Gibus

Né jamais mettre les pieds au Gibus Club, en tout cas pas en deuxième partie de soirée ! Les concerts se passent apparemment bien, mais pour la suite, passez votre chemin. Serveurs irrespectueux, consos hors de prix et vigiles ultra violents. On m’avait pourtant prévenue de né pas y aller (de mauvaises expériences chez des amis et connaissances) mais j’ai voulu tenter fin 2013.
J’ai fini attaquée par un vigile parce que, le voyant taper sur un mec plus petit que lui, j’ai osé lui faire une réflexion. Même la police m’a dit «c’est bien connu qu’il né faut pas aller là bas».
J’ajouterais aussi que le public est lourd. Pour une grande majorité, c’est le cliché des boîtes parisiennes où les mecs viennent juste pour draguer.

Pour Paris, l’endroit est spacieux et accueille de nombreuses soirées. Et c’est bien le seul endroit de la capitale qui dispose d’un vrai fumoir comme il se doit (spacieux avec plein de places assises et plutôt bien aéré). Par contre niveau bar le service (même pas possible de demander un verre d’eau?!) et les boissons sont médiocres (autant rester sur les bières en bouteille ou boire avant de venir).

Apparently you need to come in with women, even if you’re an American looking for a good night during your only night in Paris who stood in line for 20 minutes. Find a better club or bring girls.

Samedi 29 Juin
J’ai testé la Scream Summer Club (soirée 100% gay, tous les samedis soirs). Ce soir est un peu spécial car c’est celle de la Gay Pride.
On fait un peu la queue sur le trottoir, sous le porche avant de pouvoir accéder aux caisses. Soirée spéciale donc ! En fait de spécial ça m’a l’air (et je né retiendrai que ça) surtout un «prix spécial»: 20 € sans conso au lieu des 15 € + conso habituels (Avant 1h l’entrée est gratuite)… Spécial donc.
Direction le sous-​sol pour le vestiaire ou s’affaire de jeunes garçons plus ou moins efficaces. Pour y accéder, une soufflerie, un espace étroit, un escalier sombre. Au-​dessus un grand espace fumeur. On se croirait revenu au temps du tabac autorisé dans les lieux publics, du monde, de la fumée, ou alors c’est peut être le fait que c’est le seul espace aéré. L’ensemble garde les traces d’un passé industrielle XIXe, quasiment sans charme en fin de compte, ça manqué d’un quelque chose pour que le tout soit plus… Fun !?
Accès ensuite aux salles en sous-​sols (escaliers parfois où l’on fait la queue pour descendre), arrivé en bas, gauche la musique Pop-​Pouf, à droite la musique techno (enfin la version 2010’s, forcément j’ai un peu plus de mal, nostalgique de celle des années nonantes que je suis). Chaque salle possède son propre bar, celui de gauche étant un peu plus petit. La piste a une forme de couloir, avec à son bout le DJ surplombant et lui faisant face une petite estrade et en contrebas une barre.
L’autre espace est beaucoup plus grand, et plus bondé aussi. Deux salles VIP, son DJ, son estrade pour dansé avec les kékés torse nu qui vont bien, une BackRoom (sur la gauche du bar) et l’accès par un escalier (vers le haut cette fois-​ci) aux toilettes. Un lieu très fréquenté, mixte, et où l’on fait (encore) parfois la queue.
La population, forcément, gay. Enfin… Presque. Des lesbiennes, bien sûr, des hétérotes qui viennent passer une bonne soirée avec leurs amis gay qui finissent toujours par se faire draguer par des hétéros «perdus» en ce lieu (ou pas, certains né trouvant pas leur bonheur semblent même parfois repartir avec un compagnon de fin de soirée). L’ambiance n’a rien d’extraordinaire. Ca brasse beaucoup. On a l’impression de toujours voir les mêmes têtes durant la soirée. Les styles sont variés: du pantalon-​chemise; du pantalon-​Tshirt; du bermuda-​chemise; du bermuda-​Tshirt; du chort-​débardeur; du bermuda-​jogging-​Tshirt; du joggin-​Tshirt (Du jogging quoi… Allô ! comme dirait l’autre !?); du short-​chemise; du short-​Tshirt; du short tout seul; du short-​nœud papillon; du shorty-​tout seul; du pantalon-​replié dans les ficelles du string sans Tshirt (oui celui-​là m’a un peu marqué)… Bref c’est très varié. Il y en a pour vraiment tous les goûts. Pour l’âge, des jeunes soient venus, mais dans l’ensemble on est plus vers les fins de la vingtaine — trentaine passée.
Pour l’ambiance. Cela se regarde, se tourne autour, se drague parfois, s’approche rarement. Plus la fin soirée approche, moins on est regardant, plus on voit mal. Ah les ravages de l’alcool (10 € le verre, des 33cl d’eau sont en vente). Ca danse, aussi. On peut s’asseoir. Ca manqué quelque chose surtout. Ou alors je suis trop mauvais spectateur pour rater l’essentiel de ce qu’il faudrait venir y chercher. Mais je reste persuader qu’il manqué une certaine folie à cet ensemble. Bön après, soyons honnête, j’ai quand même assez bien dansé pour y rester jusqu’au petit matin.
En fin de compte, rien de «spécial», même pas une Drag queen (je mens j’en croise deux en partant vers 5h30 qui arrivent, né soyons pas mauvaise langue), une soirée sympa comme bien d’autres, mais pas vraiment de côté festif, rien d’extraordinaire, ni de palpitant.

