Le Sot l’y Laisse

Les entrées sont vraiment très bonnes, les plats sont au niveau d’un vrai resto gastro et les desserts sont aussi très bons.
En entrée le foie gras était très très fin (et je suis du pays du foie gras :-)) en plat le Ris de veau était à tomber: cuisson parfaite, croustillant dessus et moelleux dedans, accompagnement parfait bref un délice. En dessert un mille feuilles aux framboises très fin.
Les prix sont au niveau de la prestation.
Acceuil charmant avec sa touché japonaise!!!

Le Sot l’y Laisse est une adresse discrète à deux pas du cimetière du Père Lachaise et du métro L2 Alexandre Dumas.
La décoration est résolument petit bistrot: petites tables rapprochées, carte présentée sur une grande ardoise au mur, vin à choisir sur base de bouteilles vides disposées sur une table à la nappe un peu improbable.
On pourrait s’entendre à devoir commander une entrecôte mais ça serait sans compter sur la magie du chef Eiji Dohara, ex-​Bocuse, qui exécute dans les coulisses une cuisine fusion franco-​japonaise. Plus française que japonaise à vrai dire.
En entrée, j’ai testé le thon albacore «tataki» (mi-​cuit, légèrement vinaigré et accompagné de gingembre) et son pesto basilic, un plat tout en simplicité qui permet d’apprécier le soin particulier donné au choix des produits frais. Servi avec une (énorme) salade, le thon est vraiment délicieux.
En plat principal, j’ai pris le pigeon entier et sa sauce salmis, une sauce au vin rouge légèrement épicée: les morceaux nobles de pigeon utilisés sont parfaitement relevé par la sauce au vin.
En dessert, nous avons partagé un mont blanc meringué à la crème de marron. Il est accompagné d’une boule de glacé au cassis et une petite sauce chocolat: aussi bon que léger pour terminer le repas.
On apprécie la très grande gentillesse du service à la japonaise, c’est un peu à la bonne franquette mais c’est fait avec un tel sourire qu’on se sent presque en famille.
Compter 50 € par personne avec les vins. N’oubliez pas de réserver.

C’est une excellente découverte avec des mets très fins revisités par un chef japonais.
Les aliments sont frais, le goût y est !
Le risotto aux truffes est d’une finesse incroyable, les sarcelles de saisons sont parfaitement cuits, une cuisson rosée très réussie (encore mieux que mon sud ouest d’origine), le cabillaud et très bien préparé, tout est très doux, fin, original (surtout le blanc manger aux champignons ou à la sésame noire ou encore le foie gras dans le potiron)…
Que de bons points, de bons, même d’excellents mariages classiques (sarcelles et orange) mais également qui sortent du commun !
C’est une très bonne découverte à Paris, (surtout pour Paris !).
Personnellement, je né juge plus sur la quantité mais la qualité, et la qualité y est !
Le service est original (pas de carte de vins, il faut aller choisir sa bouteille sur une table) mais très soigné, avec des serveurs soucieux de la qualité et de votre bien être !
Ps: il n’y a pas de menu, tout est à la carte, pensez à réserver ! Le restaurant s’est très vite rempli et la majorité des personnes avaient déjà réservé !

Resto très sympa, personnel aussi avec un français pas 100% opérationnel mais ça donne un peu de charme. Niveau plat, c’est très bon, rien à redire. Après les tarots, ben on est à Paris donc ça peut paraitre un peu cher (environ 50e pour entrée plat dessert le soir.

Highly recommended. The friendly Japanese couple that run this restaurant are sticklers for quality food and guest experience. Enjoyed all of the dishes and wine by the glass. Reservation is required as there are only 20 – 25 seats and the bistro is popular with locals in the neighborhood. Budget € 50 for entrée, main, and dessert. Dinner for two with a glass of champagne and two glasses of wine each came to € 134 total. Next visit to Paris, I will try again.

