4 étoiles pour un fast-food ! qui l’eut cru? mais je m’y sens obligée: l’établissement est im-pe-cca-ble ! Les hamburgers enooooormes cuits à la perfection rien à voir avec le bigmac tout mou qui fait pâle figure à côté… Presque meilleurs que les home-made de certains Resto de burgers qui nous les font payer 12 à 15 € l’assiette… Les frites aussi sont grosses du coup bien moins grasses que les«allumettes» des fastfood concurrents Les jeux pour les enfants sont modernes: des tapis de sol et tables digitaux Bravo Et bon appétit!
Mathilde E.
Rating des Ortes: 5 Allaire, Morbihan
Très bon faut food ! J’y suis allé en plein rush et je n’ai pas attendu si longtemps que ça ! La viande était bien cuite, les frites aussi. L’endroit est agréable et aéré. Bref, je recommande si vous voulez un bon faut fois !
Romain B.
Rating des Ortes: 3 Villeurbanne
Bön, Burger King ça reste du fast-food américain, si jamais il fallait le rappeler, oui c’est industriel avec du steak trop cuit et plein d’arômes. Mais bon autant je suis un fin gastronome autant une petite malbouffe de temps en temps j’adore! J’ai donc décidé de faire une petite pause par ce bk pour tester le nouveau«long Chili» ben c’était pas mal. Bön goût de piment, taille très correcte… Pour le reste, restaurant bien tenu, les tables étaient nettoyées et le sol propre, commande en borne suivi de récupération en quelques minutes, avec le sourire. Bref, ça a beau être de la malbouffe je valide :)
Marine G.
Rating des Ortes: 5 Lille
A chaque fois que j’allais à l’étranger, j’exigeais qu’on fasse notre pèlerinage chez Burger King au moins une fois. J’appréciais énormément, mais je pense que c’était surtout pour le contexte: en famille, en vacances, à l’étranger, des onion rings(une bien belle combo). Et puis, ENFIN, Burger King s’est implanté en France. J’ai attendu que la folie des premiers jours cesse(coucou celui de St Lazare qui né désemplissait pas pendant plusieurs mois) pour enfin pouvoir tester. Eh bien c’est trop bon ! Certes ça ressemble beaucoup à McDo. Mais ici la viande est bien grillée, on peut prendre des onion rings et je trouve d’une manière générale que c’est quand même meilleur ! Bref, j’aime le gras, j’aime les fast-foods industriels à l’américaine et j’aime les onion rings !
Michaël P.
Rating des Ortes: 2 Paris
Eh bien voilà, j’ai fini par le tester le Burger King dont on nous rabat les oreilles. Je m’en doutais, rien que du très classique pour un fast-food. Déjà, beaucoup de monde(pas d’attente à l’extérieur cependant pour moi), on commande dans un environnement bruyant, on monte dans la salle plutôt moderne(ça reste une déco de fast-food, mais correcte et sans mauvais goût) et propre en apparence, on se jette promptement sur une place qui se libère en choisissant judicieusement un bout de banquette sans frite, puis on s’en met plein les doigts en dégustant le fameux Whoppie. C’est un burger type McDo avec de la viande davantage grillée(mais toujours aussi fine) et des oignons. Rien d’incroyable, ça né respire pas la qualité. Les onion rings sont corrects et les frites aussi mais ça reste de l’industriel. Bref, le buzz satisfera les personnes en quête de reconnaissance sociale(le phénomèné «j’y ai été») sans exigence en critère de qualité.
Pierre N.
Rating des Ortes: 3 Paris
J’ai attendu que le buzz soit passé pour tester(sinon pendant le premier mois, il y avait une longue file d’attente dans la rue avec un vigile qui filtrait à l’entrée). Pour les personnes pressées, il y a 3 bornes automatiques pour commander et payer par carte bleue. Je vous conseille: le service est alors très rapide. La commande est à peine payée sur la borne que la commande est presque déjà prête, en tout cas le soir. Je n’ai pas encore essayé de burgers dans des vrais bistros donc je né peux comparer mais par rapport aux chaînes concurrentes McDonald’s et Quick, c’est bien meilleur: le pain est meilleur et les tranches de boeuf sont plus généreuses.