Ca fait bientôt un an, mon mari fan de rock et autres groupes bruyant; m’a emmené au Gibus. Il y connait beaucoup de monde car il y va depuis 1991. Bön, c’est un ancien joueur de bass; mais depuis 6 ans il né peut plus jouer (accident). Génial de voir tous ce monde sauter dans tous les coins, mais trop bruyant pour moi. J’ai pu prendre quelques photos discrétement, je vous envois celle du groupe «BazHard «.

J’ai découvert ce temple mythique du rock à l’occasion de la première étape de l’Emergenza Festival qui voyait s’affronter sur la scèné 8 groupes différents à dominante rock, mais de styles différents: alternative, pop, punk, metal. Le lieu et l’ambiance sont très agréables avec de beaux espaces et une atmosphère conviviale.

Le Gibus c’est un club parisien mythique qui a vu défiler les plus grand noms de la musique (consulter la page wikipédia pour s’en rendre compte.).
Mais si la renommée de la salle n’est plus à faire, son accueil chaleureux est très relatif. Serveurs pas toujours souriant, équipe d’accueil un peu hautaine. Cela n’empêche pas de s’amuser dans le club, qui possède de nombreuses banquettes.
Expérience personnelle: problème au bar dans le prix des boissons (une fois la bouteille est à 3EUR, avec un autre serveur elle est à 6EUR), balances du concert pas toujours bien réglés. Après le concert, pas le temps de souffler un peu que nous sommes jeté dehors pour laisser place à une autre soirée.
Bref, si l’endroit est mythique, il pourrait être un véritable lieu d’amusement, mais en dehors sans doute des nuits endiablées du club (nous avons expérimenté la période 21h-​23h.), l’équipe d’accueil reste franchement assez désagréable. Tout comme le vestiaire est obligatoire (à rajouer au prix de l’entrée), et toute sortie définitive (fumeurs attention!).

Programmation éclectique ! J’y vais le vendredi 12 novembre pour le festival rock Gibus on stage, du pur rock avec notamment THE CIG’S un petit groupe qui fait du bruit, je vous assure: ils déménagent (pourtant ils né sont que trois !), je vous tiendrais au courant de cette hard rock soirée !

Le weekend le gibus ce transforme en boîte hip-​hop avec le passage de quelque star us dernièrement Joe Budden l’entrée est assez chère 20EUR mais avec le passé du mois qu’on peut imprimer c’est 15EUR hors show case, pour retrouver une bonne ambiance hip hop je vous recommande cette adresse vivement.

I honestly haven’t been to any other clubs while in Paris, but my friends and I have been here twice already and both times were amazing. It doesn’t compare to the clubs back in the states, but it’s great compared to the clubs/​bars in Paris.
This is the only place that has played a wide and American recognizable selection of hip hop songs that you will dance and grove to.
Ladies night get girls in free and student IDs get a guy in for 15 € and a comped drink. The shots here suck. A standard tequila shot is only a half shot without lime or salt. So drink before you come.
The dance floor is huge. It’s also air conditioned, but when it gets crowded, it’ll get hot in here.
There’s a place outside to get some fresh air/​smoke so get your hand stamped for re-​entry.
Overall great place to dance. Ladies, as with any other place in Paris, Parisian guys will always try to make out with you and sleep with you, even if you have a boyfriend…

