Mandoobar

J’ai beaucoup aimé cet endroit.
Le cuisine est complètement ouverte, et vous pouvez les voir faire.
Le service est bien.
La nourriture est très bonne. J’ai commandé les raviolis au kimchi tofu, et porc /​bœuf. En plus, ce n’est pas excessif au niveau du prix. Je n’ai pas goûté les tartares car je n’aime pas le bœuf et le thon cru, mais cela était très appétissant.
J’y retournerai très bientôt.

3 étoiles pour le dépaysement, la déco et la joie de retrouver un peu de Corée à Paris !
Côté cuisine les mandoos kimchi (avec du porc) étaient très bons mais il n’y avait pas de thon le jour où nous y sommes allées donc il restait seulement le bœuf pour le choix du tartare. Bien assaisonné mais il faut avoir envie d’en manger.
Au final on sort en ayant encore un peu faim car les portions né sont pas énormes et quand même pour 25 € par personne. J’essaierais peut-​être d’y retourner pour le tartare de thon si je suis motivée.

Quelle délicieuse expérience que celle du mandoobar. Direction le 8eme, arrondissement que je né fréquente pas d’habitude.
Ici la salle est petite, vraiment petite mais bien agencée. On s’ assoit le long de comptoirs en U et on regarde le personnel s’affairer. C’est convivial, on aime. La décoration est très sympathique, harmonieuse, vraiment bien pensée. Bref le cadre est validé (chose assez rare dans un restaurant asiatique).
Côté service, rien à redire. Ils sont pros, rapides, souriants et aimables. Inutile de s’étendre.
La carte est à l’image de la salle: vraiment petite mais qui fait bien envie. Les prix sont très abordables. On part sur des raviolis bobungi et kymchi par 8 (choix entre 8,10 et 12 pièces). On regrettera d’ailleurs de né pas pouvoir en commander moins pour pouvoir goûter aux 4 propositions. On les accompagne de riz et d’une soupe Coréenne. Le tout arrive rapidement. Verdict: excellent. C’est bien assaisonné, léger. Ça se mange tout seul. On aime tellement qu’on recommande 8 raviolis à 2. Après tout les prix le permettent tout à fait.
En conclusion, on a adoré notre petite excursion au milieu des raviolis coréens. Pour le service, l’originalité de l’expérience culinaire, le rapport qualité prix, on reviendra le faire découvrir à nos amis c’est une certitude.

Un grand merci à mon ami Diego qui m’a fait découvrir cette superbe adresse Coréenne dans le 8eme arrondissement.
Réservation obligatoire car les places sont chères autours du grand bar où s’affairent les cuisiniers.
Pas de formules mais des prix assez doux et un choix simple :
— les fameux raviolis par 8, 10 ou 12 pièces avec différentes farces au choix.
— tartare maison et minute de thon ou bœuf.
— accompagnent: riz, soupe ou salade.
On opte sur 10 raviolis à partager et un tartare de bœuf + accompagnement.
Les raviolis arrivent dans leur panier. Ils sont parfaitement cuits et délicieux !!
Les tartares arrivent dans la foulée, personnellement je craque pour les tartares au couteau, c’est tellement meilleur !!!
Celui ci est parfaitement assaisonné de sauce soja, sésame et mélange de poivre.
Beaucoup de poivre d’ailleurs au départ c’est étonnant mais finalement savoureux.
Un riz blanc pour mon Diego et une soupe pour moi.
L’addition? 34 euros à deux, plus que correct pour le quartier!!!
Deux bémols: l’absence de dessert et les quantités un poil léger, préférez le riz à la soupe pour né plus avoir faim après ce déjeuner.

J adore ce restaurant… Assis derrière un comptoir en forme de U, le chef et ses assistants confectionnent de merveilleux raviolis Coréen … Quel délice et quelle finesse en bouche, un régal ! Pour continuer vous pouvez opter pour l un des deux tartares: bœuf ou thon préparés minutes sous vos yeux. Le chef né manquera pas de vous expliquer qu’elle est l origine du produit et comment il le prépare .
Si vous aimez la cuisine asiatique raffinée, surtout foncé au Mandoo bar!

