Eh bien Elodie,( ) tu me donnes envie de parler de «mon» Monop’ que je fréquente très souvent le soir après le travail. Fini le stress des magasins fermés, il est ouvert jusque minuit !!! Les caissiers sont très sympas et j’aime particulièrement leur côté «cool et light» qui fait du bien au cerveau quand vous avez dû être sérieuse face à des collets-montés toute la journée.;-(( Pas plus tard qu’hier soir, un client m’a rattrapé dans la rue pour me dire que j’avais oublié un sac-plastique de courses à la caisse. j’ai fait demi-tour en courant et là les caissiers étaient tout sourire… zen, l’un d’eux me tendant mon sachet… alors ??? j’ai oublié de râler… et j’ai même souri… c’est dire !!! A noter : Et je vais me faire des ennemis du côté des écolos… mais Monop’ reste un des rares magasins du quartier à toujours proposer des sacs plastiques GRATUITS pour vos achats. En toute logique avec leurs horaires tardifs, ils ont ciblé une clientèle qui rentre tard du bureau… parce qu’on né va pas encore bosser en prenant son caddie à roulettes… Un jour peut-être??? ;-)))
Jeanne A.
Rating des Ortes: 4 Paris
Le monop de Châteaudun pour moi qui vit à côté, c’est un peu comme le rabza du coin: j’y descend juste le soir quand tous les autres magasins sont fermés, pour acheter des trucs superflus dont l’envie me prend soudainement, style plaquette de chocolat ou bouteille de coca, voir de pinard quand je suis avec des amis à la maison et qu’il n’y a plus rien à boire. Autrement, j’y vais pas spécialement vu que c’est un peu cher comparé à Franprix et ED et qu’on trouve pas tout non plus. Après pour les beaux gosses, j’ai pas spécialement remarqué, mais croyez-moi je vais faire plus attention désormais, quitte à m’y arrêter à chaque fois que je passerais devant.
Julie d.
Rating des Ortes: 4 Paris
L’offre de Monop’ est moins vaste qu’un Monoprix mais tout de même plus large que celle de Daily Monop’. Mon Monop à moi présente un avantage: il est ouvert du lundi au samedi jusqu’à minuit. Alors, quand je rentre de soirée et que j’ai un petit creux, je file au Monop’. Idem pour les envies tardives de glaces(pralines and cream pour né pas citer une marque) ou de chocolat en regardant un DVD en plein hiver. Bön plan pour les célibataires: le soir, après le boulot, vers 20 h, les beaux gosses du quartier viennent y faire quelques emplettes pour manger sur le pouce. Et même si le prince charmant n’attend pas patiemment dans la file, c’est toujours amusant d’essayer de deviner l’identité de quelqu’un par le contenu de son panier. Cette idée me rappelle une légende urbaine que m’avait racontée la tante de mon ex: dans les années 80, les trentenaires qui n’avaient pas trouvé chaussures à leur pied arpentaient les rayons bricolage du BHV pour draguer les jeunes hommes qui y flanaient. Aujourd’hui, on va au Monop’ !