Musée Bourdelle

un musée à découvrir, lieu de paix calme et rafraichissant juste à côté des boulevards agités du quartier de Montparnasse.
Le musée est gratuit et on prend plaisir à connaitre la vie de ce sculpteur et de sa famille.
J’y suis allée un dimanche en plein après-​midi et il n’y avait pas beaucoup de monde, ce qui s’est révélé très appréciable, surtout dans l’atelier de Bourdelle (qui est resté «dans son jus»), pour se projeter dans son quotidien.
je recommande pour tous les amateurs d’architecture et de sculpture, ou tout simplement si vous voulez chiller tranquille sur un banc en admirant les sculptures du jardin

Il paraît que 5 étoiles c’est un coup de cœur, alors voilà: j’ai été transportée d’enthousiasme par le musée Bourdelle.
Dans un endroit central (près de Montparnasse), gratuit (gratuit !) pour les expos permanentes (l’essentiel en fait), et absolument charmant, ce musée a tout pour plaire.
J’adore l’idée que le lieu de vie ait été gardé, préservé et que nous visitions un ancien appartement et un ancien atelier.
Je suis venue dans l’idée de profiter des jardins et j’ai découvert bien plus !
On entre par un beau hall, avec déjà quelques panneaux explicatifs. On passé un portail de sécurité, on va récupérer un ticket (gratuit !) à l’accueil, on prend un plan… et on passé dans la première cour, assez sympa, même si la plus belle partie des jardins est après. L’idée, c’est de se poser sur un banc au milieu de la verdure, sachant qu’au milieu de la verdure, vous avez de chouettes sculptures.
Ensuite, vous avez l’espace en rez-​de-​chaussée :
— Le grand hall, magnifique, avec de très belles pièces, dans des formats immenses: c’est l’effet waouh total. Même moi, la sculpture me parle peu, mais j’ai adoré. En plus, c’est un sculpteur avec une palette très large, qui a développé beaucoup de styles différents, bref: à voir ;
— Un parcours avec une enchaînement de quelques salles qui permet de découvrir les œuvres les plus connues (certaines, comme le Héraclès qui tire à l’arc, sont présentes à plusieurs endroits du musée) et les différents styles explorés, de façon chronologique je crois ;
— Qui débouche (par un couloir /​salle de projection d’une vidéo) sur une annexe moderne qui héberge des frises (Théâtre des Champs Elysées, etc.) et des commandes type monuments «à la gloire de » ;
— Une reconstitution du lieu de vie du sculpteur (il y en a aussi un bout à l’étage) ;
— L’atelier qui a été conservé, et qui donne une pièce géniale, avec beaucoup de hauteur sous plafond, des bustes mis en scèné sur tout un mur, des outils, des établis… super ! Cette pièce donne sur une salle au fond qui explique comment on coule une statue, comment on fait un modèle et un moule… c’est très bien expliqué et très bien fait (particulièrement adapté aux enfants) — il y a également une vidéo qui tourne, on peut se poser devant ;
— Enfin, les jardins de derrière sont en enfilade et forment un écrin particulièrement heureux pour certaines sculptures absolument magnifiques. C’est très agréable de se balader dedans.
A l’étage, vous pouvez accéder à une galerie ouverte (qui donne sur la première cour), où sont exposés des bustes.
Le musée est par ailleurs loin d’être bondé. Le plus fort appréciable? Il y a de quoi s’asseoir un peu partout. Cela reste par ailleurs un petit musée, une heure suffit pour en faire le tour, sauf si vous vous arrêtez spécifiquement sur tout.
Entre les jardins, l’extérieur de briques et de charpentes en métal, et l’intérieur en verrière et en bois, l’atmosphère de ce musée est incroyable, on se sent totalement dans la peau et l’intimité du sculpteur, entouré par ses œuvres, dont certaines sont magistrales, belles et parfois très imposantes.
Chapeau à la famille Bourdelle et au staff pour avoir su préserver et mettre en valeur cet héritage.
Gratuit, ludique, bien placé… plus d’excuses pour avoir votre dose de beau !

Les ateliers pour enfants du Musée Bourdelle :
Voilà un musée plutôt méconnu des Parisiens eux-​mêmes, entre l’hôpital et la tour Montparnasse.
Pourquoi partir en vacances, alors que l’on né connaît pas encore tout de sa ville…
Les œuvres sont la plupart du temps impressionnantes même si je préfère les choses plus elliptiques.
J’en viens à mon sujet: les ateliers pour enfants proposés par le musée. Je les recommande vivement pour ce musée.
On est loin du cours de poterie de l’école. Je vous conseille de vous y prendre à l’avance pour être sûr d’avoir des places.
Pendant que votre enfant ou vos enfants s’initieront à la sculpture, je vous conseille un tour des collections permanentes du musée avec l’audioguide, plutôt bien fait.