Un restaurant très sympa. Autant de par la disposition des couverts autour du chef que de par le contenu des assiettes. Le chef est très cool: toujours prêt à discuter des produits, expliquer comment faire ceci ou cela. Et quant à la carte les produits proposés sont excellents .
Produits super frais, staff agréable, cadre super .
Si un bémol devait être émis: les produits font plus entrées que plats: il n’y a pas de plats à proprement parler.

Wahoo ! J’ai été conquise par ce petit restaurant.
Service au bar autour de la cuisine ouverte, ou l’on voit le chef préparer nos petits plats.
Carte minimaliste.
Raviolis vapeur au choix en entrée.
Suivi d’un tartare de Thon ou de Bœuf. Délicieux!
Accompagné pour nous d’une petite salade choux et pousses de soja, poivrons, radis jaune marinés et radis rose.
Juste parfait …

La devanture du restaurant né paye pas de mine, la choix à la carte est restreint, mais on se régale !
Il n’en faut pas plus pour mériter les 5 étoiles.
Le service est rapide, le chef prépare les plats sous nos yeux, sauf les mandoo qui sont déjà prêts et qui ont juste à passer quelques minutes en cuisson à la vapeur.
Les mandoo, parlons en !
La pâte est fine, ils sont fondants en bouche.
J’ai goûté ceux aux légumes (peut être un tout petit peu fades), surtout comparés à ceux au kimchi qui sont parfaits, et pas trop piquants.
Attention, ils refroidissent vite !
En accompagnement, la salade coréenne apporte un belle touché de fraîcheur. Elle est préparée minute sous le couteau expert du chef, parfaitement assaisonnée et très joliment dressée.
Je n’ai qu’une envie, c’est d’y retourner pour goûter cette fois ci les fameux tartares !!

Bonne expérience car les produits sont frais et faits devant vous. Toutefois la quantité semble largement insuffisante. Il faut prendre un tartare, un riz, une salade pour une somme de 16 € vous pouvez avoir à peine l’équivalent de 100g de viande et un demie bol de riz ailleurs. Au total, vous en avez pour ²⁵⁄₃₀ € pour un déjeuner léger.
Les mets sont bons par leur fraîcheur mais rien de frappant au biveau du goût. Pas de café ni de dessert à la carte. Ca tombe à pic pour une bobo du quartier et j’habite à côté mais je né suis pas sûre que l’envie me reviendrait de repousser la porte. Il y a tout de même un décalage du rapport qualité prix malgré ce quartier.

Ce petit restaurant propose une carte minimaliste composée de produits coréens. Pensez à bien réserver avant de venir, en effet il n’y a que 13 places autour du comptoir.
Le concept? On est assis autour du comptoir ou l’on peut voir le chef s’activer. La déco est minimaliste: un comptoir, un habit pendu au mur, du bois, une sculpture au fond du restaurant, ambiance zen de rigueur.
Les produits sont bons et frais, les mandoos sont bien garnis, seul inconvénient, il faut les manger rapidement sinon ils collent et refroidissent très vite. Le tartare est super bon !! Le riz est bof et la salade est correct.
Les portions restent assez minimalistes par rapport au prix pratiqués, mais ça restent tout à fait abordables. Le chef et la serveuse sont bien disponibles pour nous, on nous ressert l’eau à discrétion quand on a prit du thé.
Après je né ferai pas le déplacement exprès pour y retourner, meme si ce fut une bonne expérience.

