La Halle Saint-Pierre

I am writing the first english review of this place, so hopefully the locals won’t be too mad that i am sharing the secret of this exceptional, yet understated, museum of outsider art. Though as a dual French and Canadian, I feel it is my duty to share such resources with my anglo-​compatriots. Located a stone’s throw from the Abbesses metro, in the part of Montmartre that is decidedly off the beaten path, and world’s apart from the nearby tourist traps of Pigalle and Sacre-​Coeur (worthy in their own right to some extent), this is a true gem to be explored over an afternoon.
On my last trip to Paris, I stumbled upon an amazing and profound retrospective of «Art Brut,» a priceless experience at a minimal price tag (8 euros without student reductions get you an entry). The museum is located in a beautiful old glass building that used to house a covered market and exhibits are on two levels, so vast. There is also a café, which is affordable and mellow, and an interesting bookstore filled with contemporary and outsider art books and resources.
La Halle SP, also hosts shows, lectures and workshops including art therapy. A truly unique and quality space, I plan to visit each time I land in Paris.

Je suis allée voir l’exposition «Hey ! Pop art». C’était juste génial ! Plusieurs artistes se côtoient là –bas, de toutes nationalités et allant du pop art au surréalisme américain. Epoustoufflée j’ai été par Mark Riden et certains autres peintres et artistes. Pas décevant et juste génial. Néanmoins, habituée à prendre une carte de l’oeuvre qui m’a le plus marqué à chaque fin d’expo, là, il n’y en avait pas pas et j’ai été assez déçue que ce né soit pas prévu. Mais sinon, l’expo est géniale et cette gale est réellement superbe ! Très underground mais authentique.
Côté restauration pour le goûter, on vous propose un assortiment de pâtisserie et de bons jus. Les, pâtisseries étaient bonnes, pas faites maison dommage, mais c’était pas mal, en revanche le service… Je n’ai jamais vu ça. Un couple d’amis s’est fait servir avant nous (aucune queue ni personne d’autre à servir) pour deux pâtisseries et deux jus: 15 minutes et nous le temps d’être servis (autant de temps) nos amis avaient fini. Le personnel discute, fait autre chose et s’en doit royalement. Ils né connaissent pas leurs pâtisseries et se doutent de né pas vous renseigner. Bref, ils sont tranquilles, pas pressés et se doutent de vous, tout sauf professionnels, dommage

Aujourd’hui, parlons d’art ! La halle saint pierre, c’est un endroit incontournable si l’on est de passage à Montmartre ou à Paris, et je vais vous dire pourquoi !
Tout d’abord, c’est un lieu très particulier. Situé entre le sacré coeur, Anvers et le marché Dreyfus, il fait partie des grands bâtiments bien connus du quartier. Avec ses verrières et son grand hall qui peut accueillir une bonne cinquantaine de personnes, l’endroit est parfait pour se changer les idées et découvrir un art jamais assez représenté: L’art Brut.
Je vous conseille de commencer par vous mettre dans le mood en consommant une boisson chaude ou un jus de fruit avant de débuter la visite. Le café dans le hall est vraiment parfait pour se reposer avant de passer une heure et demie debout à arpenter et essayer de comprendre un art totalement barjo, en dehors des règles de l’art ainsi que du système.
Ensuite, il est temps de passer à la caisse. Les tarifs pour les expositions temporaires sont de 8 euros sans réduction et 6,50 avec réduction. Oui, ça ressemble fort à un faux tarif réduit tellement le réduction est minimale, mais quoi que ce soit, ça en vaudra la peine, croyez moi !
Cela fait trois ans maintenant que j’ai visité toutes les expositions temporaires de ce musée, et je peux vous le dire: jamais vous né sortirez déçus ! Hey part 1 et 2 étaient mes préférées. Ce grand mélange de pop culture et d’art moderne rend la visite vraiment étonnante et expérimentale. Si vous aimez découvrir d’autres formes d’art que la peinture classique voulant seulement reproduire la réalité, vous allez être servis. Les expositions temporaires réunissent souvent de grands noms avec des petits artistes tout aussi géniaux, ainsi vous pourrez trouver un alien de HR Giger (RIP) à coté de magnifiques crayons sculptés de Dalton.
Quelques petites choses à vous dire :
— Le vestiaire pour vos sacs et grosses doudounes est au –1.
— La caisse, le café, la librairie et le début de l’exposition sont au 0.
— La fin de l’exposition est au 1.
Je dis ça car il serait bête de partir au milieu de l’expo en croyant que c’est fini.
Je pense que j’ai à peu près tout dit. La prochaine exposition débutera le 21 janvier 2015 !
Coup de coeur: Les livres des expositions sont des mines d’or. J’en ai même trois chez moi !
Coup dans le coeur: Fermer à 18h, c’est vraiment tôt quand même…

