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Julie, 25 ans, une maitrise de Lettres Modernes, né veut pas être prof. Veut être journaliste.
Tiphaine, 32 ans, avocate en droit des affaires, veut se reconvertir. Veut être journaliste.
Félix, 18 ans, vient de passer son bac. Veut être journaliste.
Ludovic, 29 ans, ex-​rugbyman semi-​pro. Veut être journaliste.
La solution pour tous ces profils aussi différents les uns que les autres? Le CFPJ. Branche professionnelle de la réputée école du CFJ (Centre de formation des journalistes), le CFPJ présente de nombreux avantages.
1. Est reconnu par la profession.
2. Offre à ceux qui s’y inscrivent une formation de deux ans en alternance, au rythme de deux semaines en école tous les deux mois. Le reste étant en entreprise, cela garantit une jolie expérience professionnelle. Reconnue aussi par la profession.
3. Les cours sont assurés par de vrais professionnels. Les tuteurs mais aussi les intervenants réguliers au cours de la formation.
3. De nombreuses formations justement. Qui coûtent en général très chères: photo, photoshop, X-​press, In Design…
4. Les apprentis journalistes y tissent leur réseau et surtout, ici, naissent de réelles amitiés (Ma meilleure amie Anne, rencontrée au CFPJ).
5. Les deux années se concluent par un oral débouchant sur un diplome.
6. Les jounalistes stagiaires du CFPJ ont droit à la carte de presse dès leur troisième mois dans l’entreprise.
7. Etre rémunéré pendant sa formation à hauteur de 60 à 100% du smic selon les âges.
Pour pouvoir prétendre au CFJP, il faut :
–trouver une entreprise qui accepte de vous employer pendant deux ans en contrat de pro.
–passer le concours d’entrée (une formalité)
–s’assurer le financement par un organisme type Médiafor.
–Contacter Bernadette Lescure :
Mon expérience: Près de trois ans après la fin de la formation, mes collègues et moi travaillons toujours en tant que journalistes, avec évidemment beaucoup de pigistes. Un bilan plutôt satsifaisant, donc.