Ca fait maintenant quelques mois que je suis à Paris et ce soir je né veux plus être celle qu’on prend par la main, celle à qui on fait découvrir un lieu incontournable de la Capital, celle qui est surprise. Ce soir c’est moi qui mèné la danse, moi qui lui en mettrai plein les yeux.
Face à un Parisien averti, difficile de surprendre avec une table qui n’a pas encore fait la Une des nombreux sites de bloggueuses de mode qui tissent la toile.
La tâche n’est pas simple mais je me prends au jeu et après quelques recherches, je me laisse séduire par 3 aspects du Mandoobar:
— une table
— 12 personnes max
— le chef cuisine sous vos yeux
Tout juste arrivés devant le Mandoobar, nous né pouvons nous empêcher de rester quelques instants devant le tableau que dépeint la vitrine:
Un bar en bois noble et lourd entoure l’espace d’expression du chef coréen qui ravit les papilles des convives assis à un mètre de lui.
Nous rentrons… le calme et la sérénité nous envahissent, l’appétit aussi. Un tiers du cocon est occupé par l’exposition d’un instrument à cordes qui donne le ton. Ici les classiques des restaurants parisiens sont bousculés: le diner se passera hors du temps, dans la sérénité, au plus proche du chef et du goût.
Je dois dire que l’idée de manger autour d’un bar m’a tout d’abord surprise et je craignais de me sentir mal à l’aise de manger côte à côte avec de parfaits inconnus. Mais l’harmonie du lieu, la subtilité de l’agencement de l’espace et la chaleur humble du chef nous a conquis.
Quant à la cuisine, je vous conseille de prendre la carte, et de tout commander. J’ai un faible pour le tartare de thon fondant. Mais le mieux est de tout prendre et de partager. Vous pourrez ainsi vous faire une idée de chaque met.
Merci au Chef et à son équipe, pour leur talent, leur douceur et leur présence. Ce soir j’ai réussi mon pari, en mettre plein la vue à mon Parisien avec une table qui mériterait bien plus d’écho, quoi que… Cette adresse on la garderait bien pour soi.

Au beau milieu des magasins d’instrument de musique, le Mandoobar semble s’être un peu perdu Rue d’Edimbourg
Et pourtant dans cette ancienne boutique de guitares, on compose aussi.
Une décoration épurée, un mur en briques qui fait face à un mur en patchwork typiquement coréen, un hanbok, une cithare et 12 privilégiés, pas un de plus, pour admirer le spectacle qui se déroule derrière le comptoir.
Aux commandes, le Chef Kim Kwang-​Loc qui confectionne sous vos yeux et à la minute, ses spécialités coréennes, ses fameux Mandoo (raviolis) déclinés en version légumes, à la viande ou au Kimchi, de 7 à 11 euros, en 8 ou 12 pièces, cuits à la vapeur dans de mignons paniers
Après quelques minutes de cuisson ils arrivent luisants et transparents, laissant apparaitre la farce
Ceux au Kimchi (chou fermenté aux épices) sont bons, ceux aux légumes (tofu, poireau, algues et ciboule) un peu fades et ce malgré une petite trempette dans la sauce soja et sésame
Ce qui m’a réellement gêné, c’est leur température.Ils refroidissent assez vite et collent à très court terme au papier cuisson .c’est un peu dommage
Néanmoins, le coup de cœur est venu pour le tartare au bœuf à l’huile de sésame
Extrêmement simple visuellement, sa confection nécessite une certaine maitrise. La viande est hachée au couteau et assaisonnée à la perfection par le Chef
Petit regret: un goût de trop peu et oui tant ce tartare était excellent
Coté accompagnements, c’est assez sommaire mais çà suffit: riz au soja, salade coréenne ou soupe coréenne de saison (de 3 à 5 €)
Dernier point pour les becs sucrés: né cherchez pas les desserts .Il n’y en a pas
Attention, dernière recommandation: victime de son succès la réservation est quasi indispensable ! 2 services au déjeuner 12h et 13h qui font salle comble, je vous aurai prévenu
A découvrir donc !

Une telle adresse à 2 pas de chez moi, et j’ai failli passer à côté?
Heureusement, après un fail retentissant pour partager cette expérience avec les autres Unilocaleurs lors d’un UYE, je décide de m’y aventurer toute seule un jour où je travaille depuis chez moi.
Etant seule, plus facile de réserver le jour même, j’arrive à décrocher une place pour 12h tapantes. Je suis à l’heure, et découvre le chef, son assistante discrète et la salle en déco minimaliste mais de bon goût du mandoobar.
Il n’y a que le comptoir (le chef me désigne ma place) duquel vous voyez le chef préparer. Pour ma part, c’était 12 mandoo à la viande, un tartare saumon, et un riz soja. Pas de boisson. Y aller pour une petite faim, car effectivement, la quantité est plutôt minimale (pour le riz et le tartare). Le tout? 26 €.
Alors oui, c’est pas donné, et finalement un menu assez simple… MAIS! Le tartare au saumon! C’est tout ce que j’ai à dire.