Des expos toujours top … Le temple de l’art brut mais aussi un bon espace temps pour se détendre ou manger un bout! Mention spéciale donc au point café resto et a la boutique du musée… Pour la situation, au pied du sacré cœur !! Quoi demander de plus …

Des années que je la côtoie et que je l’oublie et puis, que lorsque je passé devant à nouveau, je me demande comment j’ai fais pour l’oublier si longtemps: La halle Saint-​Pierre.
Ce lieu intemporel (architecture fin XIX ème siècle) niché au pied du Sacré-​Coeur est une jolie alternative au tourisme de masse et aux bars à «touristes «sans grand intérêt du quartier. Zappée des guides touristiques et tant mieux pour nous, cette halle atypique, charmante et unique en son genre vous offre la possibilité de passer un moment culturel ou non (aucune obligation) autour de l’art: musée, exposition contemporaire, librairie et café seront à votre disposition.
Qu’il pleuve, qu’il fasse beau ou qu’il vente, on resterait des heures à bouquiner ou à papoter à l’abri du bruit environnant sous cette immense verrière qui laisse passer la lumière et ses grands volumes. Vous pouvez même acheter votre bouquin sur place et commencer à le lire en dégustant une pâtisserie maison comme cette tartelette aux figues et aux pistaches ou cette part de tarte aux noix de pécan qui me font de l’oeil depuis mon arrivée (ouhlala ouhlala je né veux même pas savoir combien de calories se cachent dans une cuillère de cette dernière).
Alors si vous passez dans le quartier, arrêtez-​vous au marché prendre quelques mètres de tissus liberty ou de wax et faites une petite halte gustative histoire de vous requinquer ! Ca fatigue le shopping, avouons-​le !
Plus d’infos et d’avis sur:

Le site «Time Out» recommande l’exposition «Raw Vision». Eh bien, je n’ai pas été déçue ! C’est un musée intéressant qui propose des oeuvres hors du commun qu’on né verrait pas ailleurs. J’ai pu admirer un concentré d’artistes d’art brut et j’ai vraiment apprécié.
Il y a un café au rez-​de-​chaussée où toutes les tables sont prises. La librairie à l’air sympa aussi même si je n’ai fait que la voir d’en haut du 2ème étage en admirant les oeuvres.
Un endroit à absolument visiter donc. Ca change des musées pompeux.
6 € 50 tarifs réduits et 8 € tarif plein.

Un des musées les plus intéressants de Paris, tant pour son architecture — il né s’appelle pas «Halle» pour rien — que par les expositions présentées.
Au rez de chaussée: la première partie de l’exposition plongée de le noir, où les œuvres illuminent l’espace.
La visite se poursuit sur une mezzanine lumineuse d’où l’on peut apprécier l’ensemble du bâtiment. Et là les œuvres éclatent le lieu par la couleur, on peut aussi y voir des installations impressionnantes !
En redescendant les escaliers se trouve une cafétéria pas inoubliable mais agréable lorsque l’on sort d’une expo de plus de deux heures. La librairie est assez riche en qualitativement et quantitativement !
C’est LE lieu de l’art brut à Paris, l’art libéré de «l’asphyxiante culture». Un art qui jaillit du tréfonds de ses créateurs ou qui s’impose à eux dans un élan mystique.
Depuis trois ans je suis de plus en plus assidûment ces expositions, elles sont toutes d’une qualité égale, on se prend une claque à chaque recoin. Certains artistes reviennent d’expos en expos et on se familiarisent avec eux, on apprécie de plus en plus tel ou tel trait de leur travail, ou alors ils nous font sombrer dans la plus grande incompréhension: et c’est ça qui est bon !
Un lieu magique.

