Polykim

2015, l’endroit n’a pas change. les commentaires précédent sont toujours d’actualités.
Cette endroit devrait faire l’objet d’une inspection surprise des services d’hygiènes le plus tôt possible.

Comme beaucoup d’autres personnes, j’aime que l’on me fasse rêver.
Et Polykim m’a rappelé les grandes différences entre le rêve et la réalité.
Sur papier c’est un karaoké idéal, il propose des box individuels pour les groupes qui souhaitent chanter faux à tue-​tête sans pour autant se payer la honte devant en public.
Je me décide donc de me lancer dans la magnifique aventure du monde du chant pour l’anniversaire d’une de mes meilleures amies.
J’ai donc effectué une réservation pour 13 personnes pour 22h.
La personne au téléphone me confirme la réservation et me dit qu’elle nous mettra dans un box privée VIP. L’entrée est gratuite cependant une consommation minimum de 25 euros/​personne est obligatoire.
Je né connais pas les prix des karaokés, mais si les 25 euros sont utilisés pour payer les consommations, je trouve cela relativement correct.
Le jour même de la réservation, l’employée me rappelle pour confirmer et me dire que le box n°3 nous est réservé.
C’est une fois arrivée sur place que la réalité me frappé en plein visage.
Une enseigne fluo néon kitsch à mourir, digne d’un sex shop m’accueille à l’entrée. C’est magique!
A l’intérieur, il faut descendre les escaliers pour aller au sous-​sol dans des caves mal éclairés. Rassurant!
Pas de signe d’accueil ou de personnes travaillant ici pour m’aider ou me guider.
C’est à ce moment-​là que j’aperçois les trois lettres «VIP» écrit à la va-​vite au FEUTRE! directement sur le mur. (peut-​être sont-​ils amateur de street art?)
Je m’oriente donc dans l’espace indiqué j’aperçois une petite porte bancale qui ferme mal avec le numéro 3 écrit dessus.
Notre fameuse salle de concert est donc une petite pièce de moins de 10m, mal éclairé, mal isolé, qui sens l’humidité à plein nez. Joie et bonheur vous dirais-​je!
Au bout de 10 minutes une femme (qui semble passer une très mauvaise soirée au vu du regard qu’elle nous jette et de la tête qu’elle fait) vient prendre notre commande. Cette exemple vivant de gentillesse et de délicatesse nous explique en 3 mots de français approximatif l’utilisation du karaoké et de sa télécommande.
Disons que nous avions de la chance d’avoir des personnes savant lire le mandarin dans notre groupe de Castafiore pour essayer de comprendre nous même le fonctionnement de cette télécommande.
L’euphorie de chanter du «It’s Raining Men» et «Single Ladies» entre filles nous font passer outré les prix exagérés des consommations et 10 euros la bouteille de coca, 12 euros la bouteille de bière, 30 euros la bouteille de vin de sauternes (et pas du meilleure). Nous commandons donc de gaieté de cœur 3 bouteilles de vins, 3 bouteilles de bières et 1 bouteille de coca.
Mais il semblerait que cela est insuffisant pour calmer la serveuse qui est repassé 3 – 4 fois car nous né commandions pas assez vite nos consommations. J’essaie de la rassurer en lui expliquant que nous consommerions chacun pour 25 euros pour plus et qu’elle n’avait pas à s’inquiéter. Nous préférions juste commencer en douceur sans devoir nous bourrer la gueule de suite.
Cependant deux heures avant la fermeture (qui est à 2h du matin), les deux serveuses arrivent en force dans notre box «privé».
Elles interrompent notre chanson pour nous dire qu’il fallait qu’on consommé et qu’on commande immédiatement.
Outré l’impolitesse du ton employé, je trouve cela affolant qu’elles soient sur notre dos 24h pour nous dire qu’il fallait qu’on boit plus et plus vite.
Nous avons donc commandé le reste des boissons pour arriver au montant minimum afin d’avoir ENFIN la paix et pouvoir chanter tranquillement sans être interrompu.
Mais non nous n’avions pas fini d’être surpris au pays du karaoké «où un bon client est un client qui doit être vite bourré et sortir ses liasses d’argent le plus rapidement possible». C’est ainsi qu’une heure avant la fermeture du karaoké, Mme tête de bouledogue arrive en nous réclamant son argent. Quand je vous dis réclamer, c’est littéralement RECLAMER. Machine bancaire dans une main, et l’autre main tendue.
Pour résumer, j’ai passé une excellente soirée, mais ce né fut en aucun cas grâce à un Polykim sordide et encore moins à son personnel hostile mais plutôt grâce à la compagnie de mes amis déjantés qui ont savent faire les fous malgré des situations pas toujours idéales.
Autres anecdotes utiles:
— Les toilettes né sont ni lavées, ni entretenues au cours de la soirée et sont utilisés comme vide liquide par la cuisine.
— Pour le bien être de votre digestion né prenez rien à manger ici si vous avez un estomac sensible. Je suis passée devant les cuisines après avoir FINALEMENT trouvée l’accueil (qui se situe tout au fond de la cave, logique!). Disons que la cuisine est à la hauteur de leur professionnalisme et sérieux.
— les pièces box (VIP ou pas, car ça né fait aucune différence) sont très mal isolés, donc attendez-​vous à faire des medleys avec vos voisins!