I love the musee bourdelle. Bourdelle’s most recognizable sculpture is Herakles the Archer. He made numerous sculptures based on Greek and Roman figures.
I love the scale and grandeur of the main gallery which is a huge room over 40 ft high filled with bourdelle’s monumental works.
I’ve only visited in the winter where you are alone with a guard and the hum of the heaters. Every move you make echoes. Quiet yourself at the far end and take it all in. It’s a room to dream in.
Bourdelle was clearly an influence on Ray Harryhausen when he sculpted the Colossus for Jason and the Argonauts.
The museum is free. Not far from the Montparnasse train station. And just around the corner from the Stardom Shop selling Moebius collectibles.

C’est un très beau musée qui présente de nombreuses oeuvres sous une grande verrière. Allez-​y lorsqu’il fait beau pour apprécier dans les jardins, les sculptures en bronze d’Antoine Bourdelle après les avoir admirés en platre dans le grand hall. Les dimensions sont impressionnantes.

Un musée très méconnu, trop méconnu. Rien que l’allure de la maison et de son petit jardin vaut le détour, avant même d’aller admirer les nombreuses et fascinantes oeuvres de Bourdelle. Né pas y aller un jour de pluie, par conséquent. En plus, la gratuité de l’entrée né gâche vraiment rien.

A fantastic museum. The sculptures are astounding. The museum includes the artist’s studio, almost intact. It’s informative, has a beautiful garden, and is a true treasure. And it’s free.

J’ai été y voir l’exposition consacrée à Madame Grès (très très belle expo par ailleurs) et j’ai beaucoup aimé le cadre que lui offrait le musée Bourdelle. Lorsqu’il y a des expositions temporaires les tarifs sont de 7EUR plein tarif et 3,50EUR tarif jeune. C’est donc très raisonnable si vous bénéficiez des tarifs réduits !
S’il n’y a pas d’exposition temporaire vous pouvez accéder gratuitement aux collections permanentes. Je vous conseille de vous y rendre en transports (le musée est à Montparnasse), nous y avons été en voiture et avons eu du mal à trouver une place où nous garer.

J’avoue tout, je né suis pas allé au musée Bourdelle pour voir les oeuvres de Bourdelle, honte à moi !
Le jardin intérieur est cependant assez magnifique (même si avec un temps pourrave je n’ai pas vraiment pu en profiter) et les immenses statues donnent un air totalement hors du temps à cet endroit. Avec un peu de soleil, ça aurait été parfait pour bouquiner au calme.
Le musée en lui-​même est majoritairement très agréable, même si j’ai pas trop aimé certaines salles, bien trop sombres à mon goût.
Si j’ai payé mon entrée, c’était pour l’exposition consacrée à l’oeuvre de Madame Grès, et il n’y a pas photo (enfin si, y’en a plein des photos !), ça valait ses 3,50 € (je suis encore un peu jeune, donc moitié prix).
Couturière de renom, Madame Grès a lancé la mode des robes drapées dans les années 30 et a donné son nom a un pli monumental: en effet, elle utilisait 2,80m de tissu, plié et cousu directement sur le mannequin, pour obtenir 7 cm de tissu fini.
Oui, vous avez bien lu: 2,80m de jersey de soie pour 7 cm de robe. Certaines de ses robes ont donc plus de 20 m de circonférence !
D’abord impressionnée par la technique, je suis ensuite ébahie par les robes en elles-​mêmes. Pour la plupart, elles pourraient être portées en 2011 sans aucun souci. Une preuve supplémentaire que la mode né fait que se renouveler et que l’on n’invente plus rien…
En plus des nombreuses robes visibles, beaucoup de photos utilisées à l’époque par Vogue France, Vogue US et Harper’s Bazaar sont exposées. On peut aussi voir nombre de croquis qui sortent directement des carnets de note de Madame Grès.
L’expo «Madame Grès, la couture à l’oeuvre» est ouverte jusqu’au 28 août 2011, donc si jamais vous n’avez rien à faire de votre après-​midi, n’hésitez pas, c’est vraiment sublime !

Nous avons visité ce musée à l occasion de l exposition Mme Grès qui était dissimulée un peu partout au milieu des sculptures et avons été séduites par ce mélange! le musée est très calme, agréable et intéressant. Cela change des musées parisiens parfois trop fréquentés. Un excellent souvenir!