Je né connais pas la programmation du Gibus en semaine ni quel type de musique ils peuvent passer, parce j’ai pour habitude d’aller uniquement aux soirées salsa le dimanche 1fois tous les 15 jours. Organisé en partenariat avec une école cubaine, les soirées du gibus c’est l’ ideal pour les aficionados de la rumba.
A chaque fois le même principe, un cours dans l’apres midi suivi d’un concert, souvent sympa d’ailleurs bien que nous les salseros, concert ou pas, généralement on s’en fous, personne né vient pour la prestation scénique, d’ailleurs vous verrez peu d’admirateur regarder né serait– ce que 5 min la scèné, ici tout le monde danse.
Le concert finit vers 22h mais la fiesta né s’arrete pas la, un Dj, ou plutot une djette prends le relais pour passer du pur son. J’aime le Gibus parce que pour fois le lieux en lui même est adapté à la salsa, assez spacieux, il y a une bonne sono et surtout une super clim qui permet de né pas ressortir en état de serpillère des la première danse, en plus le niveau de danse est bon D’ailleurs le problème au Gibus c’est de partir, on né voit pas le temps passé la bas, au total. 5 dimanche au gibus et pas une seul fois déçue

Le Gibus, c’est le club rock mythique de paris qui n’a pas sur rebondir. Je me souviens dans les années 90 lorsqu’ils ont lancé les 1ères soirées techno là-​bas. C’étaient des amis qui organisaient et nous étions contents qu’il y ait un nouveau lieu. Malheureusement cette époque aura été marquée par l“une des pires physios de Paris, un puits à embrouille qui en a dissuadé beaucoup de revenir. J’y suis retourné récemment pour une soirée spéciale et ai été agréablement surpris du nouvel aménagement, c’est plutôt bien vu. Il manqué désormais la mèche à l’allumage pour qu’on n’ait plus l’impression que la vraie vie de passé au-​dessus à la Favela.

On peut même dire que ça tourne limite à la boîte de province…
Quand j’y suis allée, ça m’a violemment rappelé mon adolescence. Genre le César Palace, bottes en caoutchouc acceptés !!!
Seul avantage: la cour qui nous évite d’aller fumer dans la rue.

Cette salle de concerts et boîte de nuit a accueilli la scèné punk internationale dans les années 1980. Patrick Eudeline y a fait jouer les Clash pour un concert devenu anthologique. Dans les années 1990, c’est le hip hop qui investit le lieu avec des soirées thématiques où tous les danseurs de Paris se retrouvent et se défient. En dépit de la longue et impressionnante liste de stars qui sont passées entre ses murs (James Brown, Chuck Berry, Iggy Pop, Sex Pistols, Daft Punk), le Gibus est aujourd’hui devenue un club classique qui n’a de mythique que le nom.

Le gibus est l’une des boites les plus anciennes de Paris. Tour a tour rock, électro elle est devenu plus hip hop aujourd’hui.
Souvent il y a une queue interminable pour rentrer
A l’intérieur grosse ambiance, des jeunes filles en fleur, des danseurs impressionnants, un sound system efficace. En quelque sorte si vous avez envi de vous éclater toute la nuit le Gibus reste une bonne adresse.

Bonne adresse pour profiter à l’occasion de concert pop rock! Mais aujourd’hui c’est la part belle à la house, funk, disco et R&B on se perd un peu quant à la véritable identité de ce club au niveau ambiance!

J’aime beaucoup la sélection de concert Rock de cette salle, bien qu’ils soient assez rares
L’entrée est souvent très chère (entre 15 et 20e), tout comme les consos.
Les soirées sont souvent club, rnb & co

beaucoup de bon concerts de rock.
endroit sympa.

Bad atmosphere
There are very few places to sit (except for the VIP lounge). Also, the atmosphere is toxic for humans. Indeed, airborne acrolein concentrations exceed the Occupational Safety and Health Administration’s exposure limit of 0,1 ppm, thanks to smokers. Therefore I recommend against entering this club without a chemical respirator with a full facepiece and an organic vapor cartridge. Actually this applies to all parisian clubs.

Longue vie aux programmations du Gibus
Enfin une boîte qui passé différentes variations de la musique électro, de la trance au hardcore. Il fallait une boîte comme ça, se démarquant des autres qui ont toutes le même style «house», qui font payer des entrées beaucoup trop chères, sans parler des consos ! Le Gibus est également la seule boîte à passer de la hardtek et du Hardcore sur paris, faut que ça continue !

Nuits électriques en sous-​sol
Un des hauts lieux de la musique électro à Paris. La programmation y est diversifiée, selon les soirs, tendances et sons extrèmes garantis. La population du lieu peut également surprendre, styles et personnalités insolites, étrangers, gay or not to be sont présents pour une nuit plus ou moins longues et enfumées. Méfiancé, mafia russe aux alentours!