Awful place. The karaōke rooms are tiny and dirty. Terrible sound quality, playlist and service. We were 17 in what looked like a 8 square meter room. 30 minutes after we were set the waitress annoyed us in order to pay 25 € per person immediately. Who do they think they are to charge a 8 square meter room for 425 € ?
This place doesn’t deserve a star.

Ce karaoké est une expérience assez incroyable.
En passant devant on se demande déjà si ce n’est pas fermé depuis 10 ans, mais non, il faut descendre dans une cave qui sent les égouts et qui ressemble à une sortie de secours d’un parking souterrain, et si vous né vous perdez pas vous allez apercevoir une serveuse patibulaire qui va vous conduire à une porte numérotée: ce sera votre box.
Si l’entrée était étrange, dans le box on se sent franchement plus à l’aise: bien que le local semble mal ventilé, il est relativement propre et confortable. Par contre la serveuse qu’on avait oublié alors qu’on s’installe est toujours là et demande qu’on commande tout de suite: c’est au minimum 25 euros par personne et elle restera plantée là jusqu’à ce que vous ayiez choisi parmi les plats tous plus chers les uns que les autres (le plus dur étant donc de né pas trop dépasser les 25 euros).
Bref, on commande, la dame disparaît enfin et on commence à essayer de comprendre comment marche la drôle de machine. Si vous venez avec des amis d’extrême orient, ils devraient être content, il semble que le répertoire en chinois, japonais ou coréen soit mille fois plus fourni que le catalogue français. Cela dit, ce dernier reste respectable pour une soirée où on se fera pas trop les difficiles (l’intégrale des musclés? ouééé!)
Arrive le vin, un pinot noir d’alsace, le genre de vin de table qui normalement né fait pas de fausse note. Manqué de pot, le vin avait tourné, le goût était immonde, heureusement un ami est allé le changer et bizarrement la serveuse qui était restée sur le palier lui a changé sur le champ le vinaigre contre un rosé ordinaire. On aurait dit qu’elle savait déjà que sa cargaison était avariée.
Suivent les plats, dont je né dirai pas autant de mal que mes prédécesseurs: ils sont passables, mais juste trois fois trop cher.
Bref c’est les mains pleines de baguettes qu’on saisit les deux micros et qu’on commence à s’amuser. Parce que oui, un karaoké c’est rigolo, surtout celui-​ci, surtout avec ce répertoire où on trouve les musclés (ah je l’ai déjà dit?), la Bohème par Eminem (les titres sont tous un peu bizarres) et l’intégrale de Eddy Mitchell, dans des formats à chaque fois différents moi j’dis rien, mais on dirait que tous les morceaux ont été piraté d’un peu partout.
Bref on a payé 40 euros chacun mais on s’est bien amusés.
Mais on né reviendra pas. C’était un accident.