En ce qui me concerne j’ai été ravie par les lieux: un bistrot encore dans son jus, sans artifice design bobo. Aussi, on a de la place, on né partage pas la conversation du voisin: gros point positif.
Son épouse était seule en salle ce soir-​là et ils n’étaient que deux en cuisine du coup il né fallait pas être pressé. Ca tombe bien, je né l’étais pas.
L’entrée (ventrèche de thon albacore mi-​cuit, mesclun japonais) était bonne, le thon était magnifiquement bon mais le global manquait de «prestance».
Le plat (ris de veau et purée de panais) était à tomber, j’en ai encore des larmes qui me coulent. Rien que pour ça, ça vaut un 5 étoiles.
Les prix né sont pas donnés, j’en ai eu pour 50 € avec entrée, plat et 2 verres de vin.
Mais franchement j’y retournerai sans hésiter!
Une adresse idéale pour une repas en famille, au calme.

Depuis longtemps, je voulais tester ce restaurant dont le nom mystérieux pour les incultes dans mon genre fait référence à une partie du poulet censée être l’une des meilleures, si ce n’est la meilleure, et souvent tristement oubliée sur la carcasse: le Sot l’Y Laisse.
Ici, ça sent la France, et le Japon.
La France, pour le nom, évidemment. Pour le lieu aussi, qui n’est certes pas d’une grande originalité puisqu’on est dans le bistrot parisien dans tout ce qu’il a de plus classique. Pas de fioritures, pas de folie, du simple, de l’efficace, une trentaine de couverts maximum. L’impression que l’endroit fut repris tel quel est bien présente.
Le Japon, pour le service, certes un peu maladroit, mais agréable, poli. Mais surtout pour le chef Eiji Doihara, qui nous propose pourtant une cuisine bien de chez nous avec une touché par-​ci par-​là de là-​bas. La faute à un petit chef, pas très connu, un certain Bocuse, dont le nom figure sur la veste du chef Doihara, ce dernier ayant sévi dans la brasserie tokyoïte du maître.
Pour l’entrée (entre 10 et 20 euros à la carte), je n’ai pu résister à la tentation de la fricassée de sot l’y laisse aux champignons confits et poireaux grillés, histoire de réduire un peu mon manqué de connaissances culinaires. La fricassée bat à l’unanimité le choix des copains pour la ventrèche de thon albacore mi-​cuit, mesclun japonais et pistou basilic ou pour le risotto de riz brun au foie gras poêlé, bien que les assiettes se terminent avec plaisir.
En plat principal (entre 26 et 29 euros à la carte), nous nous sommes délectés de la queue de lotte rôtie au bacon et sa purée de topinambours et de la cuisson parfaite du filet de canette fermière de Challans aux endives meunières sauce grand veneur. Le filet de bar de ligne aux petits légumes croquants à l’aneth, sauce vin rouge finira en troisième position tout en se défendant plutôt bien.
Les desserts (entre 7 et 9 euros à la carte) sont bons bien que très classiques et à mon sens pas indispensables: moelleux chocolat «valhrona «et glacé à l’armagnac, tatin de pommes et glacé à la vanille ou crème brûlée à la vanille pourront néanmoins faire saliver les amateurs de sucré.
Pour le vin, pas de carte, il faudra te diriger dans l’un de coins du restaurant pour choisir la ou les bouteille (s) qui agrémenteront ton repas. La preuve en image.
Au final, l’addition fait un peu mal (on regrette d’ailleurs qu’il n’y ait pas de menu) mais la qualité est clairement là. Bref, un petit coin sympa où très bien dîner si tu traînes vers Alexandre Dumas, là où les (bons) restos né sont pas particulièrement nombreux.

Un bistrot gastronomique, un chef japonais formé à la cuisine Bocuse… Le Sot l’y Laisse s’annonçait alléchant, et pourtant…
J’ai aimé :
— l’accueil et le service, parfaits mais normal pour cette gamme de prix
— la finesse et l’originalité des plats. Mention spéciale à la lotte et au canard
— une carte de vins intéressante, avec quelques vins naturels au label Demeter
J’ai moins aimé :
— le cadre assez quelconque: peinture à refaire, chauffage au sol et tables ordinaires
— le rapport qualité /​prix. 15 € l’entrée, 25 € le plat, 8 € le dessert en moyenne … l’addition est salée
— un peu léger en quantité sur les accompagnements des plats
— assez peu d’association cuisine française et asiatique au final, je m’attendais à quelque chose de plus original