Dans le jardin et les ateliers où Antoine Bourdelle a vécu et travaillé, on peut aujourd’hui découvrir plus de cinq cents plâtres, marbres, bronzes. Il fut le collaborateur de Rodin, le maître de Giacometti, de Germaine Richier, de Vieira da Silva.
Autour de ce témoignage unique, une rétrospective de son oeuvre méconnue prend place depuis les salles de la maison familiale jusque dans les jardins peuplés de figures allégoriques. Quelques 3 000 sculptures, plusieurs milliers de dessins, aquarelles et cartons de fresques, une centaine de pastels, 5 000 plaques de verre et 3 000 tirages papier sont exposés.
A noter: comme tous les musées municipaux, le Musée Bourdelle est gratuit le dimanche.

Le musée Bourdelle, il suffit d’y aller une fois pour s’en souvenir toute sa vie. En effet le lieu respire un calme et une authenticité toutes particulières puisque les sculptures d’Antoine Bourdelle sont exposées aussi bien à l’intérieur de ses ateliers que dans le jardin. On y trouve aussi bien des plâtres, des bronzes et des marbres de celui qui côtoya Claudel.
Le genre de musée où emmener des enfants qui n’aiment pas aller au musée.

Le musée Bourdelle est installé dans l’ancienne demeure, les ateliers et les jardins de l’artiste. Le plasticien de Rodin et le maître de Giacometti a laissé un très bel héritage de plâtres, de bronzes et de marbres. Depuis quelques années, le musée accueille aussi des créations contemporaines. Toujours un plaisir de se promener en été dans ce cadre romantique…

Ce musée de la ville de Paris est consacré à l’oeuvre du sculpteur Antoine Bourdelle (1861 – 1929) et prend place là-​même où l’artiste officiait. C’est l’architecte Christian de Portzamparc qui transforma à 1992 l’atelier originel en ce qu’il est aujourd’hui: une institution très agréable à parcourir où la noirceur des bronzes vient cogner le rythme entêtant des briques.
Mais au-​delà du culte des ancêtres, ce lieu rayonne par la programmation d’art contemporain qu’il accueille depuis 2004 à l’initiative de sa courageuse directrice.

Un musée peu fréquenté qui permet de découvrir de superbes sculptures art déco d’Antoine Bourdelle en toute tranquillité.
Des expositions temporaires de jeunes artistes déjà reconnus sont aussi organisées.
Un vrai bonheur !

Trop méconnu
Ce musée est trop méconnu, tout comme Bourdelle, qui mérite plus de notoriété et surtout de visites ! Je connaissais le sculpteur, j’ai eu envie de voir son musée, je n’ai pas été déçue. Déjà le cadre, le jardin, la maison, l’ensemble des oeuvres; je né comprends pas la forme d’oubli où est cantonné cet artiste. Il faut y aller !

Le musée Antoine Bourdelle a été construit autour de l’atelier et de la maison de l’artiste dans le quartier Montparnasse. Oasis de tranquilité en bas de la tour, belle balade pour un dimanche tranquille il n’y a quasiment jamais personne ce qui est vraiment dommage car tout est beau: le lieu (dédale de piéces plus ou moins éclairées, sous-​sols gigantesques), les oeuvres (Hercule qui se la joue avec arc et flèches, minotaure blessé, cheval géant dont la réplique se trouve quelque part à Buenos Aires). Envoutant

Une belle surprise
Le musée Bourdelle conserve l’atelier et l’appartement du sculpteur intact, mais dépassé largement cette dimension de simple souvenir avec un immense hall des plâtres construits en 1961 et une extension réalisée par Christian de Portzamparc en 1992, ce qui permet de présenter une très large part de l’oeuvre de cet élève de Rodin, depuis les plâtres originaux jusqu’aux bronzes à l’extérieur. La visite rend justice à cet artiste un peu oublié, en montrant qu’il n’a pas fait que son célèbre Héraklès Archer, et les deux jardins sont fort agréables pour présenter certaines des oeuvres. Les expositions temporaires sont en revanche d’intérêt très inégal… Gratuit hors expositions temporaires.

Intéressant, bucolique et imposant
La présentation de l’oeuvre de Bourdelle méconnue se fait dans les meilleures conditions. Un nombre suffisant de salles et de cours intérieures permettent de laisser respirer ses sculptures monumentales. Cet art néoclassique un peu massif y trouve ainsi de la grâce; les cartons explicatifs sont bien faits. L’exposition d’art contemporain de Pariente actuellement est très intéressante, elle joue sur les volumes dans le labyrinthe où apparaissent quelques oeuvres de Bourdelle et fait ainsi écho aux salles en dessous du rez de chaussée construite avec des puits de lumières. Comme on peut monter également à l’étage pour voir le cheval d’en haut, c’est un musée en trois dimensions ! Les enfants sont les bienvenus, il y a de l’espace et ils né risquent pas de casser quoi que ce soit.

Un musée de bronze
Le musée Bourdelle présente l’oeuvre monumentale de l’artiste éponyme à qui cette maison servait d’atelier. Conservée en état, cette dernière offre une visite intéressante aux amateurs de statues de bronze.