A éviter
Le concept est une très bonne idée. Mais l’endroit est très sale. La nourriture plus que douteuse.

Je connais ce karaoké depuis plusieurs années et je reconnais que le resto est assez spécial. Par contre j’ai le seul resto que je connais et qui propose des box privés.
Entrée:
On descend dans un espece de tunnel bleu.
Une fois en bas on capte très mal avec le telephone portable
Salle:
Je trouve que les salles sont acceptables. Il y a une petite dizaines de salles. Il y a des canapés et une table dans chaque salle + 2 micros + 1 écran pour choisir ses chansons + 1 écran où passé la musique
Répertoire ;
Il y a beaucoup de musiques (récentes et anciennes) et il propose de nombreuses langues (chinois, francais, anglais, espagnol) C’est sympa car ya beaucoup de choix
Plats:
Par contre les prix sont exorbitants! Il faut payer un minimum de 25EUR par personne en plats.
Il y a du choix mais les prix des plats sont chers
Service:
Horrible, le service est vraiment pas top et pas du tout agréable.
En conclusion, je vais encore de temps en temps là bas car c’est agreable de se retrouver entre amis pour changer et manger. On passé toujours une très bonne soirée en sortant de la bas car l’ambiance karaok” c’est toujours sympa. Mais on fait abstraction du service qui est vraiment pas bon.

Alors on a réservé pour un vendredi soir 26 oct 2010, on avait lus les retours et la réputation… bon déjà conso mini 24 EUR /​personne (on allait être 8 – 9 environ) l’avantage était les box… quasiment les seuls sur paris qui ont aussi des chansons occidentales…
L’après midi même on passé pour jeter un coup d’oeil, on toque.
une femme japonaise nous ouvre mais né comprends pas trop ce qu’on veut.
elle appelle le mec
on explique qu’on veut voir pour ce soir
le mec nous sort (je cite mot pour mot):
«Non! Vous venez, vous payez, après vous voyez»
Sympa ! Évidement on a laissé tombé, on a dépensé le budget pour un festin dans un restaurant…

Tout est dit dans les précédents commentaires, cet établissement est malheureusement à la hauteur de ce que l’on trouve dans le quartier des halles…
Assez sordide donc et un accueil très froid.
A né pas tenter!

