Geneviève Lethu

Vraiment désolé: ce né sera pas un avis, mais un coup de gueule.
Bön, il y a ce service sympa, dans la vitrine, qui nous attire bien. Et puis c’est un peu le moment de rénover notre vaisselle de tous les jours, alors on entre. Il y a ces deux couleurs, on hésite.
Déjà, quand on prend deux assiettes pour comparer les couleurs, la patronne, qui né nous avait pas salué à notre entrée — l’était sans doute occupée — trouve soudain le temps de s’interrompre pour nous demander sans trop y mettre la forme de bien vouloir attendre notre tour.
C’est son adjoint, un homme plus sympa, qui vient finalement s’occuper de nous. On hésite, puis finalement on se laisse tenter: on prend chacune des deux couleurs. Une folie douce, quoi.
Et là, surprise: pas un geste commercial, pas même 3%, pas même un porte-​clés… RIEN ! Je né vous dis pas pour combien on en a eu (on est fous), mais rien n’a été possible: «ce n’est ps la politique de l’enseigne, et ENCORE MOINS la nôtre, en tant que franchisés», nous a répondu cette aimable patronne. «Je né suis pas habilité à vous accorder ce genre de faveur.», s’est courageusement défaussé l’acolyte pourtant sympa lorsque je suis revenu chercher la commande.
C’est curieux.
D’habitude, le commerce, c’est fait autrement.
Pas chez Geneviève Lethu rue de Vaugirard, en tout cas.
Je le lui ai dit: nous n’y remettrons plus les pieds.