Samedi 23 février
Première entrée dans ce lieu de la culture contemporaine. Un espace pour ranger son sac gratuit en bas. Deux salles, et l’exposition Hey ! Part II (du 25 janvier au 23 août 2013)
J’ai eu une préférence pour la salle du bas, avec cette atmosphère sombre que les sabots d’un cerf tournant en rond vient perturber. A revenir selon les expositions.
Par contre, je n’ai pas trop compris le concept ou le plaisir de prendre son café dans le hall d’entrée. Mais on voit tout de suite à quel type de clientèle cela s’adresse. Par ailleurs, je trouve l’espace librairie est un peu étroit.

Je suis étonnée de voir si peu d’avis pour un lieu au final très charmant !
Située du coté de Montmartre, la Halle Saint Pierre est décrite comme un musée d’art brut et d’art singulier, et c’est exactement la sensation que j’ai eu quand j’y ai été. Son escalier en colimaçon, ses arches en fer forgé, ses hauts plafonds, ses baies vitrées en font un lieu hors du commun, presque onirique.
J’ai été y voir l’exposition HEY! Modern Art & Pop Culture, une expo à la fois surprenante et passionnante, que j’ai beaucoup aimé. Très riche, on a pu admirer ou se questionner sur les œuvres de très nombreux artistes, aux styles vraiment différents (et parfois très étranges), exposées de façon à les mettre au mieux en valeur. Je garde vraiment un très bon souvenir de cette visite.
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Au niveau des prix c’est 8EUR l’entrée et 6,50EUR en tarif réduit.

Kunst liegt natürlich immer im Auge des Betrachters, mein Stil ist dort nirgendwo zu finden.
Geschmackssache.