Un cuisinier, un comptoir de 13 personnes, pas une de plus, et quelques produits phares de Corée, c’est tout ce qui a réussi à faire le succès du Mandoobar en si peu de temps !
Le cadre est très agréable, tout de bois vêtu, c’est intimiste, on a l’œil directement tourné vers le chef et son assistante préparant les assiettes devant nous.
La carte est réduite, des Mandoos aux légumes, à la viande ou au Kimchi par pièce de 8, 10 ou 12, allant de 8 à 10 €; des tartares, de boeuf (9 €) ou de thon (10 €); des accompagnements, soupe miso, riz ou salade de kimchi et des thés.
Le choix est donc vite fait, ce sera mandoo aux légumes, tartare de boeuf et thé coréen pour moi ! Les Mandoo arrivent en premier et sont très vite servis, avec une sauce au soja et au sésame. J’ai trouvé les premiers mandoo que j’ai mangé délicieux, bien parfumés, la pâte est fine mais se tient bien, la farce a la consistance parfaite, bien moelleuse et très gouteuse et trempés dans la sauce soja sésame c’était super. Par contre, quelques minutes après, les Mandoo commencent déjà à refroidir et collent au papier dans la boîte en bois. La pâte se durcit un peu et ils perdent de leur moelleux mais c’était bon quand même.
Le thé corréen m’a été servi à la moitié de mes Mandoo et pour 7 €, je m’attendais à quelque chose de beaucoup plus prononcé en bouche mais que nenni, j’aurai pu reprendre pour le même prix d’autres mandoo ou un tartare !
En parlant de tartare, ils arrivent juste après, préparés en direct par le chef sous nos yeux en émoi. Il fait ça avec amour, ça se voit ! Je dois vous dire que normalement j’ai la viande crue en horreur, mais là, mais làaaaaa, qu’est-ce que c’était bon ! Le boeuf fond littéralement dans la bouche, son assaisonnement est parfait, du sésame, un peu de piment… Juste trop bon ! Pareil pour le thon. J’ai encore en souvenir ces sushis thon servis dans les japonais lambda où le thon est réfrigéré pendant des heures, un morceau épais, sans goût ou peut être de plastique… Ici, rien à voir, le thon a du goût, il fond dans la bouche, c’est bien iodé, quelques algues pour décorer et le tour est joué, de la bombe baby !
Bön par contre, je peux pas mettre 5 étoiles parce que 25 € pour un tartare, 8 Mandoo et un thé, c’est un peu cher, surtout que je né me suis pas du tout sentie calée à la fin !
Une photo de famille Unilocal et il est temps de rentrer (ou plutôt de gouter).

Petit restaurant dont la circulation de fait autour du «bar-​cuisine».
La cuisine se fait devant nous ou presque.
J’ai commandé une soupe au miso,
un assortiment de mandoo (viande et légumes) et le tartare de thon.
On sent que les produits sont bons et frais.
L’ambiance est calme et posée malgré la promiscuité puisque chacun n’avait que deux voisins possibles.
L’accueil et le service est sobre et tout en retenue. .à la coréenne.

Il est aisé de comprendre l’engouement que suscite ce lieu. Malgré son emplacement catastrophique sur le plan food l’établissement réussit le pari osé de faire rameuter tout Paris.
1/​on y sert des raviolis (mando en coréen), met dont les parisiens raffolent
2/​ils sont coréens, LA cuisine tendance du moment
Mais ce n’est pas tout. D’abord le Chef: passionné, agréable, gentil comme tout et aussi humble de ce ce que l’on peut connaître d’un asiatique.
Et les produits: frais, raffinés, délicats, doux. Une avalanche de pur plaisir je vous dis!
Les places sont comptées donc pensez à réserver!

