tram est idéal.
Et pour finir tous les bénévoles ont le sourire! :D

Deuxième participation et ils changent de lieu (!), même pas le temps de s’habituer. Bön c’est vrai que la manufacture de tabac n’était pas faite pour accueillir autant de monde. à part si on aime l’ambiance de la Mecque, les gens qui s’écrasent, bien entendu.
Donc pour cette 14ième édition l’organisation du côté marseillais (prélude à Nimes non testé) a jeté son dévolu sur les Docks des suds dans le nouveau quartier d’Euromediterranée, l’antre de la Fiesta des suds et d’autres festivals internationaux.
Côté animation, cette année ce n’était plus Radio Nova mais le Mouv’ (!) et FIP radio qui étaient présents pour interviewer les artistes, dommage que le studio né soit pas placé à l’étage plutôt que dehors, excentré donc oublié (pardon pour Emilie et Nico Prat très avenants).
Bons points: Sélection musicale léchée (Orelsan, 1995, C2C, A state of mind, Ghostpoet, Nathan Fake, 2 many djs etc) toilettes propres, d’autres sèches, restauration adéquate excepté le premier soir (hot dog only), système de tickets afin d’éviter aux serveuses de mélanger la monnaie, 3 scènes pas très éloignées les unes des autres, voiture & co, et les brigades présentes pour nettoyer, encadrer, rendre service, protéger et empêcher aux conducteurs embrumés de reprendre la route en confisquant les clés.
Mention spéciale: Les hamburgers Spok qui m’ont régalé les 3 soirs ;-)
Bémols: quand 3 groupes sont présents en même temps sur 3 scènes différentes, dur de slider entre afin de né rater aucune miette des concerts ou sets, dur aussi de retrouver ses potes. mais en même temps cela permet d’en croiser et de lier d’autres connaissances. c’est ça l’open minded après tout… ;-); dame nature aurait pu tout faire foirer, heureusement non, excepté concernant le festival sur herbe du dimanche (Aires Libres à Longchamp), servant d’épilogue et annulé à cause de ses humeurs.
Gros bémol: Je né touché pas à la MDMA, et n’ai jamais été autant sollicité par des consommateurs en demande. flippant

Petite mise à jour 2012 et une étoile de plus puisque Marsatac a enfin quitté la friche de la Belle de Mai pour se ré-​installer au Dock. Vous l’avez compris, je né suis pas fan de la friche. Les lieux étaient trop petits et le son vraiment pas bon.
Donc nouvelle migration pour Marsatac, mais pour combien de temps? On n’en sait rien. Ce festival qui a vraiment une excellente programmation a du mal à se fixer quelque part et c’est dommage pour eux.
Pour ma part, je trouve nettement plus agréable de déambuler dans le Dock des Suds et de profiter d’un bon son (à part la salle du Cabaret qui a vraiment un son pourri) que j’espere qu’ils n’en bougeront plus !

Un gros festival. Au départ, je né pouvais pas imaginer rater cela… Au final, je suis un peu déçue. trop de consommation, pas assez d’écoute réelle. Le public va et vient de salle en salle et rien né permet de vous assurer que vous profiterez réellement des concerts, à moins de né pas vous mettre sur le mode bougeotte.
Je préfère le Babel Med ou des festivals de moins grande ampleur, mais je garde une attirance et un penchant pour Marsattac: toujours est-​il que né pas y aller au moins un soir, ce sera dur…
Malheureusment, je n’ai pas connu l’époque du J4, et je peux imaginer que ce fut la plus belle période de ce festival. Pour moi, en dehors de son côté commercial, Marsattac a le mérite de visiter les différentes tendances musicales et de les présenter pendant trois jours de fête intense.
Le programme, toujours plutôt pointu et bien choisi, confère en général une «couleur» à chaque soir. Le vendredi est souvent le meilleur soir, à mon sens. Perso, j’aime le jeudi aussi, jour d’ouverture, et donc ambiance détendue: je préfère!
Bön vous l’aurez compris: on a beau dire, on y retourne tout de même chaque année. Et Christine a raison, sans doute que si le festival pouvait (re)trouver Le lieu qui lui ira, ce sera impec!