Je crois que, comme la plupart des clients qui ont tenté leur chance à Polykim, nous avons eu droit avec mes ami-​e-​s à un numéro de spectacle inégalé :
— carte confuse, sans logique et pleine de fautes.
— personnel infect (zéro sourire, gueule le nom des plats, vous bouscule sans dire pardon si vous les gênez)
— service étalé sur plusieurs heures (2 cuissots — mais à quoi est dédié le restant du personnel ??) et complètement anarchique où les desserts sont servis avant le plat principal, où vous pouvez né pas du tout être servi (et vous entendre rétorquer le contraire et vous traiter quasiment de menteur)
— refus de servir un pichet d’eau (est-​ce légal ?). En activant la clim’, ils nous ont rendus moins exigeants sur ce point…
— boisson à partir de 10EUR (sodas, eau minérale, je né parle même pas de l’alcool)
— locaux limite insalubres et crades
— bouffe balancée dans le lavabo des toilettes, locaux inondés mais c’est pas grave
— charmante benne à ordure qui trôné bien dans le passage, pas loin des denrées alimentaires
— on né capte pas le GSM dans les cabines. C’est pas très grave, sauf quand des amis arrivent plus tard et qu’ils s’entendent répondre à l’accueil qu’il n’y a aucune résa à ce nom (il faut bien le dire, le personnel comprend et baragouine le français comme je parle le martien).
Le top du top :
— bouffe hors de prix (10EUR /​plat en moyenne, même le riz) et archi-​dégueulasse: pas de cuisine à la vapeur, canard composé uniquement d’os et de gras, viande peu ragoutante et nageant allègrement dans la sauce grasse, litchis innommables à teinte marron, beignets «à la pomme» à la banane (logique), boule coco sans coco (re-​logique). Pour 24EUR, on serait en droit de s’attendre à une qualité légèrement supérieure à celle d’un traiteur de quartier et non largement INFERIEURE. Et le patron, pas froid aux yeux et sûr de lui, qui ose affirmer que c’est de cette manière que l’on cuisine dans le XIIIe arrdt. Quelle honte pour sa communauté et la cuisine chinoise en général !
Le meilleur pour la fin :
— après une âpre et longue négociation pour obtenir autre chose en remplacement du canard imbectable, après que le cuisinier ait refusé, après que le patron se soit contenté de me dire qu’ «avec un couteau, ça pouvait tout arranger», il a finalement cédé. Quelle né fut pas ma surprise de découvrir sur l’addition qu’il m’avait facturé le surcoût lié au remplacement, faisant singulièrement grimper ma note (et pas insignifiant car cette bande de voleurs a fait exprès de choisir les plats au tarif le plus prohibitif (et non à valeur égale). Pour reprendre leurs termes: «mais c’est vous qui avez voulu autre chose, donc c’est normal». No comment.
Quid du karaoké? Pas mal du tout puisque c’est la seule chose dans laquelle le gérant s’est donné a priori la peine d’investir. Micros sans fil + télécommande. Plusieurs langues au choix. Les derniers tubes sont des clips enregistrés sans scrupule sur MTV…
À bon entendeur, salut !

Situé en plein centre des Halles, ce karaoké aux couleurs pop et acidulées, est facilement repérable au milieu du gris du quartier.
De tradition typiquement japonaise, avec huit Karaoké box à dispo, vous pouvez choisir une des petites salles où chanter en tout tranquilité avec votre bande de potes.
Seulement, on n’est pas d’accord avec le concept de s’enfermer dans des salles de 5 m2 à 10 pour pouvoir chanter, alors ce qui est drôle dans un karaoké c’est aussi de pouvoir profiter des performances des autres!
On n’est pas d’accord non plus avec le principe de payer 24 Euros par personnes pour de la bouffe très douteuse et des lieux insalubres.
Ce karaoké fait parti des plus vieux de Paris mais je me demande sincèrement comment font ils pour être encore ouverts. Certes, le choix des chansons est très large, mais le cadre et l’ambiance sont pourris. Ca c’est dit !
Mieux vaut se faire un bon karaoké famililial dans le quartier de Belleville.

Accueil très froid, un français plus qu’approximatif on né comprend pas tout le temps ce qu’ils veulent. Le répertoire de chansons est assez grand et contient certains classiques. Pour la chanson française c’est tout juste ce qu’il faut. Par contre en Anglais il y a de quoi chanter. La nourriture plus que moyenne et il faut dépenser 24EUR par personne minimum pour occuper une box, si vous avez soif attention ils né servent pas de carafe d’eau et la bouteille de 1,5l est à 10EUR !(13 pour une bouteille de coca). Les locaux sont vieux et plutot délabrés, se sont de petites caves aménagées avec (si vous avez de la chance) une climatisation sinon vous dépasserez facilement les 30°, et chanter la prote ouverte c’est pas forcément agréable.
Seul point positif est donc les box individuelles

leur site internet

Karaōke privés, 12 Box vous attendent, chanteurs et chanteuses de salon bienvenus. Concept original et unique sur Paris.

à éviter…
Il n’y a aucun intérêt à venir manger ici, c’est cher et pas bon du tout. L’accueil est froid et très moyen. Boire un verre et chanter sont les seuls intérêts de cet endroit glauque et bien insonorisé.

