Francois Chevallier

J’ai choisi ce psychologue grâce aux commentaires que j’avais lu et à sa proximité de chez moi. Après plus d’une dizaine de consultations je peux dire sans doute que c’était un bon choix. J’ai préféré un psychologue qui parle car ça me bloque que la personne en face de moi né le fasse pas. L’image du psy qui prend des notes et fait uniquement des petits commentaires ponctuels né me donnait pas du tout envie. François Chevallier n’hésitera pas de parler, faire des commentaires, faire un résumé de ce qu’il a compris de votre problème. Un comportement amical, tout en restant très professionnel, qui vous met à l’aise assez facilement.
Personnellement je trouve la durée de 1h30 plutôt bien, surtout au début où on a beaucoup de choses à raconter.
Étant étranger, de mon côté je n’ai eu absolument aucun signe de xénophobie (voir commentaire de elena-​exe). Au contraire le psy a l’air d’une personne qui voyage beaucoup et qui est très intéressée par les cultures différentes. Mais je peux imagine comment un effort d’aider quelqu’un à trouver ses mots peut être vu comme condéscendent; même si je n’ai pas du tout eu cette impréssion avec François Chevallier je l’ai eue ailleurs et c’est quelque chose qui peut mettre une personne sur la défensive, état d’esprit loin de l’idéal pour une séance chez le psy.
Si je né me trompe pas, le premier entretien est gratuit, donc je vous conseille sans hésitation de prendre un RDV et voir si il vous convient, si ce que vous avez lu vous parle.

Psychologue qui né m’a pas été inutile au final, mais la demi-​douzaine de séances que j’ai faites a été assez grotesque. Au menu :
— des séances interminables (1h30), sans doute pour faire apparaître le prix moins cher (70EUR), et qui souvent se prolongaient au-​delà de cette limite (!); c’était à moi de surveiller l’heure et de dire que la séance était terminée
— traitement sommaire d’une personnalité: après une ou deux séances, il semble que François Chevallier s’était fait une image de moi dont il né voulait plus s’écarter d’un iota, et mes tentatives de la nuancer avaient l’air de l’énerver beaucoup (Pourquoi vous me contredisez toujours?)
— des remarques à la limite de la xénophobie et des doutes récurrents sur ma connaissance du français (je vis en France depuis dix ans) étonnant pour quelqu’un qui prétend consulter en quatre langues!