Le Café Marguerite

Bön, je suis allé avec mes collègues pour déjeuner. Ils n’avaient pas un des plat clef sur la carte, un cuisse de poulet avec frites, donc j’avais besoin de prendre autre chose. J’ai pris un steak-​frites et j’étais déçu. Les frites sont fait maison mais bien saturé avec huile et pas croustillant. J’ai commandé le steak saignant et je pense le viande a resté trop long dans le frigo parce que il y avais un gout bizarre. Vu le prix, j’ai trouvé beaucoup mieux autours… (I don’t think I will be going back)

Très bon restaurant, les plats sont frais et faits maison, service maison aussi, très familial, bon accueil, bref un très bon moment. Une adresse à garder précieusement.

C’était bien mieux avant le changement de propriétaire. Les prix ont augmenté, la qualité à baissé et l’amabilité est en option. Dommage

(sorry this is in English — hope it helps).
SETUP: 20-​day vacation in Europe August 2011.
CAST: Three die-​hard foodies.
RANK: Woohoo is right — friendly staff, outstanding food! 2 entrees, 8 glasses of wine, 2 desserts — all for $ 80US
We had just flown in to Paris last night and were walking up and down a main drag where we were staying. There was nothing particularly wrong with what we saw, but we want something quiet and small. We had circled back and found this restaurant, with a very friendly man named Yves who invited us in. The prices were close to ½ that found on the main drag — that’s a good thing since the dollars in bad shape.
Yves recommended the fish stew and brought for dessert a sweet cream dessert with grapefruit — absolutely the best dessert so far in Europe (we’ve been to London, Stockholm and Bristol so far). The staff were very friendly — as well as the patrons. One of the best experiences — one of the best meals.
I tipped Yves an extra 10 Euro — he wanted to make sure I understood tips **ARE TYPICALLY INCLUDED IN THE BILL IN FRANCE** — but I went ahead and gave it to him anyway. He also advised to always eat at places off the main drag — they are cheaper and better. He is right!

Service hyper agréable, on se rappelle de votre tête ce qui est assez rare pour être signalé pour le quartier.
Même si la carte est de ce qu’il y a de plus classique, les plats sont bien exécutés. Les plats du jour pourraient être un peu plus funky comme d’autres mais on né va pas se plaindre.
La terrasse est un peu bancale et trop petite malheureusement donc difficile d’avoir une table le midi.
La salle du haut que je préfère à celle du bas est chaleureuse et lumineuse. Leur béarnaise est excellente !

Bonne adresse mais sans plus

N’étant ni un pote de Massimo Gargia pour avoir mes entrées dans les soirées jet set avec la Baronne Von Brandstetter, ni du genre à aller m’éclater à me faire juger le portrait par les physionomistes des files d’attente des boîtes à chaussures de nos nuits parisiennes et encore moins du genre à courir les grandioses mises en scèné qu’offrent toujours les touchants spectacles du cabaret Chez Michou, lorsqu’on me demande de trouver un truc à faire le vendredi soir, ça me fout toujours un peu dans la mouise.
En ce domaine, mes relations né valent pas mieux que moi mais puisque je suis suffisamment orgueilleux pour chercher à faire croire malgré tout que «Gontran les bons plans» c’est moi, le problème s’est encore posé vendredi dernier. Heureusement que je suis «pété» de «tunes» et que j’ai une équipe de douze concierges voués exclusivement à l’organisation de mes soirées les plus folles, j’ai pu sauver la face devant les ami (e)s qui n’en revenaient pas de se voir proposer une soirée au restaurant avec des musiciens pour l’ambiance. On pouvait voir à leurs yeux ébaudis que ça né leur serait jamais venu à l’esprit. Je suis certain que vous n’en pensez pas moins !
Nous voilà donc, «Oh la Vache !» s’étonna encore mon pote, devant le Café Marguerite que nous découvrons ensemble. Je vous fais toutes mes excuses à l’avance pour les horribles photos que je vous impose aujourd’hui, mon IFun n’a pas su rendre justice au lieu, et comme je l’ai promis au taulier, je vous promet la prochaine fois d’en faire de plus belles avec un appareil plus adapté.
Vous aurez donc compris qu’il y aura une prochaine fois. C’est inévitable car Marc et Richard tiennent en laisse Le Café Marguerite pour une traversée de la soirée au bout de laquelle chacun découvre qu’il est condamné à revenir s’y réfugier.
La devanture est belle avec sa terrasse couverte et chauffée et son enseigne au néon. La rue Rougemont est animée presque exclusivement par des piétons qui étaient encore des banquiers quelques minutes plus tôt. L’endroit invite à entrer et c’est ce que nous faisons sans nous faire prier. Avec ce vieil ami, nous attendons les filles à une table de quatre, moi confortablement assis dans un canapé que je chauffe pour les fesses de nos deux retardataires. N’ayant fait aucun vœu de sobriété, nous acceptons que Marc nous serve une première bouteille d’un excellent Brouilly issu d’un petit domaine dont les deux suivantes me feront oublier le nom. S’il m’en fallait une, ce manqué de précision de ma part m’offre une autre très bonne raison d’y retourner tien !
Vers 19:30 déjà, les musiciens s’installent. Je le savais déjà mais je vous l’apprend peut-​être, Le Café Marguerite propose le plus souvent des concerts de jazz manouche. Ce soir, deux guitaristes et un violoniste se lancent sur leurs manches à la poursuite effrénée des mélodies et des rythmes toujours envoûtant de cette musique. Nous sommes dans l’angle d’une salle qui en fait un droit autour du bar. Nous sommes donc parfaitement situés pour voir et entendre les musiciens et le volume sonore permet malgré tout de continuer normalement notre conversation. Les filles arrivent à la moitié de la seconde bouteille et un ami nous rejoint. Personne né propose de s’arrêter en si bon chemin. Marc installe une troisième table et la traversée peut continuer.
(Voir photo ci-​dessous)
Je vais faire simple dans ce cours paragraphe descriptif obligé. Tout le monde trouve son compte sur une carte simple, appétissante et surtout abordable dans ce quartier de banques subventionnées des Grands Boulevards. La formule entrée, plat du jour, dessert et verre de vin est à 20,50EUR. Personne n’a renié ses choix et nous nous sommes régalés avec des assiettes copieuses et agréablement présentées. L’endroit est très sympa et pour les amateurs de plus de calme, sachez qu’un second étage accueille le double de convives par rapport au rez-​de-​chaussée qui se vante de la même chose au sujet de la cave où les clients peuvent aussi se réfugier. Je laisse les matheux déterminer la répartition des cent quarante places assises ainsi que la vitesse à laquelle le train a ramené Fernandel en Allemagne dans «La vache et le prisonnier». À un stade avancé d’alcoolémie je né compte même plus les places en terrasse.
Nous avons passé une magnifique soirée et ce n’est pas uniquement grâce à nos deux tournées de digestifs. On y mange très correctement, la musique est excellente, on s’y sent vraiment bien.

Le Café Marguerite est idéal à cette période de l’année. Située à deux pas du boulevard Poissonnière mais dans une ruelle calme, il est très agréable de s’installer en terrasse au soleil et de discuter sans être gêné par le bruit des voitures ou les gaz d’échappement. A l’intérieur, on est tout aussi séduit par une décoration travaillée épurée et indus. Plusieurs fois par mois, le lieu organise des soirées jazz et accueille des concerts de groupes locaux. La sélection musicale est toujours bonne allant du trip hop au rock. Le prix des menus vont de 12,50 € à 20,50 € pour des produits artisanaux, des vins et du café de très bonne qualité.