Dé-​li-​cieux
Que de bonnes surprises ! Tout d’abord le nombre de tables a diminué par rapport à avant: on respire mieux. Ensuite, nous sommes dans le top des bars à vin parisiens, avec des plats que je rêverais de pouvoir refaire. La cuisson du poisson était parfaite, j’aime bien également en particulier les sauces émulsionnées qu’il maîtrise avec brio. Le chef a un truc pour cuire les légumes, c’est certain. Et j’ai vraiment aimé le dessert aux souvenirs indiens. Enfin, j’ai découvert la dégustation de sakés. Bref, j’y retournerai plusieurs fois, c’est certain.

Très bon restaurant
Un très bon rapport qualité/​prix, de la cuisine raffinée (avec des touches japonaises) et une ambiance très sympathique. Nous habitions le quartier et nous allons souvent dans ce restaurant.

Une perle rare
Une trouvaille ! Le restaurant a été repris depuis quelques mois, et c’est une merveille. Pour tout amateur de sot l’y laisse: une fricassé de sot l’y laisse en entrée vous ravira ! Le service est très attentionné. L’endroit est plein de charme. Je recommande ce restaurant !!

Une belle adresse avec un chef japonais qui retravaille les bases de la cuisine française. Certains classiques revisités d’une petite touché japonaise.

Très bon repas, accueil parfait, ce qui compte c’est ce qui est dans l’assiette et le verre! À déconseiller aux amateurs de décorum…

Un peu déçu par cette adresse encensée par le fooding… J’y suis allé samedi soir dernier. Le cadre, tout d’abord, laisse pantois. Ok pour les bistros qui se la jouent récup, tranquille, comme à la maison, à la bonne franquette, sans faire de chichis sur le mobilier, etc. mais là c’est too much. La peinture s’écaille, les bouteilles de vin sont posées près de l’entrée sur de pauvres tables recouvertes de nappes informes, et… juste au-​dessus des radiateurs de fortune qui viennent réchauffer un cadre résolument trop froid… En tout cas pas accueillant. Une peinture murale toute moche, etc. Bref, tout à refaire.
La carte, plutôt alléchante, nous a moyennement satisfaite. Mon cabillaud, purée de carotte et potion mariné et grillé, était pas mal… sans plus. Le dessert, un kaki poché, était pas mal également… Mais bon, je suis resté un peu déçu par cette adresse. On s’en sort à 40 euros par personne avec le vin… mouais… peut mieux faire !

