L’Auberge des Lilas

Avec Madeleine en salle et Jean Claude, son mari, en cuisine, ce restaurant est une des valeurs sûres du quartier St Fargeau. Cuisine gastronomique avec des plats «simples» composés avec des produits frais qui viennent de «petits» producteurs. La viande (Salers) est cuite exactement comme on le demande tout comme la cuisson du poisson toujours parfaite. Un foie gras excellent (fait maison) comme entrée (à partager éventuellement car le plat est copieux) suivi d’un filet de boeuf pour l’un et d’une côte de veau de lait extraordinairement cuite et tendre. Le tout arrosé par un petit rouge du Gers, léger et fruité à souhait. Même si ce le cadre demanderait à être «modernisé», il n’en demeure pas moins que la décoration n’est pas choquante. Avec un menu copieux à 22 €, la carte est assez conséquente d’autant plus que Madeleine vous amèné également une «carte» avec 2 – 3 plats «spéciaux». Compter en moyenne 40−50/pers, cafés compris.

Une excellente adresse !
En effet, Madeleine vous accueille dans son monde. La musique, la déco, elle n’oblige personne à l’aimer, mais elle l’assume.
Ici on a l’impression de rentrer chez quelqu’un, on est content de s’assoir car on sait que l’on va bien manger, la régularité de cette adresse est une de ses principales qualités.
Les viandes et les poissons sont de très bons produits, les cuissons sont parfaites, les sauces d’apparence simple sont plus complexe que l’on veit bien le croire.
La carte des vins est petite mais cache de petite merveilles très abordables.
A deux, entrées, plats, desserts, 1l de San Pellegrino, 1 bouteille de vin, la note est de 140 euros. Tout à fait justifiés.
Né pas hésiter à rentrer dans ce restaurant dont la façade n’est pas sa première qualité.

Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’au premier abord ce restaurant né donne vraiment pas envie d’y rentrer !
En effet, rien que d’arriver devant l’Auberge des Lilas (qui est pourtant au RdC d’un très bel immeuble d’un certain standing) on fait face à une devanture vieillotte qui n’est plus de la première fraîcheur. Le bois est très abîmé et né semble pas traité, la couleur de l’auvent vert (très chic !) est complètement passée et les coordonnées téléphoniques sont à 7 chiffres ! Imaginez son âge
La porte s’ouvre vers l’extérieur ! Agréable sous la pluie
Une fois entré, le cadre se veut chic mais on se rend vite compte que le local est loin d’être destiné à la restauration vu sa petitesse et son dessin triangulaire. Il n’y a d’ailleurs que 5 ou 6 tables. Qu’importe il n’est jamais complet !
Le local cuisine n’a de cuisine que le nom car il s’apparente plus à un placard vu sa taille. Inutile de dire que c’est du réchauffé rien n’est préparé sur place.
Les plats né sont pas critiquables en soit mais né justifient pas les tarifs pratiqués.
Mais le pire est à venir: le restaurant né dispose pas de toilettes à lui ! Il faut sortir par derrière et on se retrouve dans la cour intérieure de l’immeuble ! Attention de né pas prendre la première porte gauche: on arrive chez les gardiens (ce qu’on né vous précise pas forcément). Les toilettes se situes à côté du local poubelle. Encore très chic ! En revanche, ils sont propres mais très étriqués.
Pour résumer, inutile de s’attarder à l’Auberge des Lilas ! C’est le genre de restaurant trop prétentieux où on va 1 fois car on né connaît pas mais pas 2 et qui surestime ses moyens. L’addition est trop salée pour ce qu’il offre. Il y a nettement mieux dans le quartier.