Adélaïde B.
Rating des Ortes: 2 Lyon
Après une semaine à Paris, on s’était dit qu’on se ferait un burger king avant de rentrer à Lyon, histoire de tester et de manger avant de prendre le train. Une amie nous signale que Saint Lazare n’a pas le monopole et qu’il en existe un autre non loin de chez elle. C’est parfait, ça nous évite un détour. Arrivés devant, j’ai eu la désagréable surprise de voir une(petite) file d’attente, gérée par un vigile. En jetant un oeil à l’intérieur, j’ai pu réaliser le leurre ! Il semblerait qu’ils fassent de la sur-régulation de la file, puisqu’on avait largement la place de rentrer pour attendre à l’intérieur… Mais en laissant des gens attendre aussi dehors, ça donne une illusion de nombre plus importante et ça fait buzzer, ce qui cherche apparemment la marque pour son grand retour en France Je dois dire que j’ai détesté me sentir utiliser comme outil markéting de la marque, surtout en devant rester dehors dans le froid pour nourrir leur dessin commercial ! le restaurant en lui même a une entrée assez spacieuse, pas mal de caisses, des bornes de commandes rapides et un étage. Comme on était chargés, je n’ai pas pris la peine d’aller à l’étage. Assez confortablement installée, j’ai enfin pu tester ce fameux Whopper, dont on me rabat les oreilles depuis tant d’années. Et forcément j’ai été déçue ! Faut dire qu’à force ce sandwich était devenu un mythe et le retour au réel était sympa mais sans plus. C’est comme si on m’avait promis une licorne et qu’on me présente un poney blanc avec un rouleau de sopalin peint et collé sur le front… Faut dire que question burger, je suis désormais plus habituée aux restos de burger qu’aux chaînes de fast food donc évidemment, ça n’aide pas ! Le Whopper est sympa, le steak semble un peu plus grand mais je n’ai pas vraiment apprécié la sauce. Le truc que j’ai trouvé vraiment cool par contre, c’est qu’en plus des frites et des potatoes, des oignons rings sont également proposés comme accompagnement au burger ! Et ils étaient plutôt bons. En conclusion, je note le retour de Burger King en France et ce nouveau choix dans le monde du fast food mais je né vais pas me ruer dans leurs deux nouvelles enseignes lyonnaises pour autant.
Wilhelm R.
Rating des Ortes: 1 Paris
Much ado about nothing. Gros travail de teasing cet été, via Twitter et les réseaux sociaux. Vrai-fausse ouverture ce vendredi 17 octobre, à grands demi-coups de com’ via la toile. Du boulot propre, et industriel, à l’image de la nourriture servie… Bref, le retour du machin en France, paraît-il tant attendu. Après Saint-Lazare. Pourquoi cracher sur le roi autoproclamé du burger? Parce que la nourriture industrielle et standardisée d’une chaîné aura toujours la même absence de goût que la nourriture industrielle et standardisée du reste de ladite chaîné. Ce truc — supposé être le fer de lance de l’enseigne en France anglo-américanisée — fera un beau triplé avec le Mark et Spencer — des aliments pour Anglais — et le Bouquet d’Alésia, mauvaise usine à cash où la pinte de Picon dépassé allégrement les 10 euros. Pour les puristes, quelques affaires de bouches et troquets ressemblant à des troquets sont planqués dans les petites rues adjacentes. Bref, un assassinat de plus dans le quartier, avec la destruction entamée du Gaumont Alésia et de l’ancienne gare de Montrouge. Goûter du jour: cheeseburger anémié(deux couches de gluten, une de minerai de viande, avec du du pseudo-fromage pasteurisé, une tranche de cornichon), frites et mayo industrielles. 3,5 balles, merci. Peu de monde en journée, queue artificielle organisée à l’extérieur, à midi et en soirée. En bonus, étaient proposés de mirifiques contrats de travail de 24 heures hebdomadaires — soit le minimum légal dans la restauration, réservés aux demandeurs d’emploi. Pas de petits profits: pourquoi enfiler un chômeur avec un SMIC, alors qu’on peut le faire avec un temps partiel?