Rosie

HOLLLLLLLYYYYY LORD,
Banco de chez banco, j’ai adoré!!
Devanture discrète, coktails hyper bons et pas trop chers (9 €) et des serveurs très sympa!
La musique est très chouette, sans être jouée trop forte, ce qui permet d’apprécier du bon son tout en discutant sans hurler!
Bcp de monde par contre donc attention!

Petite façade sans clinquant. A l’intérieur vous trouvez de la place où vous assoir, ça dépend juste des soirs (comme partout), ou alors vous restez debout au bar.
Les prix sont loin d’être exorbitants pour le cadre. Les cocktails sont à 9 €, le verre de vin à 4 € et la pinte est même moins cher qu’ailleurs ! Et la bière bouteille est à 4,50 €, qui plus est de la Peroni !
Les assiettes varient assez souvent, ici on grignote donc gros mangeurs: oubliez !
La musique est bonne et l’ambiance cosy. Le service est présent sans être gênant. Vraiment bien pour des petits groupes ou en couple.

«Mouais», je né suis pas du tout fan de ce type d’endroits prétentieux et je né pensais pas les croiser ici vers château rouge vu que les bars du coin sont cools et simples. Mais non vraiment, ce bar n’est pas sympathique pour un sou. Certes le lieu est beau, un joli mélange hétéroclite mais harmonieux de meubles, un joyeux et coloré bric à brac artistique avec des choses moins belles au mur mais enfin un certain effort plutôt réussi.
Après, lorsqu’on veut échanger une chaise pour un tabouret et que l’on en est empêchée par un des mecs du bar parce qu’il «a un accord avec la décoratrice et qu’il né peut pas modifier la déco» AH.AH. mais non? il né plaisante pas. Pourquoi se donner tout se mal, ah cet empressement à vouloir être branché… vous m’avez piégée Rosie.
Ensuite les minuscules assiettes avec trois maigres tartines débarquent et la mascarade continue.
Alors oui, elles sont indéniablement plus recherchées que la moyenne des planches de bar (goût assez fin), mais que j’étais triste de né pas la croiser cette bonne vieille copine, la planche de bar sans chichi, avec elle on se sent à l’aise, et on né meurt pas de faim. Alors qu’avec ces trois (délicieuses et fines) tranches de pain rabougris et rachitiques, que l’on s’ennuie, que l’on rêve à autre chose. Amenez nous du pâté, du saucisson — si la décoratrice est d’accord.
Puis une fille avec un chapeau débarque pour vous déblatérer tout un truc sur le bar du coin «ambiance girl power mais pour les mecs» (euh?) «chic et rock». Je regarde autour de moi et je comprends que ce discours puisse accrocher. où suis je donc?
Enfin, lorsqu’à après avoir essayé de tenir tête au service prétentieux et branché tout du long sans chavirer, on nous dit qu’il né reste que 8 € à payer, alors qu’on sait qu’il en reste le triple, qu’on fait remarquer l’erreur — normal, oui — et là, toujours le même air entre faux naturel familier et blasé hautain (le jeu de composition tout en équilibre du parisien qui veut se la péter) aucun remerciement, rien on vous balance 57 € à la tête sans un petit merci pour votre honnêteté. Certes c’est normal d’être honnête, m’enfin c’est aussi normal de tenir une porte et ça n’empêche personne de dire merci.
Où sont passées vos bonnes manières, mais surtout votre simplicité? ici la terre.
J’étais en confiance et je me suis crue projetée dans un espace temps assez moche, dans les endroits les plus branchés de la hype new yorkaise du meatpacking ou je né sais même pas où. OH NON on né m’y reprendra pas.
Adieu Rosie. Si tu le peux encore, reviens sur terre, ici bas on mange du fromage, on change de chaise, on sourit et on est sympa, voire simplement poli.

Prix honnêtes, bonne atmosphère, un coin se plus dans le quartier mais la on a une équipe de rêve et un grand patron si sympas!