Déco magnifique dans ce petit restaurant au nombre limité de places. Tous les convives sont autour du bar juste en face du couple de cuisiniers.
Menu court mais d’excellents produits et plats.
Les raviolis sont délicieux. Le tartare de bœuf est également extra !
Différents thés sont suggérés en fonction du plat. Le thé matcha est préparé de manière traditionnelle.
Bref, une excellente adresse

Une très belle découverte que ce Mandoo Bar !
Dans le quartier des musiciens, entre Villiers et la place de l’Europe, au détour d’une rue, se trouve le très discret «Mandoo bar».
Appelé ainsi du nom des raviolis coréens cuits à la vapeur, l’endroit porte bien son nom. Point de tables dans la petite salle mais un grand bar en u tout en bois qui propose une douzaine de couverts pas plus.
Au fond de la salle, devant un vêtement traditionnel coréen (hanbok) accroché au mur de briques, une grande cithare coréenne est suspendue, peut-​être pour rappeler que le restaurant était auparavant une boutique de violons.
Le chef, Kim Kwang-​Loc, spécialiste du mandoo, officie sous les yeux des clients devant un grand mur en morceaux de bois hétéroclites qui accueille toutes sortes d’objets corréens, tasses, couteaux, disques…
La carte, aussi minimaliste que le lieu, propose 2 sortes de raviolis, viande ou légumes, ainsi que 2 tartares, thon ou boeuf, préparés minute également. Pour accompagner le tout, trois accompagnements, du riz, une salade coréenne et une soupe.
Pendant que le tourne-​disque nous passé un bon vinyle coréen, les petites mains du chef façonnent à la minute de délicats mandoo. Et hop, direction le cuit vapeur !
Les raviolis fondent dans la bouche, un vrai régal d’une extrême finesse ! Ils se mangent sans fin !
J’ai choisi une bière pour accompagner le repas mais un vin coréen, le bek se ju, est, parait-​il, excellent, même si cela n’a pas grand chose à voir avec du vin apparemment.
Pour finir le repas, un thé servi en plusieurs manipulations par le chef apporte la touché de douceur même si on regrette l’absence de desserts coréens à la carte. Mais cela né saurait plus tarder, le chef pâtissier étant en attente de son visa.
À tester de toute urgence lorsque les desserts seront là, ou avant pour les impatients ! Réservation plus que conseillée surtout si vous êtes 2 ou plus. Le midi il y a 2 services.

Ce restaurant propose un spécialité Coréenne qui ressemble beaucoup à des Gyoza. La différence c’est qu’ils né sont pas frits, il en résulte des raviolis à la pâte très tendre et fragile.
On adore voir le chef travailler des produits de très bonne qualité, le tartare de thon ou de Bœuf est préparé sous vos yeux. Les morceaux sont bien choisis, mais les portions pourraient être un peu plus généreux. Les Mandoos à la viande remportent tous les suffrages, ceux aux légumes ont une garniture ssez sèche et le tofu n’aide pas.
Comptez 20 euros pour un déjeuner correct avec Mandoo, accompagnement et tartare.
La réservation est impérative, il n’y a que 12 places et généralement il faut s’y prendre la veille!

Ce petit établissement authentique niché non loin de la gare Saint-​Lazare, dans le quartier des luthiers, démarre bien fort. J’y suis allée pour le déjeuner et le comptoir était encore complet vers 13h45. On a donc attendu un petit quart d’heure avant d’être installés.
La carte assez restreinte nous a permis de choisir facilement: ce sera 10 raviolis aux légumes et 10 raviolis au bœuf pour deux et une petite salade chacun. La serveuse a pris notre commande immédiatement mais on a attendu une bonne demi-​heure avant d’être servis. A éviter donc si on n’a pas un peu de temps devant soi.
Le point fort du lieu, en plus du service très doux et souriant, c’est sa configuration, qui permet d’admirer le chef en train de confectionner les raviolis minutieusement à la main. Alors oui, ces raviolis sont jolis, mais je dois avouer que j’ai été déçue. J’ai trouvé que ceux aux légumes avaient un goût un peu étrange et ceux au bœuf pas si exceptionnels. La petite salade nous a été servie bien après les raviolis, comme un plat secondaire, ce que j’ai trouvé assez dommage. Je l’aurais bien mangée en même temps moi. Elle était fraîche et assez fine, mais là encore, rien de bien incroyable. Au total: 13 € par personne, ce qui est tout de même raisonnable. En revanche, ça m’arrive assez rarement de sortir d’un resto en ayant encore faim, mais là, je dois dire que ce fut le cas. Gros appétits s’abstenir (ou prévoir un plus gros budget).
En ajoutant à cela le fait qu’on né peut réserver pour 12 et qu’ils né répondent jamais au téléphone, on peut dire que je n’ai pas été très emballée par le Mandoobar…