Cette bibliothèque donne envie d’habiter dans le quartier ! Situé au 4ème étage, elle jouit d’une jolie vue sur la place d’en bas ou des toits de Paris. Des fauteuils moelleux juste devant les fenêtres vous tendent les bras pour que vous vous y installiez, après avoir récupéré un des nombreux livres aux alentours. Pour travailler, c’est également très bien car les tables sont grandes et il y a un beau silence, la partie jeunesse étant à l’étage du dessous. D’après une feuille affichée, on peut emprunter 20 documents en même temps de n’importe quel support(il y avait pas mal de DVD), ce qui est très appréciable ! Un coup de cœur que cette bibliothèque municipale, parfaite à tous les points de vue !
Bernie H.
Rating des Ortes: 5 Paris
Située au dessus de la mairie du 2ème, cette bibliothèque bien que petite, est chaleureuse et idéale aussi bien pour travailler que pour lire au calme. Les bibliothécaires sont gentils et disponibles. En période de révisions c’est-à-dire à l’approche du Bac, c’est toujours mieux que Beaubourg ou les très grandes bibliothèques mais ça reste à éviter.
Alexis M.
Rating des Ortes: 3 Paris
L’ancienne bibliothèque Vivienne, remis au goût du jour en 2008 sous le nom de Charlotte Delbo, se niche entre les métro Pyramides et Bourse pour le plus grand plaisir des lecteurs du quartier. On peut trouver dans ce temple de la lecture de quoi contenter les férus des bandes dessinées comme de romans policiers. Le secteur jeunesse est riche comme celui de la fiction et la bibliothèque compte pas moins de 25.000 documents. De quoi avoir à lire tranquillement pour un bon moment…
Bastien B.
Rating des Ortes: 4 Ballancourt-sur-Essonne, Essonne
Nichée dans un immeuble datant de 1780 et ré-ouverte en 2008 après d’importants travaux, la bibliothèque Charlotte Delbo se consacre aujourd’hui à la fiction contemporaine, dans un environnement calme et lumineux. C’est donc un passage et une étape importante pour tous ceux qui ont digéré un certain nombre de classiques, et qui, par voie de nécessité, se penchent sur la production actuelle de ce qui se fait en littérature. Et on en a tous fait l’expérience, se gosser d’adorer Blaise Cendars, c’est bien, mais assez facile. Clamer qu’on aime Jean-Paul Dubois c’est honnête, mais le bonhomme a publié vingt livres. Crier qu’on aime Olivier Adam est plus courageux, même s’il reçoit une exposition médiatique méritée. Alors que vanter les mérite d’un Grégoire Bouillier est plus déterminant, puisqu’il a fallu aller le chercher nous-même. Au fait, sa maison d’édition est Allia.