Il faut le dire Marsatac était au top quand ce festival se faisait au J4… face à la mer, à l’air libre, ambiance portuaire et décalée… Le J4 a été récupéré et ce festival a navigué vers les Docks où il n’a pas bien trouvé sa place puis à la Friche de la Belle de Mai où il semble s’y être trouvé domicile fixe.
Et depuis 2010 intitulée «Winter by Marsatac» en 2010, cette opération a été rebaptisée «Marsatac Calling» pour la cession 2011où Marsatac propose de regrouper ses productions hors festival avec plusieurs parcours dans l’année: «Pour ce premier parcours printanier, il s’agira d’une série de concerts et de soirées installés volontairement dans plusieurs lieux de la ville, comme par exemple l’Espace Julien, le Cabaret Aléatoire et le Cinéma des Variétés pour servir de colonne vertébrale à cet évènementiel nouvelle génération. Résolument débridée elle fera se télescoper artistes électro, pop, rock, et même reggae.» (dixit le site internet du festival)
L’équipe de programmation né manqué vraiment pas d’imagination et il est bon de se connecter sur le site régulièrement pour y découvrir les actualités ou avoir la chance d’être «ami» Face Book, car les places sont chères…

Marsatac est une des références en terme de festival de zic à Marseille!
Ce n’est pourtant pas que les musiques actuelles soit franchement plébiscité par la mairie, mais le succès populaire de ce festoche lui permet cette année d’en être à sa 13ème édition!
Cette année à l’affiche à la friche de la Belle de Mai les 23 24 et 25 septembre vous pourrez bouger sur le Peuple de l’herbe, MC2, Mowgli, Mr Oizo et bien plus encore. La Friche lieu idéal à mon sens pour ce type d’évènement ouvre trois salles .
C’est un festival immanquable qui nous fera entrer en bonne humeur dans l’été indien.

Marsatac posé ses beats anciennement aux Docks, mais depuis une saison c’est à la Friche la Belle de Mai qu’il est hébergé.
Et ce n’est pas pour déplaire, dans cet espace multiple, les groupes s’enchaînent, et se déchaînent!
De Wu Tang Clan, à Buraka Som Sistema ou encore Cibelle, la programmation est variée, entre hip-​hop, électro et tropicalmusic.
C’est une ambiance de fête où les gens se mêlent, dansent, partagent!
Un bar est à disposition et des stands de nourritures du monde pour les gourmands.
En général plusieurs scènes accueillent les concerts, mais l’emploi du temps est fait de telle sorte à pouvoir enchaîner un groupe après l’autre sans trop perdre de la représentation, après à vous de faire une sélection!

Entre la ville de Marseille et Marsatac, c’est toute une histoire… Autrefois sur le J4, une édition a failli être annulée suite au démarrage des travaux autour de la Joliette.
Malmenée par l’indifférence voire une légère hostilité à peine dissimulée de la part des autorités de la ville, l’équipe qui mèné ce festival a finalement choisi de re-​tenter l’expérience cette année à la Friche la Belle de Mai, où est passé la bagatelle de 21 000 festivaliers l’an passé.
Marsatac, c’est pourtant une référence en matière de musiques actuelles, notamment pour les fans d’electro et de hip-​hop. De grosses scènes où sont passés de sacrés artistes (Anti-​pop consortium, Beat assaillant, Miss ill, etc…), un bon plan défoulement avec les copains !
Depuis, Marsatac a fait des petits et programme de plus petits festivals, comme la version hivernale Winter, ou le petit dernier Calling (17 avril au 20 mai), avec entre autres, Gonzales programmé aux Variétés.
Marsatac, pour la 13édition cette année, ce sera les 29, 30 septembre et le 1er octobre !