Our friend recommended that we try this restaurant in the 11eme. This tiny restaurant with a capacity of maybe 25-​seats has gone through several owners in the past couple of years, with Eiji Doihara, a Japanese chef with a classical French resumé holding the current reigns. It’s an extremely simple restaurant, and devoid of almost any decoration. We were 4.
I was expecting French cuisine with a fusion of Japanese flavors, just because. Instead, we got some excellent classical French dishes with incredibly simple and beautiful presentation. The Japanese influences were there, but very subtle. For one, his Japanese aesthetics were quite evident when it came to his «plating.» The balance of colors, textures, and taste was a hit with all of us.
OK, let’s start with the menu. They had a pre-​fix lunch: 2-​courses for 18 €, and 3-​courses for 24 €. We opted not to have the pre-​fix lunch and go «a la carte.» Our wait-​person, explained to us that ordering from the main menu would take longer. Hmm, that’s a good sign. In my book anything that takes longer means, maybe they’re actually cooking the food, or parts of it versus warming it up and plating.
After we all made our decisions, two of the items we wanted: Crepinette de pied du porc au vin rouge et foie gras poélé, lentilles vertes (pig’s feet), Pigeon ramier d’esossé aux champignons sauvages, sauce au sang (pigeon) were only served for dinner, not for lunch. We had a discussion how we found it annoying that they don’t put a star or asterisks next to the dish to say dinner only, rather then getting our hopes up, but that’s the way they do in Paris, oh well.
2 of us had the «foie gras poêlé aus figues, réduction de viniagre balsamique» — Oh my God, not only was it presented beautifully, but was nicely seared on the outside and melt it your mouth tender inside. He probably was able to accomplish this by slicing the foie gras thin to avoid over and/​or undercooking.
I person had the «consommé, aux huîtres chaudes, légumes d’hiver grillés.» When I first saw the dish, my first thought was what are those little balls? So, as I tasted it it was like little crackers of some sort. We asked our wait-​person and she said they were «puffed rice.» Aha, so here’s the Japanese influence, aside from the presentation. The broth was delicious, and the juxtaposition of the different textures came together fabulously. A definite hit.
Another friend ordered the «terrine de poireaux au vert.» Marie loved the dish. It was encased in a gelée to keep it’s shape. Again, the presentation was beautiful, we’re seeing a trend here.
For our entrées 2 had the «margret de canard rôti aux légumes, croquants de Thiebault, sauce aigre-​doux.» They asked that the duck breast be cooked as the Chef would want it to be eaten, so it was on the rare side. I tasted it, I loved it. It was very juicy. But I am a sucker for anything duck.
2 of us had the «filet de turbot rôti, sauce Noilly Prat, purée de betterave poirée.» this to me was the most beautiful dish of all. It had color, texture, and height. Sounds like I’m talking about interior designing, but I loved the beauty of it. And, the fish was absolutely mild and perfectly cooked. The crispy purple potatoes and crispy turnips brought me back to my childhood when I use to put potato chips in my tuna fish sandwich. I’ve come a long way, n’est-ce pas?
And, now for dessert, three had the «kaki poché à la gelée de vin blanc, coulis de fruits rouges.» Since I’m trying to cut down on my sugar intake, I had the «assortiment de fromages.» My companions were kind enough to let me taste their desserts. Oh my God, loved the wine gelée and the poached persimmon was wonderful.
The cheese plate had comté, chèvre, and a soft brie. I forgot to mentioned, we loved the bread that accompanied our meal. And, I especially loved it with the cheese. I swore the bread was from «Poilâné». We asked our wait-​person, and she said, no she got it from a bakery in the 11ème. I did some research and discovered that it was definitely from Poilâné, they have very distinctive breads that cannot be mistaken, but they get it from their neighborhood boulangerie that sell Poilâné bread, voila, my taste-​buds have been redeemed!
It’s was an excellent find. If we had ordered from their pre-​fix menu our bill would have been much, much less and it really is good deal. However, we went a la carte, so our bill came to almost 66 € for each person which included two bottles of wine, 2-​glasses of white wine, and coffee. it was worth every centime! I would go back in a heartbeat.

Derrière une devanture quelque peu défraîchie se cachent des plats de très bonne qualité avec des produits frais et de saison. On sent qu’à l’élaboration des plats il y a beaucoup de technique (c’est normal c’est un homme qui cuisine !!) et de passion.
La carte parait simple, mais en réalité elle est travaillée et soignée.
Entrées originales: tartare de bulots, camembert rôti à la confiture de myrtilles. Plats: Tous les jours on vous propose 2 poissons frais (en entrée et en plats)., et bien sûr de la viande de terroir d’excellente qualité. Les desserts sont sans chichis, légers et frais. Formule à 14 EUR à midi.
On aime beaucoup et on le recommande !!!
Petit bémol: le Chef caché derrière ses fourneaux qui né sort que rarement en salle.

Dans un décor de bistrot très minimaliste, une cuisine qui la joue simple, mais qui est bonne.
La formule du déjeuner à 14 EUR (entrée-​plat ou plat-​dessert) est très satisfaisante avec deux choix pour chaque plat. Il faut être attentif aux vins, de bons à excellents, mais qui font vite grimper la note.
Le soir, pas de formule, donc la note devient un peu chère, ce qui gâte un peu l’attractivité du lieu.
Accueil sympa. La serveuse est de bon conseil.

Tout est fait maison, la cuisine est excellente, sans prétention.
J’aime particulièrement les framboises à la crème légère caramélisée.
Une cuisine très parfumée, avec de bons produits frais.
Réconforte le coeur également par le service très sympa.