Construite en 1868 dans le style
Baltard, les Halles Saint Pierre furent un marché, une école puis
un lieu d’exposition d’art brut et d’art singulier qui derrière sa
grande verrière comprend 2 étages d’exposition, une librairie et un café. Si vous vous demandiez ce que sont l’art brut et
singulier, sachez qu’ils est vécu et accouché par des autodidactes
désintéressés qui bien qu’imprégnés d’une culture souvent
populaire, matérialisent leurs propres dialogues internes en dehors
des sentier battus.
La première impression qui se dégage
lorsqu’on pénètre dans le premier espace d’exposition est une
sensation d’intimité dans lequel la lumière et la disposition des
panneaux y est pour beaucoup car aucune rampe lumineuse né vient vous
brusquer de ses photons hyperactifs pour vous rappeler à la réalité
de volumes de contention ou d’angles saillants. Il y fait sombre et
c’est heureux. On peut clairement sentir de ceux qui ont songé à
l’aménagement, la volonté de rendre ce lieu quasi utérin, hors
temps car seuls quelques spots halogènes intelligemment disposés
distillent une lumière doucement chaleureuse en direction des
oeuvres exposées, né mettant que celles ci en valeurs et rien
d’autre tandis que les Autres, moi y compris somme éclipsés par la
pénombre et gommés par le feutrés de la moquette. On s’y sent en
parfaite sérénité, dans un climat d’intimité, de presque
recueillement. Le temps file sans même nous le rappeler. Une
transition idéale entre la réalité dans laquelle nous opérons
habituellement et celle dans laquelle nous nous dessinons
progressivement, pour démarrer une expo et ainsi concentrer tout
nos sens sur la suite des évènements.
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Le salon offre une carte des thé de
toutes sortes dont des bio qui même si les prix restent élevés, né
sont pas servis dans des dés à coudre. On pourra déplorer
l’absence d’infusion de Coloquinte à la graisse de
hérisson Il sera même possible de laisser son plateau au
comptoir puis d’y revenir le petit doigt relevé, tremper ses lèvres
un peu plus tard à moins de le partager entre Bougres
d’extrait de cornichons. Quelques pâtisseries faites
maison vous attendront pour délier vos papilles délaissées par les
autres sens mis en éveils durant la visite. Ceci dit aucun Concentré de moules à gaufres n’est
à déplorer en vitrine. La librairie quant à elle est particulièrement bien achalandée puisqu’elle offre une large quantité d’ouvrages traitant d’art et soutient quelques publications d’artistes.
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A l’étage, c’est dans un autre cadre
puisque ouvert sur la verrière que les choses sont présentés mais
avec une volonté similaire sur le travail de l’éclairage. Tout y
est blanc mais encore une fois, aucune lumière crue ni directe né
viendra meurtrir vos mirettes ô combien délicates. La lumière y
est douce et parfaitement adaptée. D’ailleurs, l’éclairage général
n’est allumé qu’en soirée et seulement réfléchi par des panneaux
orientés vers le blanc cassé de la charpente, ce qui encore une
fois né viendra pas vous arracher la rétine des oeuvres sur
lesquelles celle ci se destine. L’espace d’exposition peut se
parcourir dans tout les sens sans avoir l’impression d’y être
enfermé. Les cloisons sont ouvertes tout en laissant la surprise de
ce qui se cache derrière pour notre plus grand plaisir. Au milieu de
l’arèné trôné un canapé cosy dans lequel il est bon de méditer
sur les pensées qui vous auront parcourus tant par le rédactionnel
qui accompagne les créations que par l’aventure intérieur dans
laquelle vous vous serez adonné.
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Ce qui viendra hurler à vos mirettes
est la véracité de créations hors normes et hétéroclites mises
bas à grande peine par des individus dont la vie a été en marge
parfois dès le plus jeune age, des normes de sociétés aux regards
étriqués dans lesquels ils ont trainés leurs guêtres. C’est
souvent après un accident de vie mal digéré (guerre, deuil,
isolement, autre perception de la réalité), que certains se
sont laissés dériver vers des limites de vagabondage que tolèrent
encore les sociétés, puis de les juger souvent infirmes avant de
les reclure dans des conditions d’isolements quasi carcérales. Et
même si depuis peu les caméras pénètrent timidement dans les
asile, l’univers psychiatrique et ceux qui y
vivent est encore aujourd’hui et restera pour un moment encore
assujetti aux railleries et aux fantasmes populaires de part la
singularité des individus qui en peuplent les murs. Même si la
psychiatrie a sensiblement évolué depuis ces 70 dernières années,
cet univers a été tenu au secret si longtemps qu’il est
intéressant, voir indispensable d’y plonger du bout de ses yeux et
de ses synapses pour tenter de le mettre en lumière, et de sortir
des clichés habituels du fou, du dégénéré ou du

Ce que j’aime surtout dans cette endroit, c’est la hauteur sous plafond… vraiment agréable, de grandes fenetres donnant sur le parc du sacré coeur, un bar pas cher, j’avoue que je né sais plus si on peut y manger mais on peut y chercher des livres dans la librairie et puis il y a surtout le musée de l’art brut et de l’art singulier, et la halle fait aussi office de galerie ou il y a toujours quelques tableaux a voir entre un café et un feuilletage de bouquin…
Ouvert juste en journée ou parfois lors d’evenement en soirée.

L’endroit fait bien son travail: présenter de l’art brut, ou naïf, ou singulier. Les dénominations sont nombreuses pour intituler cette création difficile à cerner.
Cependant, un je-​né-​sais-​quoi m’empêche d’avoir un avis ditirambique sur ce lieu. La scénographie systématique des expositions peut-​être.
Quoiqu’il en soit, le café est très agréable bien qu’un peu bruyant le week-​end.