S’amuser en comité privé !
J’ai découvert ce restaurant karaoké un vendredi soir du mois de Mars. Certes, le décor et l’accueil laissent à désirer. La nourriture est de qualité moyenne (éviter les poissons et le boeuf…). La bonne nouvelle est que le choix des chansons est très grand, et à ma grande surprise il y avait pas mal de titres assez récents (peut –être qu’ils ont renouvellé leur répertoire …). Goûts musicaux variés: rétro, rnb, rap, rock, pop, jazz, techno, dance… En plus, l’avantage est que l’on chante entre potes dans un boxe privé et pas devant une salle… C’est plus sympa. L’ambiance dépend donc de vous et de vos amis… Conclusion: On n’y va pas pour manger, mais plutôt pour s’éclater en petit comité !

Principal intérêt de ce restaurant ceux sont les salons privés
L’entrée est un peu bizarre on descend directement «sous terre», on traverse un long couloir bleu menant à des portes numérotées, des sortes de «caves», avec une lumière un peu bizarre, qui donne vraiment l’impression d’aller plutôt aux toilettes qu’au restaurant. Il faut dire que le principal intérêt de ce restaurant ceux sont les salons privés pour ceux qui chantent comme des casseroles (donc idéal pour nous !). Nous avions réservé un salon pour dix personnes avec beaucoup de difficulté vu que notre interlocuteur parlait Français comme nous nous parlons Chinois!, mais bon nous sommes arrivé à nous faire comprendre. Apres moultes explications sur l’utilisation de la télécommande ainsi que des micros, la fête peut commencer… Nous nous sommes beaucoup amusé malgré un choix plutôt limite dans la variété française, né comptez pas trouver les tous derniers tubes, ni certains vieux tubes: même pas une chanson de Cloclo (ou alors on a pas bien cherché). Le matériel n’est pas de dernier cri mais suffisant, certains micros sont sans fil d’autres avec fil. A plusieurs reprises nous avons eu des problèmes avec les micros, et le personnel a toujours été là pour nous aider avec le sourire et un légendaire «pas problème pas problème»… Pour ce qui est des plats c’est assez moyen avec un décalage entre les invités assez important: certain avaient finis leur plat avant que d’autre commencent ! Comme beaucoup de restaurent pour ce faire comprendre c’est très difficile (dictionnaire chinois recommandé). Dernier petit conseil vu que les salons sont vraiment en sous-​sol, aucune possibilité de recevoir un signal GSM donc vous né pouvez pas être appelé ou appeler de votre portable. Pour finir sur une anecdote, nous sommes arrivé à cinq personnes vers les 20 heures, après vérification de notre réservation (malgré une erreur d’orthographe dans mon nom) nous avons été placé dans notre salon, nous avons commandé un apéro en attendant les autres, et nous avons commencé à nous chauffer la voix. Vers les 21 heures toujours pas de nouvelles de nos invités manquants, vu que nous n’avions pas signal GSM, nous avons désigné un volontaire (bibi) pour sortir du restaurant et allé voir où étaient les autres, et là en montant vers la sortie je croise un de nos amis qui me dit qu’il nous attendent depuis une heure ! Lui aussi était monté me téléphoner ! Et où on nous avait placé dans deux salons différents ! Ce restaurant Karaoké se situe à deux pas des Halles (pas facile pour se garer !). Nous avons payé 24 € par personne pour le menu Karaoké en salon. Encore désolé, et oui les deux jours de pluies qui ont suivi c’est bien à cause de nous … encore désolé …

Chanter !
Tout d’abord, on traverse un long couloir bleu à peine éclairé. Ensuite, le serveur nous emmèné dans notre «salon karaoké privé» une petite pièce voûtée surchauffée. Nourriture chinoise de base avec un minimum de 24 € par personne (à cause du salon privé). On y arrive vite car les prix sont assez élevés pour ce qu’on y mange. L’aspect karaoké entre nous est le seul point positif de cet endroit…