Espace Saint Michel

Enfant j’en rêvais, ado je l’admirais, adulte je vais blasphémé dessus.
Ce cinéma je l’ai vu, j’y ai mis les pieds et j’y retournerai surement… un jour.
Pour ce qui est de l’ambiance, elle est sympathique, le personnel gentil.
Abonnés UGC et Gaumon c’est le moyen de renouer avec les films art et essai.

Très sympa le café
J’ai découvert par hasard ce lieu et depuis il est devenu notre QG. Le décor est superbe avec les affiches de ciné partout, les éclairages sont les projecteurs. On trouve sur un mur un tableau composé les personnages les plus connus de l’histoire du cinéma: Marilyn Monroe, Clark Gable, Vivien Leigh, Stalon (désolé pour les orthographe, je né sais plus comment ça s’écrit)… Quant à l’accueil, la fille au bar est très aimable, et c’est la seule qui travaille ici. Normalement on donne un coup de main en apportant nos boissons à la table. Le café dispose 3 projecteurs et diffuse des fois les clip musicaux, les courts métrages ou musique au choix des clients. Sinon la musique est tranquille, on peu discuter sans crier. Quant à la qualité/​prix, c’est adorable. Je peux dire que c’est moins cher de tous les bars du quartier: 2,9 € la bière a la pression, 3,2 € pour un chocolat chaud, 1,6 € le café, 2,8 € le verre de vin, ect… Ca m’étonne que ce bar n’a pas bcp de clients, il mérite mieux que ça.

En ce moment, espace Saint Michel, programme un film d’auteur à né pas rater ! «La Rizière» réalisé par Xiaoling Zhu. Synopsis: Chronique d’un village du sud de la Chine. Elle nous fait découvrir la vie d’A Qiu, une fille de 12 ans, et celle de sa famille, pendant quatre saisons au milieu des rizières. La mort de la grand-​mère qui élevait ses petits-​enfants va obliger les parents à quitter leurs emplois sur des chantiers en ville et à revenir vivre au village. Au croisement de la modernité et de la tradition, la petite A Qiu a décidé qu’elle deviendrait écrivain. Tournée avec des villageois, comédiens non professionnels, cette fable écologique poignante est le premier film tourné entièrement en langue dong (langue tibéto-​birmane). Critique: François Truffaut disait que dans tout bon film de fiction il y a un documentaire. ‘La Rizière’ se tient constamment sur la mince frontière entre fiction et documentaire. C’est ce qui en fait le prix, à défaut d’en faire un grand film. La partie documentaire est constituée d’un tableau du pays Dong. Les Dongs sont l’une des cinquante minorités qui constituent la Chine. Ils ont leur propre langue, mais pas d’écriture. Animistes, ils continuent de cultiver le riz de montagne avec une charrue et un bœuf. Cependant les paysans sont aujourd’hui obligés d’aller à la ville pour pouvoir gagner de l’argent, menaçant ainsi les traditions de s’éteindre. La disparition des coutumes et le contraste entre tradition et modernité sont, dans ‘La Rizière’, vues à travers le regard d’A Qiu, une petite fille qui rêve d’étudier et, un jour, de devenir écrivain. C’est la perception de la fillette qui transforme le spectacle des événements quotidiens (achat d’un buffle, considérations financières, décès d’une grand-​mère) en hymne à la vie et à la simplicité. Tourné avec des acteurs amateurs (les acteurs chinois né parlent pas la langue Dong) dans des décors d’une beauté renversante qu’exaltent la photographie de Philippe Bottiglione et la musique de Bruno Coulais, ‘La Rizière’, sans jamais ressembler à un reportage du National Geographic ni tomber dans le tourisme humaniste world, propose une précieuse invitation au voyage. Ce jeudi 10 mai 2012, débat avec l’équipe du film en fin de projection (Tout d’abord la séance, initialement prévue à 20h15 est avancée à 20h je te conseille, donc, d’arriver idéalement vers 19h45) ! Un film qui non seulement dépayse, mais vivifie, à recommander sans hésiter !