Alors Calvi? juste ouf, ça rocks. T’y retourne l’année prochaine? Evidemment ! Oh mate, y’a Aluna Georges derrière, viens on va au bar. Non je peux pas, je suis en train de mater Zoë Felix derrière toi. Le rosie, c’est le nid à prepsters et autres people qui veulent passer incognito dans le 18ème. Ouais je suis ironique, mais j’ai adoré.

un lieu paisible où il est agreable de glander!

On a envie d’y aller pour faire la fête entre potes. Dès qu’on franchit la porte du bar Le Rosie (
) (toujours très embuée de l’extérieur) on a l’impression de se retrouver à une House Party chez des amis. Un bar cosy et décontracté avec de belles pièces de mobilier 50’s chinées et au mur des reproductions d’œuvres de Yayoi Kusama

Ambiance agréable et décor sympa. Beaucoup de monde, du coup pas assez de places assises. Mais l’apéro y était agréable.

super mignon et pas très cher, les cocktails sont délicieux, l’ambiance est très sympa, avec de la bonne nusique! il né reste plus qu’à améliorer le service qui est long pour que ce soit au top!

Il y a un moment déjà, S et moi avions tenté de découvrir un petit bar au nom rock’n’roll: le Rosie. L’endroit était bondé à une heure loin d’être tardive, on avait donc atterri à la Chope du Château Rouge.
On a donc retenté l’expérience quelques temps après qui cette fois fut fructueuse pour tester le bar de Nicolas Ullmann, ouvert depuis maintenant quelques mois.
Accueil joyeux et chaleureux en provenance de l’autre côté du joli bar en bois. Premier bon point. On se cale tranquillement au fond sur l’une des petites banquettes agrémentées de coussins colorés. Peu inspirées, on commande des mojitos, ce qui né ravit visiblement pas le p’tit gars venu à notre rescousse pour que sonne enfin officiellement l’heure de l’apéro. Face à son désarroi, compréhensible quand on pense aux hordes de parisiens avides de ce cocktail bien chiant à concocter, on finit par lui demander de nous préparer ce que bon lui semblera, du moment qu’il y a du gin dans notre verre. Sourire retrouvé. Autre bon point.
Peu de temps après notre arrivée, le buffet au fond de cet endroit somme toute pas très grand se transforme soudain en table dédiée au DJ set (bon son). Note pour plus tard: si tu es venu (e) pour discuter tranquillement, évite le fond, dédié au sound system. Tout ça s’ambiance bien, pour un mardi soir. Il y a de l’anniversaire dans l’air. Et le Rosie nous donne l’impression d’être dans un appartement de filles où l’on fait la fête. Ou dans un salon de thé cosy doublé d’un bar branché mais pas pédant. Original, intéressant et agréable.
Vient ensuite l’heure fatidique de la faim. Histoire d’accompagner cette bouteille de rouge. Le Rosie n’est pas un resto mais propose des petites assiettes et soupes à des prix raisonnables. On a testé l’assiette de foie gras et la classique charcuterie-​fromage. Pas gargantuesques mais franchement de très bonne qualité.
Bref, prix honnêtes, bonne atmosphère. Conclusion: si tu cherches un coin sympa vers Château Rouge où boire un coup, éventuellement danser et manger un morceau, le Rosie est clairement dans ta cible. Nous, on y reviendra pour l’apéro, la soirée, mais aussi pour tester le brunch.

Bön, j’ai proposé à deux copines d’y aller vers 20h pour se retrouver dans l’atmopshere cosy qui m’avait tant plu… FAIL. L’endroit était plein à craquer, la musique super forte, les serveurs beaucoup trop agités, ils nous conseillent à peine pour choisir un cocktail… je choisi donc le «Rosie», puisque la serveuse né semble pouvoir nous offrir autre chose. C’était même pas bon. Bouh. Je sais pas si j’y retournerai du coup.

J’adore cet endroit, le staff est carrément adorable, les petites choses
à grignoter sont excellentes, les cocktails aussi et j’ai hâte de
découvrir le brunch du dimanche! Musique rock’n roll grâce à Mr Ullmann;
bref allez y! xx