J’avoue que, lorsque je suis entré dans la «Halle Saint-​Pierre «, je né connaissais vraiment rien à l’art naïf. Mais ce que je né savais pas encore, c’est que je pénétrais dans LE lieu consacré à cet art le plus complet et le plus intéressant de la capitale. J’ai même failli prendre des notes, c’est dire…
Par ailleurs, la «Halle Saint-​Pierre «est un endroit qui n’est pas seulement un musée. Elle fait aussi librairie et contient même un petit bar où se poser après votre visite. La librairie est, bien entendu, consacrée à l’art sous toutes ses formes, et est assez complète d’après ce que j’ai pu y voir. Et puis, c’est un coin paisible dans ce quartier où la foule est omniprésente.

Toutes les formes d’Art
Lieu permettant l’expression de l’Art sous de multiples formes: exposition de tableaux, sculptures, spectacles divers. On choisit, on flâné, on peut même grignoter un petit quelque chose en buvant un coup. Le lieu est un peu frais en hiver, mais la hauteur de plafond donne de l’espace. Un problème majeur pour les spectacles: l’acoustique déplorable d’un hangar glacial. Heureusement, vous serez bien accueillis par des gens charmants.

La Halle Saint-​Pierre est un très bel endroit, d’une part pour son architecture, d’autre part pour les expositions qui y sont présentées. C’est LE musée parisien consacré aux arts naïfs, qui renouvelle ses expositions très régulièrement (on y a vu dernièrement une expo de Chomo et de Marie Morel, magnifiques).
La Halle Saint-​Pierre a aménagé un coin librairie dont le thème phare est bien sûr l’art naïf, mais on trouve aussi des ouvrages sur Paris et le 18e arrondissement, et des livres pour enfants sur le thème de l’art.
Enfin, un petit bar très sympa est ouvert en journée, on peut y boire un verre, déguster une bonne pâtisserie ou même y déjeuner sur le pouce.

La halle Saint Pierre est le temple de l’art brut. Installé dans une belle architecture style Baltard au pied de la butte Montmartre, la halle abrite une galerie au rez-​de-​chaussée et un musée à l’étage qui accueillent plusieurs expositions d’artistes indépendants ou reconnus.
On trouve également dans l’enceinte de l’établissement une très bonne librairie consacrée à l’art dans tous ses états. On trouve ainsi des éditions rares ou limitées d’artistes provenant du mouvement brut ou naïf jusqu’au surréalistes. Une très bonne sélection de titres. Aussi, on trouve des livres pour éveiller les enfants aux différentes manifestations de l’art.
C’est un endroit très agréables qui propose une cafétéria où l’on peut venir confronter ses points de vues après avoir assisté à une exposition.

Tout simplement, mon musée préféré à Paris !
Situé au pied de la butte Montmartre dans un ancien marché couvert (la Halle).
L’architecture du bâtiment interpelle le visiteur.
Curieusement, ce musée est particulièrement calme et peu fréquenté alors que ce lieu est un des plus agréables que je connaisse.
A l’intérieur, un grand espace inondé de lumière abrite à la fois le musée d’art brut, une librairie et un café.
Le musée accueille une grande collection d’art naïf, il expose des artistes très particuliers, des fous, des illuminés, et leurs visions: oeuvres inclassables et insolites.
Après cette plongée dans des mondes étranges, il fait bon de flâner à la librairie et de se poser au café pour reprendre pied avec la réalité.
Bonne visite !

De l’Art à Montmartre
De l’extérieur, on se demande ce qu’on trouvera en entrant… une grande salle comme un atelier, des escaliers, un salon de thé… et des salles permettant aux artistes d’exposer de nombreuses créations surprenantes…

L’atelier
Parfait pour une sortie en famille, avec enfants et poussettes. Ou pour boire un thé avec une vieille copine. De l’espace, l’impression d’avoir le temps, l’envie soudaine d’ouvrir un livre, d’aller voir une expo, d’observer et même de devenir soi-​même un (e) artiste.