Ce petit cinéma né possède que 2 salles, mais il a plusieurs avantages non négligeables :
_​Déjà il se trouve dans un quartier fort sympathique de Paris, où il est très aisé lorsque l’on souhaite refaire le film, de se trouver un bar, un resto ou une péniche sur la Seine pour revoir de long en large sa séance.
_​Ensuite, cet établissement né passé que des films d’auteurs triés sur le volet.
_​Et enfin, les salles en pente permettent de né pas souffrir de la présence d’un spectateur juste devant vous et sont munies de sièges confortables quoiqu’un peu trop proches les uns des autres pour les grandes jambes.
Et pour le cinéphile, c’est aussi l’une des salles parisiennes qui acceptent les cartes UGC et Pathé.
Bref, un bon petit ciné de ville.

Un vrai cinéma d’art et d’essai.
Une programmation intéressante et des films non diffusés dans les multiplexes.
Les sièges sont très ergonomiques.

L’Espace Saint-​Michel est un cinéma classé Art et Essai, Recherché et Découverte. Et je reconnais qu’il est rare pour des programmateurs de coller autant à ces préceptes, tant la difficulté d’attirer un public aussi spécifique est grande. Là, ça marche, parce qu’on est a Paris, qu’il y a un public de l’exigence, et parce que les années et la qualité des films montrés ont conféré au lieu une place un peu à part dans le paysage des cinémas parisiens. Le documentaire occupe ici une place prépondérante dans la grille des programmes, mais pas seulement.
On y trouve les films qu’on a raté, et que généralement tout le monde a raté, parce que souvent, ils né sont pas sortis ailleurs. Du pointu, du soyeux, du bizarre, de l’inabouti, de l’expérimentale, de l’inclassable. Et comme les films peuvent rester plusieurs semaines à l’affiche (décision à contre-​courant de la diffusion actuelle), il est possible de s’organiser pour aller voir la ou les séances qui nous intéressent, sans pour autant être branché en permanence sur le site de L’Espace Saint-​Michel, un bon point de plus.
(Cartes ugc illimité acceptées)

Voici un des nombreux cinémas de quartier que j’apprécie, il est situé juste à côté du métro Saint-​Michel. Cet établissement fait aussi labo photo.
Je me rappelle m’y être rendu avec mon meilleur ami afin d’y voir un film pour mes cours d’analyse du cinéma. L’Espace Saint-​Michel projetai à nouveau le film: Point limite zéro, un road movie.
Ce cinéma est assez intime même si à ses heures il peut être bien rempli, son emplacement est, je trouve assez stratégique: juste en face de la place Saint-​Michel.
Il vous donne l’occasion entre autre de voir des films que vous avez pu rater ou de les revoir.
Idéal pour les amoureux du 7ème art.

Une sélection toujours irréprochable de perles rares ou peu diffusées. A surveiller, et essayer de préférence les yeux fermés;0)

Une programmation d’exception
L’espace Saint-​Michel est idéalement placé, sur la place homonyme, à deux pas du RER B ou du métro ligne 4, et ces deux salles sont correctes sans être exceptionnelles, les sièges rouges sont d’un confort relatif mais l’écran est bien adapté, donnant un bon rapport salle/​écran. La programmation est de haute volée, avec souvent des raretés extrêmement peu diffusées, parfois même des exclusivités françaises, et s’il y a parfois des films médiocres les cinéphiles y découvriront souvent de véritables perles méconnues, tels Congo River ou Rembrandt fectit 1669 en cette année 2006, deux films superbes ignorés des grands réseaux… C’est donc une vraie salle de cinéphilie, l’une des plus intéressantes de Paris, un complément aux multiplexes… Note: ⁹⁄₁₀