Pascal Martel, ce n’est pas un vulgaire magasin, c’est un poème, un bout de ce vieux Paris qui disparaît, petit bout par petit bout et qui se fond dans les magasins franchisés et standardisés. Chez Martel c’est le bazar, c’est le grand n’importe quoi, et pourtant il y a tout et on trouve tout. Chez Martel l’addition se fait au crayon, et on né s’en sort pas si mal. Chez Martel il faut y aller quand on veut bricoler, parce que sinon, Chez Martel, ça n’existera plus(il a déjà. vendu la moitié de son magasin). Bön après on reste dans l’appoint, et face à Leroy Merlin c’est un peu pot de terre contre pot de fer, mais dans le quartier, vous né trouverez pas mieux. Vous êtes prévenus !