L’Arlequin

J’apprécie beaucoup ce cinéma indépendant où l ‘on passé des films qui né passent pas ailleurs. Les salles sont à taille humaine. Très sympa le petit café où l ‘on peut patienter tranquillement avant sa séance.

Belle programmation, personnel désagreable
Malgré une belle programmation et des salles confortables, l’accueil y est fortement désagréable. Surtout au niveau de la billetterie, où les manifestations d’agacements envers le client y sont fréquentes. On a l’impression de déranger.

Un peu isolé sur l’élégante rue de Rennes, plus près de la place Saint Germain des Prés que de la tour Montparnasse, l’Arlequin, superbe ciné d’art et d’essai, fait de la résistance.
Il est composé de trois salles, dont une au décor magnifique de 395 places confortables.
Les deux autres né comprennent qu’une centaine de places chacune et offrent de moins bonnes conditions.
Les propositions de rachat des promoteurs né manquent pas dans ce quartier où le m2 se négocie à 14 000 € !
Il serait vraiment dommage que ce ciné qui a une si belle histoire et une programmation si exigeante soit remplacé par un énième marchand de fringues.
Né dans les années 1930, il a été repris en 1962 par Jacques Tati.
Jour de fête y sera projeté dans sa version couleur et, bien plus tard, Playtime en 70 mm.
Rebaptisé le Cosmos en 1978, il sera pendant plus de 10 ans la salle officielle du cinéma soviétique.
Aujourd’hui l’Arlequin continue de lutter pour un cinéma de qualité.
Des festivals (films allemands, russes, chinois…) et des débats s’y succèdent. Un bar en sous sol permet de grignoter et de boire avant le début de la séance.
Les tarifs :
PLEIN TARIF: 9,50 euros
TARIF REDUIT: 7 euros
Séances avant midi: 6 euros
CARTES D’ABONNEMENT :
30 euros/​5 places, 57 euros/​10 places, 102 euros/​20 places
Cartes PASS et UGC ILLIMITE acceptées.

Mon ciné préféré pour les mêmes raisons que les avis précédents. Outré les rétrospectives usuelles, il y a une véritable démarche pour faire partager le cinéma. L’ambiance change des cinés de la rue des écoles où si tu né connais pas le directeur photo du deuxième film de Fellini t’es pas cinéphile, ici ça respire l’humilité, même dans la salle les séances se déroulent la plupart du temps sans un bruit. Et la programmation… Que dire, on aimerait davantage de salles !
L’astuce qui vous convaincra d’y aller: La carte UGC illimitée y est acceptée !

Good programming (retrospectives and new films — saw THE WAVE here last year for example, and FEAR AND LOATHING IN LAS VEGAS during the 2004 suffocating summer), comfortable cinema, several screens, near St Germain… nice.

C’est ni plus ni moins ma salle préférée à Paris. Pour son architecture art déco, son bar à l’ancienne, sa programmation, l’intelligence de diffuser des films pour les sourds-​muets et ses vieux qui arrivent toujours trop en avance aux séances. Un bémol cependant: L’Arlequin me rappelle que je dois être vieille maintenant moi aussi parce que justement j’arrive souvent en avance…

L’arlequin est vraiment une super salle de cinéma ! La programmation est toujours tip top, il y a de nombreux débats, des conférences, des rencontres et quelques avant-​premières. On peut également se régaler de quelques festivals.
Mais le plus de ce cinéma et qui a attiré mon attention depuis pas mal de temps, c’est son travail de fond pout proposer aux sourds et aux malentendants des séances spéciales. Le complexe de trois salles s’est équipé des techniques derniers cris de sur-​titrages spéciaux qui affichent les dialogues accolés au visage des acteurs. Pour les bruits extérieurs, les sous titres s’affichent dans une autre couleur.
Idem pour les aveugles ! Le cinéma propose des séances en audio-​description. Les spectateurs se munissent de casque et une voix leur explique tout ce qu’il y a à l’écran !
On salue vraiment cette initiative !

L’Arlequin est un cinéma au passé haut en couleurs. Je l’ai connu sous un nom différent: à l’époque il s’appelait «Le Cosmos» (depuis 1978) en hommage aux exploits spatiaux russes. Il était en fait la vitrine des films soviétiques en France.
Il a repris en 1993 son appellation «L’Arlequin» qui lui fut donné en des temps anciens par le sieur Jacques Tati lui-​même, ancien propriétaire des lieux. Outré une super programmation et un grand écran, l’Arlequin propose un festival de films allemands en octobre qui vaut le détour.

Voici un cinéma qui vaut le détour située juste en face du métro Saint-​Sulpice, cette adresse pourrai appartenir à mon cycle cinéma.
Passionnée de cinéma, j’ai connu L’Arlequin grâce au festival Paris Cinéma (avant que je le boycotte) lors d’une rétrospective sur le cinéma asiatique. J’y suis retournée après. Cette salle comme beaucoup de «cinéma de quartier» a beaucoup de charme.
L’Arlequin à trois salles, vous pourrez aussi y assister à des débats, des avant-​premières et des expositions entre autre.
Vous y verrez des films présents en salle, mais surtout des films que vous avez manqués, des rétrospectives et certains petits films qui né sont quasiment pas diffusés dans les multiplexes.
Idéal pour les passionnés du 7éme art, voir un bon film.

Sympa ce cinéma! Il fait un peu vieillot, mais on s’y sent bien.
Il est compatible avec la carte UGC illimitée et propose une programmation orientée vers le cinéma d’auteur.
En tous cas, les films récents et les vieux classiques se côtoient, et on passé un bon moment.

Un petit bar bien sympa, avec plein de couleurs, on regrette un peu l’étroitesse de la salle mais l’accueil est chaleureux et c’est l’occasion de faire connaissance avec nos voisins de table!

l’accueil est un peu sec, mais le ciné en lui-​même est très bien

Une programmation de qualité mais un accueil déplorable
La programmation de ce cinéma est intelligente et alléchante, des films d’auteurs, des avant-​premières avec les équipes du film, des festivals de cinéma à taille humaine: allemand, brésilien ou récemment une rétrospective du cinéma russe. Autre qualité de ce cinéma: son emplacement à deux brasses de Saint Germain et une salle principale confortable et climatisée. Malheureusement, la qualité de l’accueil s’est considérablement dégradée, l’obtention d’un ticket de cinéma à la caisse peut devenir une épreuve, on est parfois exceptionnellement mal reçu et les files attente pour les évènements sont éprouvantes en laissant les gens faire la queue dans la rue avec le guichet fermé. Il est par ailleurs quasiment impossible d’acheter son ticket en avance. En conséquence, on en arrive paradoxalement à éviter ce cinéma…

Un ciné intelligent…
Eh oui c’est encore possible; la programmation va de l’art & essai à la découverte pure et simple, pas mal d’avant-premières avec les réalisateurs ou acteurs, des débats et un club ciné qui est actif tout au long de l’année. En plus les sièges sont confortables, point qui est parfois un peu sujet à caution dans ce genre de lieux… une valeur sûre pour ceux qui pensent encore qu’aller au ciné né veut pas dire poser son cerveau ;o)

La limousine des ciné d’art et d’essai
Décor somptueux pour programmation de choix. Vous pourrez même y prendre un verre ou une glacé. Gardez un oeil sur les événements cinématographiques qui y sont projetés.